Il s'avère que ce qu'a dit Tarek Kahlaoui, lors d'une rencontre qu’il a animée avec les fans du CPR de Montréal, était de l'intox. Le syndicat affirme que tous les propos tenus par le dirigeant CPR et directeur de l’Institut des études stratégiques relevant de la présidence de la République sont diffamatoires, dénués de tout fondement et constituent « une tentative de semer la discorde entre les différents corps des forces de sécurité et une incitation claire à la confrontation entre eux ».
Le même syndicat ajoute que les membres de la sécurité présidentielle s’étaient limités, en ce jour du 18 octobre 2013 lors de cérémonie de l’oraison funèbre à la caserne de la Garde nationale d’El Aouina, à cerner la salle des hôtes pour empêcher toute tentative d’y entrer, alors que les protestations des membres de la Garde nationale avaient eu lieu dans la cour extérieure de la caserne.
Le syndicat, poursuit le communiqué, appelle à ne pas impliquer la sécurité présidentielle dans les tiraillements politiques et dans les campagnes électorales tout en réaffirmant sa fierté et son respect pour les divers corps sécuritaires et de leurs composantes dans le sens où ils forment un tout indissociable.
Et au même syndicat de conclure qu’il tient à exprimer « sa compréhension et sa solidarité avec les autres syndicats sécuritaires dans leurs revendications légitimes concernant les équipements adéquats et la nécessité de promulguer la loi antiterroriste ainsi que la criminalisation des agressions perpétrées contre des agents de sécurité, l’objectif final pour tous étant de parvenir à la réalisation d’une sécurité républicaine au service du citoyens et de la défense de la patrie et des institutions de l’Etat ».
S.H
La Garde présidentielle réagit aux intox de Tarek Kahlaoui au Canada
Il s'avère que ce qu'a dit Tarek Kahlaoui, lors d'une rencontre qu’il a animée avec les fans du CPR de Montréal, était de l'intox. Le syndicat affirme que tous les propos tenus par le dirigeant CPR et directeur de l’Institut des études stratégiques relevant de la présidence de la République sont diffamatoires, dénués de tout fondement et constituent « une tentative de semer la discorde entre les différents corps des forces de sécurité et une incitation claire à la confrontation entre eux ».
Le même syndicat ajoute que les membres de la sécurité présidentielle s’étaient limités, en ce jour du 18 octobre 2013 lors de cérémonie de l’oraison funèbre à la caserne de la Garde nationale d’El Aouina, à cerner la salle des hôtes pour empêcher toute tentative d’y entrer, alors que les protestations des membres de la Garde nationale avaient eu lieu dans la cour extérieure de la caserne.
Le syndicat, poursuit le communiqué, appelle à ne pas impliquer la sécurité présidentielle dans les tiraillements politiques et dans les campagnes électorales tout en réaffirmant sa fierté et son respect pour les divers corps sécuritaires et de leurs composantes dans le sens où ils forment un tout indissociable.
Et au même syndicat de conclure qu’il tient à exprimer « sa compréhension et sa solidarité avec les autres syndicats sécuritaires dans leurs revendications légitimes concernant les équipements adéquats et la nécessité de promulguer la loi antiterroriste ainsi que la criminalisation des agressions perpétrées contre des agents de sécurité, l’objectif final pour tous étant de parvenir à la réalisation d’une sécurité républicaine au service du citoyens et de la défense de la patrie et des institutions de l’Etat ».