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Ennahdha conteste ouvertement la politique de Othman Battikh
12/09/2015 | 18:00
1 min
Ennahdha conteste ouvertement la politique de Othman Battikh

Dans un communiqué daté d’hier, 11 septembre 2015, Ennahdha conteste la politique de « vengeance » et de « licenciement aléatoire » adoptée par Othman Battikh, ministre des Affaires religieuses.

Le parti islamiste a considéré que cette politique sert « d’instrument » de recrutement aux terroristes qui fondent leur démarche de persuasion sur l’idée que l’Etat est hostile à la religion et à l’Islam. Ennahdha ajoute que cette politique, « héritée de la dictature », ne fait qu’envenimer l'atmosphère dans les lieux de culte et semer l'animosité entre les citoyens.

12/09/2015 | 18:00
1 min
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Commentaires (41)

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Croyant
| 14-09-2015 14:11
Ennahda a raison, ceuz qui ont assiste aux preches des imams que Batikh est entrain de congedier a la chaine , peuvent temoigner que ce sont des imams moderes et serieux. Sauf que Batikh est ministre qui execute les ordres d un gouvernement dont Ennahda fait partie ! Alors qu Ennahda cesse de prendre les tunisiens pour des imbeciles.le licencement de ces imams erodera le soutien pour Ennahda et a terme personne ne pour empecher des mosques alternatifs et souterrains si le gouvernement continue de vouloir de faire des imams des porte parole non de Dieu mais de Nida et d Ennahda. le gouvernement joue avec le feu et recoltera bientot la tempete...

rzouga
| 14-09-2015 13:30
Le contraire m'étonnerai; bien sûre elle préfère son ancien ministre ami de aboulyadh.

canalou
| 14-09-2015 08:51
lisez le pacte de nejd du chercheur universitaire HAMMADI RDISSI et vous connaitrez tout sur les ikhounes et approuverez la chakchouka au pipi de chameau payee avec des milliards de petrodollards . Les ikhoouanes radicalises par le wahabisme et la monarchie arabie alliee des usa c est une guerre des freres ennemis pour la khilafat .

Forza
| 13-09-2015 22:16
bonne nuit.

Gg
| 13-09-2015 21:41
Ok Forza, excusez moi!

Forza
| 13-09-2015 20:24
Ce que je veux dires « comme on demande aux pratiquants de respecter les non pratiquants et ne pas se mêler de leurs bières par exemple, on demande aux non pratiquants de respecter derrière qui les pratiquants veulent faire leur prière. Vous êtes français, je pense que l'état en France ne dicte pas des prêtres aux croyants dans leurs églises.

Gg
| 13-09-2015 19:03
"On ne peut obliger les pratiquants à accepter l'alcool dans les bars..."
Ah bon? Et s'il me plaît d'en boire, moi?
Vous me direz que je n'ai qu'à quitter le pays. Et je vous répondrai que l' on devrait obliger les musulmans de France à en boire!
Bref, votre remarque relève de la dictature religieuse, ni plus ni moins.

Forza
| 13-09-2015 19:02
Je demande que les pratiquants respectent els non pratiquants et vis versa. Où sont les pulsions dictatoriales ? Vous ne pouvez pas obliger quelqu'un a faire la prière derrière un imam qu'il n'accepte pas. Et si vous avez bien lu mon commentaire, vous aurez bien constaté que j'ai bien insisté sur le respect de la loi et de la constitution par les imams et l'incitation à la violence n'est pas conforme à la constitution. Si le ministre a des critiques et des preuves contre l'imam de la grande mosquée de Sfax par exemple, qu'il les publiera et non pas la tah la dazouh, il limoge comme il veut, c'est ça le dictatorial.

A4
| 13-09-2015 18:45
Il n'y a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis !
Alors ne comptez pas sur ces islamo-fascistes pour changer !!!

Taoufik
| 13-09-2015 17:30
En démocratie, dans la vie banale et courante, tu as le droit d'accepter de faire ou non tout ce qui ne concerne que ta seule personne.
Tu n'as pas le droit d'accepter ou non, pour les autres, ce qu'ils veulent faire, comme aller boire au bar, qui ne relève que de leur seule volonté.
La démocratie n'est pas seulement majorité et minorité, elle est aussi et surtout libertés.
En somme, tu n'as pas le droit d'être un dictateur. Ceci même en étant dans la majorité. Elle ne te donne pas un droit de diktat.
Par contre, bien sûr, personne n'a le droit d'inciter à la violence. Ni celui qui va au bar. Ni celui qui n'y va pas. Comme un imam par exemple.
Ce sont des évidences dans la plupart des contrées du monde en ce 21ème siècle, mais je sais d'avance que tu ne vas pas être d'accord car tes pulsions dictatoriales sont plus fortes.