| 11-09-2019 09:11
Ce n'est pas un islamiste de ton genre qui va nous donner des leçons de probité. C'est le comble de l'absurde.
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Nomination d'un nouveau conseiller à la présidence de la République
Zouheir Dhaouadi a été nommé conseiller auprès du président de la République à partir du 1er août 2019.
Cette nomination a été faite en vertu du décret présidentiel N°150-2019 du 30 août 2019 et publié au Jort N°72 du 6 septembre 2019.
Aucun détail n’a été révélé sur sa mission.
M. Dhaouadi occupait le poste de conseiller politique du président de l’Assemblée des représentants du peuple Mohamed Ennaceur, actuel président de la République.
Avocat de profession, le nouveau conseiller à la présidence est docteur en sciences politiques à La Sorbonne. Issu de l’extrême gauche, fondateur du courant estudiantin de gauche à l’université de Tunis du temps de Bourguiba, M.Dhaouadi est l'auteur de plusieurs ouvrages traitant des questions de l’Histoire de la Tunisie et du mouvement réformiste, arabe et islamique. Il rejoint le Rassemblement constitutionnel démocratique (RCD) dès 1988. Il sera, ensuite, élu membre du Comité central du parti. Il a exercé les fonctions de directeur de l’organe du RCD "Le Renouveau", gouverneur de Nabeul ainsi qu’ambassadeur de Tunisie au Pakistan.
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Commentaires (14)
CommenterUne seule nomination n'est pas aussi grave
| 11-09-2019 09:06
Mohamed Ennacer a le droit de nommer des conseillés pour faciliter sa mission durant les quelques semaines à passer à la présidence, mais en remplacement de ceux de BCE. On a toujours souffert de la faiblesse de cerveau des hauts responsables de l'état. Ils sont choisis ainsi pour qu'ils soient manipulable/contrôlables, et lorsqu'ils avancent vers les postes clés, ils se trouvent mentalement handicapés malgré leur expérience, formation, et valeurs qui peuvent être irréprochables. Ce pays ne peut jamais avancer sans exploiter ses meilleurs cerveaux, c'est purement technique, la politique n'a qu'à s'adapter.
Ce sont les contribuables qui supportent ces nominations inutiles.
| 10-09-2019 19:43
Les rcdidtes sont rappelés pour occuper des postes importants aux frais des misérables contribuables tunisiens. Les hautes instances de l état n ont cessé d étonner les tunisiens par le recyclage des serviteurs de la dictature sans aucun apport positif pour la bonne marche des services de l état. Il faut que les électeurs optent radicalement pour le rajeunissement des hauts responsables de et de leurs représentants sinon l ancien système frappe à la porte et la démocratie est en danger.
On n est pas un pays corrompu pour rien
| 10-09-2019 16:50
Pourquoi faire un autre conseiller avec salaire de ministre imprimé logement etc. .. Et puis Bennaceur pour le reste qu' il lui reste bof nous ne serons jamais Des Gens civilises
y a t-il d'autres décisions à prendre avant.......................
| 10-09-2019 15:32
encore, encore, encore des conseillers, un conseiller est devenu un bouche- trou, celui qu'on veut le caser c'est la présidence qui le prend, un armada de conseillers qui n'ont rien à faire ou qui n'ont rien fait ou qui ne peuvent rien faire, tout un budget consacré pour eux, c'est un crime de jeter de l'argent par les fenétres, neuf ans durant ? toutes les sortes de dépenses sont réquisitionnées pour les chérir et les engraisser, et à la fin notre chére TUNISIE se trouve à la banqueroute, avez-vous d'autres missions à les éxécuter avant d'étre trop tard et de se sauver au petit pied et sur la pointe des pieds?
Le grand "Zalèm" qui nous reste, Mohamed Ennaceur, est en course contre la montre et contre l'échéance électorale.
| 10-09-2019 13:03
Ce profiteur qui ne laisse échapper aucune occasion pour faire appel aux siens, ne trouve aucune honte ni le moindre coup de conscience, de s'acharner sur sa mission provisoire à la tête de la présidence de la République, pour nommer, hausser et léguer n'importe quoi en la possession provisoire de son pouvoir au palais de Carthage.
L'honnêteté humaine nous dit, qu'en tant qu'intérim provisoire au palais de Carthage pour quelques semaines, Mohamed Ennaceur doit se limiter aux prérogatives hâtives, ne pouvant attendre la nomination du prochain président de la République. Mais ces clous rouillés, n'ont appris qu'à profiter de tout avantage aux frais de "Rizk El-Bilic".
Un coup dans le mur, personne ne le ressent.
Que le Tout Puissant nous préserve de cette ancienne mentalité des "Azlèms" et des clous rouillés.
Amine yè Rabb el-Aâlamine, yè Rahmèn yè Rahim.
L'honnêteté humaine nous dit, qu'en tant qu'intérim provisoire au palais de Carthage pour quelques semaines, Mohamed Ennaceur doit se limiter aux prérogatives hâtives, ne pouvant attendre la nomination du prochain président de la République. Mais ces clous rouillés, n'ont appris qu'à profiter de tout avantage aux frais de "Rizk El-Bilic".
Un coup dans le mur, personne ne le ressent.
Que le Tout Puissant nous préserve de cette ancienne mentalité des "Azlèms" et des clous rouillés.
Amine yè Rabb el-Aâlamine, yè Rahmèn yè Rahim.
Rire ou pleurer?
| 10-09-2019 12:42
Nomination à partir du 1er août, selon le décret du 30 août, publié au Journal Officiel du 6 septembre 2019... le tout pour une fonction de quelques petites semaines auprès d'un président intérimaire en villégiature. Tout ça est très cohérent. Il reste quelques dinars dans la caisse de l'Etat, il faut se hâter de les dépenser avant la fin des vacances et au diable l'avarice! 'Elli yesker ma yahsibech'.
Faut-il en rire ou pleurer?
Faut-il en rire ou pleurer?
Uno de mas
| 10-09-2019 12:42
Et un de plus.
Grand remplacement ou bien ?
Grand remplacement ou bien ?
Un renfort indispensable !?
| 10-09-2019 12:20
Il va épauler le football club de Carthage.
nomination
| 10-09-2019 12:08
gaspillage de l'argent du peuple . !!! hram alikom
quel apport aura t-il pour un ou deux mois
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Pépites
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