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Béji Caïd Essebsi reçoit Nabil Karoui
29/04/2019 | 14:11
1 min
Béji Caïd Essebsi reçoit Nabil Karoui

 

Le président de la République, Béji Caïd Essebsi a reçu, ce lundi 29 avril 2019, le patron de la chaîne Nessma, Nabil Karoui, au palais de Carthage.

 

A cette occasion, le président de la République a rappelé que la liberté des médias et de la presse ainsi que la liberté d’expression sont le principal acquis de la révolution tunisienne et qu’il n’est pas question de revenir dessus. Il a, également, mis en exergue le rôle primordial joué par les médias nationaux, dont la chaîne Nessma, dans la réussite du processus de transition démocratique.

 

Béji Caïd Essebsi a assuré que la liberté de la presse n’a pas de limite tant qu’il y a un respect de la déontologie, soulignant que tous les médias, sans exception, doivent respecter les dispositions légales du décret 116. Il a insisté sur le rôle régulateur de la Haica et la nécessité de trouver les solutions aux différents problèmes du secteur.

 

Pour sa part, le patron de la chaîne Nessma, Nabil Karoui a indiqué que la rencontre avec le chef de l’Etat a été une occasion pour lui faire part de la colère du personnel à la suite de la fermeture de la chaîne, assurant que le président de la République veille à l’application de la loi et la nécessité de parvenir à un accord avec la Haica pour reprendre la transmission.

 

Nabil Karoui a déclaré qu’il a, aussi, fait part au président de la République des craintes des citoyens face à la dégradation de la situation sociale et de leur pouvoir d’achat.

 

S.H

29/04/2019 | 14:11
1 min
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Commentaires (27)

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Akoubi Ammar.
| 30-04-2019 13:38
Tous les médias doivent respecter les dispositions de la législation en vigueur en la matière. Nessma est en infraction, Nebil Karoui est par conséquent l unique responsable du drame de son personnel et assume l entière responsabilité de la situation qui prévaut actuellement. Pour ce qui est des problèmes des tunisiens, personne ne l a mandaté pour en débattre avec les pouvoirs en place. Qu il s acquitte de tous ses devoirs envers l état , la société et ses employés bien sûr. La loi doit s appliquer à tout le monde sieur Karoui et personne ne peut vous accorder une exception. Bouk el Hanin a été dégagé et le favoritisme doit prendre fin. Par ailleurs Youssef Chahed n a rien à voir avec ce cas sauf aux yeux de ses rivaux politique. Le communiqué du SNJT est clair la dedans.

Tunisino
| 30-04-2019 11:31
Les personnes fortes en communication/politique sont généralement faibles techniquement, ils le savent, mais ils s'aveuglent, surtout lorsqu'ils sont malhonnêtes. Il ne suffit pas de gagner des élections, mais il faut aussi réussir à servir le présent et le futur du pays, pour terminer le mandat avec un bilan positif. Exploiter les meilleures compétences, toute spécialité confondue, est alors une obligation, et encore! Ceci est fait par conscience ou inconscience, peu importe, l'essentiel sont les résultats!

Tunisino
| 30-04-2019 11:02
C'est BCE qui a nommé Essid ensuite YC, pour être en contrôle à la fois de Carthage et de la Kasba. L'idée était théoriquement excellente parce que malgré le régime parlementaire, adopté pour éviter une nouvelle dictature et non pour développer la Tunisie, BCE détenait tous les pouvoirs (législatif et exécutif), pour se voir capable de construire l'assise de la deuxième république. Malheureusement, un dérapage s'est produit, dont le premier responsable est BCE (BCE s'est entouré de personnes faibles!).

EL OUAFI
| 30-04-2019 10:47
Mr le president restez neutre ce probleme doit etre regler par justice vous n'avez aucunement le droit à vous interferer.
vous etes le grant de la constitution la ligne médiane doit tenue.(Manai)

Sidi Bou
| 30-04-2019 08:53
Nessma à des droits et des devoirs et la loi doit être appliquer à tout le monde de la même manière. Le président n'a pas le droit de se mêler ni d'intervenir auprès ni de la justice , ni auprès des instances organisationnelles approuvées par le parlement.Fini les interventions familiales et de d'amico's

Monia
| 29-04-2019 23:29
vous savez vous et moi sommes habituées au régime présidentiel dans lequel le ou la Président(e) élu(e) démocratiquement fixe sa ligne politique, suivie d'élections législatives formant quasiment dans la foulée une assemblée parlementaire majoritaire. Dans un régime parlementaire, il en va tout autrement : les élections législatives sont discriminantes avec une probabilité importante d'absence de majorité absolue; le partage des pouvoirs gouvernementaux (le fameux consensus) en est le corolaire. Le rôle de la Présidence de la République s'en trouve, de ce fait, fortement cantonné et ce qu'elles qu'en soient les coutumes, la référence fondamentale étant la Constitution.

Papa, ils se moquent de moi..!!!
| 29-04-2019 22:09
Séance de lamentations...? Au secours papa...!!! Ils m'ont frappé, ils m'ont mordu. Ils m'ont tiré les oreilles, ils m'ont volé mon crayon et ma gaumme..!!!

EL OUAFFY Y
| 29-04-2019 22:05
J'ai bien compris que vous venez de conffirmer mais est ce que les coutumes sont pareils ? .

Monia
| 29-04-2019 21:39
celle d'omettre que la vie politique du pays n'est plus désormais régie par un régime présidentiel mais par un régime parlementaire qui fait et fera de tout Président de la République, en quelque sorte l'alter ego de la reine d'Angleterre. Et ceux qui ont décrété ça, sont très loin d'être innocents!

BORHAN
| 29-04-2019 21:18
Où est passé mon commentaire ?