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Abdelfatteh Mourou et Ameur Laârayedh absents du conseil de la Choura
23/05/2016 | 21:14
2 min
Abdelfatteh Mourou et Ameur Laârayedh absents du conseil de la Choura

 

Le conseil de la Choura du mouvement Ennahdha a été élu dans la soirée de dimanche 22 mai 2016, par les congressistes. Dans la liste publiée par le mouvement, on relèvera l’absence des noms de Abdelfatteh Mourou et de Ameur Laârayedh.

 

On notera, toutefois, l’entrée du fils d’Ali Laârayedh, Hichem Laârayedh et le maintien de Samir Dilou, malgré son absence des travaux du congrès.

Ci-joint la liste des membres du conseil de la Choura :

1. Fethi Ayadi

2. Karim Harouni

3. Abdelmajid Najjar

4. Abdellatif Mekki

5. Ali Laârayedh

6. Samir Dilou

7. Mehrezia Laâbidi

8. Noureddine Bhiri

9. Abdelhamid Jelassi

10. Sadok Chourou

11. Ridha Saidi

12. Noureddine Arbaoui

13. Mohamed Mohsen Soudani

14. Habib Ellouz

15. Imed Hammami

16. Rached Ghannouchi

17. Kalthoum Badreddine

18. Sahbi Atig

19. Abderraouf Najjar

20. Mohamed Ben Salem

21. Yamina Zoghlami

22. Nejmeddine Hamrouni

23. Farida Laâbidi

24. Zied Laâdheri

25. Mohamed Akrout

26. Rafik Abdessalem

27. Monia Brahim

28. Abderraouf Bédoui

29. Ridha Barouni

30. Amel Azzouz

31. Zied Doulatli

32. Ridha Driss

33. Mohamed Ben Aoun

34. Salah Mtiraoui

35. Mohamed Kalaoui

36. Oussama Ben Salem

37. Abdelaziz Temimi

38. Larbi Gasmi

39. Salah Ben Abdallah

40. Mohmed Chammam

41. Ferjani Doghmane

42. Sadok Arfaoui

43. Zied Boumekhla

44. Riadh Bettaieb

45. Jawhra Ettiss

46. Zoubeir Chhoudi

47. Ali El Euchi

48. Kamel Hajjam

49. Ahmed Mechergui

50. Mokhtar Lammouchi

51. Hamza Hamza

52. Abdessatar Ben Rejeb

53. Houcine Jaziri

54. Lotfi Zitoun

55. Walid Bannani

56. Fethi Ennaas

57. Sadok Sghiri

58. Hichem Larayehd

59. Lassad Jouhri

60. Tahar Boubahri

61. Lotfi Amdouni

62. Neji Jmel

63. Syaed Ferjani

64. Imed Khemiri

65. Mohamed Mokdad Arbaoui

66. Fitouri Berriche

67. Mohamed Sghaier Yousfi

68. Ahmed Lamari

69. Sana Mersni

70. Rached Kahlani

71. Jamila Ksiksi Debbeche

72. Ridha Boukadi

73. Abdelfettah Trimeche

74. Wassila Zoghlami

75. Mohmed Salah Guissouma

76. Ali Tabib

77. Mohsen Nouichi

78. Chokri Zoghlami

79. Jaleddine Rouis

80. Néjib Gharbi

81. Hamdi Zouari

82. Ahmed Gaaloul

83. Jamel El Aoui

84. Selma Sarsout

85. Jalel Ouergui

86. Mohamed Mahjoub

87. Mohamed Ghannouchi

88. Mohamed Toumi Ben Nejma

89. Mounir Galloul

90. Mohamed Sami Trigui

91. Faouzi Jaballah

92. Mohamed Ennouri

93. Abdessalem Khammari

94. Mohamed Chamli

95. Mahmoud Jaballah

96. Aissa Hajlani

97. Hedi ben Brahim

98. Emna Dridi

99. Hédi Triki

100. Montasser Zenaidia

 

23/05/2016 | 21:14
2 min
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Commentaires (4)

Commenter

canalou
| 24-05-2016 18:54
la tunisie doit etre gouvernee avec une main de fer et un esprit libre .pour garantie cette liberte chere ,il faut un bon atbitre patriote dans l ame

lone star
| 24-05-2016 13:54
Je ne comprends pas trop

pauvre Tunisie !

que Mourou n'y soit pas !ça veut dire quoi?
il va créer son propre Parti ? ce serait bien que la division dans le parti soit consommée

GOD BLESS TUNISIA
GOD BLESS TUNISIANS

Forza
| 24-05-2016 06:19
Il faut appliquer la règle de parité aux structures des partis aussi.

JOHN WAYNE
| 24-05-2016 02:27
En Octobre 1923, la Turquie vivait une révolution Kémaliste qui devait changer le visage du monde musulman.
Le gouvernement de Kamel Atatürk procèdera en effet à une abolition du Califat-Sultanat et de ses juridictions religieuses, ainsi qu'a une proclamation de la République Turque qui sera suivie par la liquidation des biens habous.
Cette révolution Kémaliste subira une hostilité globale du monde Arabo-musulman.

En 1923, dans la revue « Tunis-Socialiste », l'on pouvait lire les déclarations suivantes :

« Le seul remède à la situation déplorable de la Tunisie et des Tunisiens est la création d'une législation laïque susceptible d'être remaniée à l'infini.
C'est ce qu'ont compris les Etats Européens et ce que, sous la pression des besoins nés de la civilisation moderne, les musulmans commencent à ressentir confusément depuis un siècle.
L'exemple de la Turquie doit être médité par les Musulmans tunisiens.
Devant une constatation aussi probante, ceux-ci devraient comprendre la nécessité de reléguer dans le domaine de la conscience individuelle une foi qui peut être belle, pourvu qu'elle soit sincère, au lieu d'en faire un dada qu'on enfourche a tout propos et surtout hors de propos.
Et pour commencer, qu'ils rejettent toutes ces pratiques qui n'ont même pas la justification de leur conformité a la loi religieuse et auxquelles des exploiteurs intéressés, encouragés il est vrai par une politique irrationnelle, ont seuls donné une importance aussi considérable.
Les Tunisiens veulent des droits qui les mettent au niveau des autres hommes, ceux des nations évoluées.
Qu'ils commencent par ne plus croire que le sort du monde est lié a la bave d'un Sidi Hanache ou aux hurlements d'un Sidi Amor El Fayache !
Qu'ils regardent la Turquie et qu'ils se souviennent que l'avenir de l'Islam est dans la laïcité ! »

« Ce pays musulman qu'est la Tunisie est encore enfoncé dans un passé archaïque ; il n'est pas encore tout à fait évadé de certaines formes économiques médiévales : féodalisme, patriarcat, nomadisme, autant d'obstacles a l'élan libérateur. L'esprit des Tunisiens est à reformer. Les Tunisiens doivent être éduqués en termes de différence entre le spirituel et le temporel, en termes de vérités scientifiques, en termes de traditions et de superstitions subies et jamais discutées. »

BIBLIOGRAPHIE :
Tunis-Socialiste, 331, 20 Octobre 1923, « L'avenir de l'Islam est dans la laïcité » par un musulman.
Tunis-Socialiste, 333, 22 Octobre 1923, « Nationalisme Indigène » par A. Cattan.

F.M. Alias JOHN WAYNE
Ancien Elève au Collège Sadiki.
Diplômé d'Histoire et de Sciences Politiques de l'Université Paris-Sorbonne.
Ancien Fonctionnaire aux Ministères des Affaires Etrangères et de l'Intérieur Tunisiens des gouvernements d'Habib Bourguiba et de Zine El Abidine Ben Ali.
Diplomate de carrière et spécialiste de la sécurité et du renseignement.