« Je ne souhaite pas que le prochain président de la République soit du mouvement Ennahdha, et ce pour préserver l’intérêt de la Tunisie et des partis politiques », a déclaré le chef de l’Etat, Béji Caïd Essebsi.
Le président de la République a toutefois, dans une interview accordée à la chaîne Al Arabiya, hier, mercredi 27 mars 2019, préféré ne pas répondre à la question de la journaliste concernant sa probable candidature pour un deuxième mandat présidentiel en arguant que « cette question ne le concerne que lui et le peuple tunisien ».
Dans un autre contexte, le chef de l’Etat a appelé à la révision de la constitution de 2014 dans les plus brefs délais.
E.B.A.
BCE : Je ne souhaite pas que le prochain président soit d’Ennahdha
« Je ne souhaite pas que le prochain président de la République soit du mouvement Ennahdha, et ce pour préserver l’intérêt de la Tunisie et des partis politiques », a déclaré le chef de l’Etat, Béji Caïd Essebsi.
Le président de la République a toutefois, dans une interview accordée à la chaîne Al Arabiya, hier, mercredi 27 mars 2019, préféré ne pas répondre à la question de la journaliste concernant sa probable candidature pour un deuxième mandat présidentiel en arguant que « cette question ne le concerne que lui et le peuple tunisien ».
Dans un autre contexte, le chef de l’Etat a appelé à la révision de la constitution de 2014 dans les plus brefs délais.
C'est la France qui décidait : ça, ça remonte à des décennies en arrière ! Aujourd'hui, malgré ce que peuvent prétendre les fans, toujours revendicatifs, du défunt Salah Ben Youssef, la France n'a plus son mot à dire, en ce qui concerne la cuisine tunisienne : la France - qui n'est plus intéressée par ça, du reste - n'a vraiment rien à dire à cela !
Votre post me fait songer au papier de M.B.Z. paru dans ce numéro de BN, ce matin : "Aziza se plante de décennie !" ! Ce n'est pas très joli, ni dit en bon français, mais c'est très expressif!
Alors, faut changer de décennie, mon vieux, voire de décennies : inti sraft sraft...
J'ai entendu la totalité de cette interview du président Béji Caïd Essebsi. Je suis bouche bée des facultés mentales de Béji Caïd Essebsi, à son âge trop avancé de 92 ans, qui sont d'une intelligence et d'une lucidité à saluer, à respecter, à louanger et à nous obliger à nous incliner devant ce grand Homme de la Tunisie.
Béji a dévié toutes les questions malignes de l'animatrice. Il l'a laissée sur la touche et hors-jeu, sans la moindre vulgarité linguistique. Des réponses que même un jeune de vingt ans ne pourra les concurrencer.
Je ne sais vraiment pas pourquoi BN, ne retient qu'un passage sans la moindre importance au sujet des élections présidentielles concernant le parti d'Ennahdha.
Je m'incline devant l'intelligence et la lucidité politique de notre président Béji Caïd Essebsi.
Que notre Créateur et Créateur de tout l'univers, Allah le Tout Puissant, lui offre la bonne santé et les bonnes facultés mentales, pour d'autres décennies.
Amine yè Rabb el-Aâlamine.
On le presente Comme un vieux renard mais le comble c est qu il s est fait rouler dans la farine par Ghanouchi et Chahed....Il ferait mieux de se retirer!
Pourquoi ne pas prendre de la hauteur et vous rendre compte que la prise de position du président de la République a une portée considérable. Il a expliqué qu'il ne souhaitait pas un président islamiste car cela mettrait en danger les intérêts de la Tunisie.
Béji n'est pas un homme courageux,il pense à son fila avant son pays et c'est pour ça qui'il n'a pas le courage pour dénoncer les vrais ennemis à l'intérieur de ce pays,un président pareil ne pourra continuer ainsi pour les prochaines présidentielles
Ni Ennahdha, ni Nida.
Ces deux partis ont eu leurs périodes et ils ont échoués pour remettre le pays sur les rails et créer un climat social et économique propice au bien-être du peuple tunisien.
Il faut aujourd'hui faire un autre choix politique. Ceci est indiscutable.
Quant à la reconduction de BC pour un autre mandat, je pense qu'il est assez intelligent pour s'éviter une sortie déshonorante et qu'il y renoncera de facto.