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Taboubi à l’issue de sa rencontre avec Chahed : la porte des négociations est close !
20/11/2018 | 15:07
1 min
Taboubi à l’issue de sa rencontre avec Chahed : la porte des négociations est close !

 

Le secrétaire général de l’Union générale tunisienne du travail (UGTT), Noureddine Taboubi a confirmé, ce mardi 20 novembre 2018, le maintien de la grève dans la fonction publique prévue le 22 novembre 2018 et ce après l’échec de la réunion entre le chef du gouvernement, Youssef Chahed et le secrétaire général de la centrale syndicale.

 

Selon M. Taboubi, cette réunion n’a abouti à aucune solution bloquant ainsi les négociations. La partie gouvernementale n’a, dans ce sens, présenté aucune proposition d’augmenter les salaires dans la fonction publique engendrant d’éventuelles mesures d’escalade de la part de l’UGTT d’ici la fin de semaine.

 

 

 

B.L

20/11/2018 | 15:07
1 min
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Commentaires (17)

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HatemC
| 21-11-2018 17:29
C'est vraiment la bonne revendication que je soulève souvent '?' aucune retenue de salaire pour ce syndicat mais une contribution volontaire comme cela se fait ailleurs '?' L'UGTT jour sur du velours, ce syndicat a une rente mensuelle assurée '?' si la contribution devient volontaire le discours serait différend '?'
Il me semble que les GVT ont du mal a attaquer ce syndicat en lui ponctionnant le portefeuille '?' HC

bouhlel
| 21-11-2018 16:58
Moi je suis un citoyen Tunisien et je ne vois pas pourquoi le gouvernement m'impose la participation à cette UGTT de merde.
Pourquoi il m'imposent des retenues automatique sur mon salaire pour cette organisation irresponsable.
Je demande à ce que les retenues automatiques au profil de cette UGTT de merde qui ne fait que des grèves soient annulés et que chacun participe au syndicat qui lui convient.

Sarra
| 21-11-2018 14:42
Les revendications de l'UGTT sont irrationnelles. L'UGTT principal acteur de l'échec économique du pays.

kamoun
| 21-11-2018 11:50
cecu me rappelle les négociations d"avant les jeudi noir du 26 janvier 1978 qui a été l'occasion d'instaurer le fameux timbre des voyages qui ne stupidité crue

sador
| 21-11-2018 11:17
La centrale syndicale doit aussi se rebiffer contre le corporatisme méprisable qu'incarne la fédération des enseignants qui tient nos enfants en otages et dont les manoeuvres répétitives vont détruire l'école publique.Leur faire échouer leurs menées subversives relève du patriotisme et de la sauvegarde des intérêts de notre pays.

G&G
| 21-11-2018 09:38
Youssef Chahed est dans l'emprise du FMI Il est piégé et ne s'en sortira plus.
Le FMI est l'origine de toute les catastrophes des pays en crise.
Certes le FMI demande réduire le poids des salaires dans la fonction publique mais il n'avait jamais demander au gouvernement de dévaluer sa monnaie.
En principe Chahed serait capable de couvrir les augmentations salariales rien que par l'excèdent de la dévaluation directe instaurée récemment par le gouvernement.
Il aurait du convaincre les agents de Christine la Garde que les augmentations salariales de la fonction publique n'est qu'une contre partie de cette dévaluation directe.

El Chapo
| 20-11-2018 22:04
Moi je propose à ce pantin de l'entité syndicaliste de prendre lui même les rênes du pouvoir, et de nous montrer les prouesses dont il saura faire preuve pour remonter la pente de ce qui reste de ce pays ...

Taoufik
| 20-11-2018 21:34
Les fonctionnaires ne travaillent que 10% de l'horaire demandé. Oui, pour certains mais d'autres travaillent plus que 100%. Pour cela, on ne doit pas mettre tous les fonctionnaires dans le même sac. Pénaliser l'ensemble est une erreur grave envers ces pauvres gens qui nous servent et qui nous facilitent la vie.

DHEJ
| 20-11-2018 21:14
Ben @Nejib

je dis quand le GAMIN CHAHED est incapable de mieux faire fonctionner la "fonction publique" pour améliorer nos réserves en devises et la santé du dinar!


Idem pour le BCE responsable des relations extérieures comme notre balance commerciale oh combien déficitaire.

Napoléon
| 20-11-2018 20:12
Il y a 4 ans, les tunisiens étaient sollicités pour choisir la formation politique qui devrait gouverner pour la législature 2014-2019. Deux formations politiques se disputent le suffrage : le parti dogmatique (la preuve par 9, le dernier discours du Cheikh) de la Nahda avec pou chef de fil Ghannouchi et l'initiative civile hétéroclite (n'a pas de structure pour mériter le nom de parti) avec pour chef de file BCE. Le peuple souverain, détenteur des pouvoirs par le biais de l'article 3 de la Constitution de 2014, a choisi le Nida. Aujourd'hui le chef battu Ghannouchi, balaie la volonté du peuple et sans passer par les urnes déclare nous sommes le parti de la majorité. Pourquoi faire des élections, si le perdant, sans passer par les urnes devient parti majoritaire ? Peut-on parler de souveraineté populaire quand le perdant au suffrage se déclare gouvernant ? Et peut-on parler de Constitution en l'absence de la Cour Constitutionnelle. Y-a-t-il une vraie démocratie en Tunisie? Pourquoi ces 10 lignes de rappel ? Parce que : Ghannouchi, la Nahda, BCE, le Nida, YC et la Coalition jouent avec le feu. Et les faits ci-dessus énumérés seraient autant de prétextes pour l'UGTT et assimilés. Aujourd'hui comme en 2011, on parle de dignité et lors du dernier meeting de l'UGTT, la base scandait : « deuxième révolution ». Et il n'y a que les imbéciles qui n'attribuent pas l'initiative et l'organisation du 14 Janvier 2011, de Kasbah 1 et Kasbah2 à l'UGTT. Lors de sa dernière allocution télévisée, BCE a évoqué les prérogatives que lui attribue l'article 80 de la Constitution, seul vrai plein pouvoir (sorte de carte blanche). Verra-t-on l'application de l'article 80, les jours qui suivront le 22 Novembre ?