Avec 2 kg de pâtes + 1 kg de tomates + 1 l d'huile végétale on devient président
La mafia a trouvé le meilleur moyen pour gouverner le pays
L’homme d’affaires et candidat à la présidentielle a accordé, une interview exclusive au magazine « Jeune Afrique », qui lui a consacré sa Une. Nabil Karoui a indiqué dans son interview qu’il se présente à la présidentielle malgré des prérogatives limitées parce que « la présidence demeure une pièce maîtresse. […] Pour redresser la situation du pays, il faut que la présidence participe à résoudre cette équation. Son rôle essentiel, majeur, est surtout de préserver la souveraineté de la Tunisie et d’être garant de la Constitution ».
D’autre part, il a assuré que les accusations d’évasion fiscale et de blanchiment d’argent portées à son encontre sont mensongères assurant que ses entreprises sont sous contrôle fiscal approfondi. « Avec la ''bienveillance'' du gouvernement Chahed à mon égard, je ne serai pas là ; face à vous, si le moindre soupçon avait été prouvé ».
M. Karoui a poursuivi en assurant qu’il ne se considère pas comme une victime et que les attaques le visant sont des aveux de faiblesse. Et d’ajouter, qu’il faut lutter contre la pauvreté et créer une économie forte. « Le paradoxe : La Tunisie est un pays riche qui produit la pauvreté ». Pour réduire la pauvreté, deux partenaires sont incontournables selon lui, à savoir la centrale syndicale et l’administration.
Revenant sur une éventuelle participation aux législatives, il a indiqué que les listes sur toutes les circonscriptions sont en cours de préparation. « Nous n’avons pas encore décidé si nous abordons cette étape sous le label d’un parti ou d’un front électoral. Ce sera une décision collégiale mais nous nous accordons à privilégier la formule la plus souple et la moins onéreuse ».
Nabil Karoui a assuré qu’il fallait recourir aux urnes pour évaluer le poids de chacun, ajoutant qu’ils restent ouverts à travailler avec tous ceux que les Tunisiens vont porter au parlement. « Nous n’avons de problème qu’avec l’incompétence et je n’ai aucun problème avec Ennahdha ».
S.H
L’homme d’affaires et candidat à la présidentielle a accordé, une interview exclusive au magazine « Jeune Afrique », qui lui a consacré sa Une. Nabil Karoui a indiqué dans son interview qu’il se présente à la présidentielle malgré des prérogatives limitées parce que « la présidence demeure une pièce maîtresse. […] Pour redresser la situation du pays, il faut que la présidence participe à résoudre cette équation. Son rôle essentiel, majeur, est surtout de préserver la souveraineté de la Tunisie et d’être garant de la Constitution ».
D’autre part, il a assuré que les accusations d’évasion fiscale et de blanchiment d’argent portées à son encontre sont mensongères assurant que ses entreprises sont sous contrôle fiscal approfondi. « Avec la ''bienveillance'' du gouvernement Chahed à mon égard, je ne serai pas là ; face à vous, si le moindre soupçon avait été prouvé ».
M. Karoui a poursuivi en assurant qu’il ne se considère pas comme une victime et que les attaques le visant sont des aveux de faiblesse. Et d’ajouter, qu’il faut lutter contre la pauvreté et créer une économie forte. « Le paradoxe : La Tunisie est un pays riche qui produit la pauvreté ». Pour réduire la pauvreté, deux partenaires sont incontournables selon lui, à savoir la centrale syndicale et l’administration.
Revenant sur une éventuelle participation aux législatives, il a indiqué que les listes sur toutes les circonscriptions sont en cours de préparation. « Nous n’avons pas encore décidé si nous abordons cette étape sous le label d’un parti ou d’un front électoral. Ce sera une décision collégiale mais nous nous accordons à privilégier la formule la plus souple et la moins onéreuse ».
Nabil Karoui a assuré qu’il fallait recourir aux urnes pour évaluer le poids de chacun, ajoutant qu’ils restent ouverts à travailler avec tous ceux que les Tunisiens vont porter au parlement. « Nous n’avons de problème qu’avec l’incompétence et je n’ai aucun problème avec Ennahdha ».
S.H