La présidente du PDL, Abir Moussi a indiqué, ce samedi 13 juillet 2019, dans une déclaration à Jawhara Fm que les appels à un référendum concernant les amendements du Code électoral sont ridicules, soulignant qu’il ne faut surtout pas toucher au calendrier électoral.
« Appeler au référendum est une manœuvre parmi d’autres. Rien ne doit affecter le calendrier électoral et on tient aux dates fixées. Nous avons une loi en vigueur qu’on doit appliquer jusqu’à la publication des amendements dans le Jort. Dans tous les cas, notre parti n’est pas concerné par les mesures d’exclusion. Cela dit, s’il va y avoir une application abusive des nouvelles mesures, nous sommes prêts à toutes les formes de militantisme afin d’y faire face. Nos listes sont prêtes, qu’ils poursuivent leur règlement de comptes et leurs tiraillements ailleurs », assure Abir Moussi.
S.H
Abir Moussi : l’appel à un référendum est ridicule
La présidente du PDL, Abir Moussi a indiqué, ce samedi 13 juillet 2019, dans une déclaration à Jawhara Fm que les appels à un référendum concernant les amendements du Code électoral sont ridicules, soulignant qu’il ne faut surtout pas toucher au calendrier électoral.
« Appeler au référendum est une manœuvre parmi d’autres. Rien ne doit affecter le calendrier électoral et on tient aux dates fixées. Nous avons une loi en vigueur qu’on doit appliquer jusqu’à la publication des amendements dans le Jort. Dans tous les cas, notre parti n’est pas concerné par les mesures d’exclusion. Cela dit, s’il va y avoir une application abusive des nouvelles mesures, nous sommes prêts à toutes les formes de militantisme afin d’y faire face. Nos listes sont prêtes, qu’ils poursuivent leur règlement de comptes et leurs tiraillements ailleurs », assure Abir Moussi.
Zaba vous était indifférent ? Vous deviez être bien jeune, alors ! Et ses 23 ans de règne sans partage, l'âge d'or de la Tunisie ! Je vous invite à consulter Si el haj, il ne vous refusera sans doute pas une mise à jour très bénéfique...
Dans cette attente, je ne vois pas ce que je pourrais ajouter pour mieux vous aider à sortir de cet "âge d'or", où les trains arrivaient (presque) toujours à l'heure, mais où chaque jour nous gratifiait d'une bonne nouvelle sur l'état de la fortune de ZABA et de ses "beaux"-fils et "beaux"-frères, épigones des tammaa que vous semblez redécouvrir !
Quant à Marzougui, il affûtait encore ses armes, en guettant le jour béni où il débarquerait à Tunis-Carthage pour annoncer qu'il venait pour être le président de la république...
PS. Votre panégyrique de ZABA est aussi lassant que la littérature pro-Moussi, qui y fait référence !
ZABA, m'était indifférent durant ses années de présence.
Le pays était plus propre Le niveau de sécurité était à son summum.
Il y avait aussi infiniment moins de fainéants et de tammaa.
Il n'y avait pas d'agressions visuelles tels que la vision ubuesque des kamissés et des niquabées, ni celle des pseudo-hommes politiques arpentant de temps en temps les couloirs de la basse-cour nationale.
La criminalité était contenue.
Les grands criminels dont tous ceux qui avaient pillé la nation en 2011 étaient au frais, dans leur environnement naturel, les geôles
A l'époque, il faisait bon vivre au pays
Tout ce que je sais de l'époque , c'était que les chléyéks bagla-liha et une bonne partie de la racaille présente à la basse-cour nationale le craignaient.
Ils rasaient les murs et parvenaient même à passer derrière les affiches sans les décoller. Il faut reconnaitre que ces derniers avaient un certain don.
Ils marchaient droits comme des soldats.
Ils étaient disciplinés.
Il me semble que c'était l'âge d'or de la Tunisie.
Il y avait des voleurs, mais ces derniers avaient une certaine éthique en comparaison avec les bancs de piranhas de l'après 2011.
A choisir, si l'occasion se présentait; je voterai les yeux fermé pour le plus crédible de celui ou celle qui promettra d'éradiquer cette sale race de parasites voleurs imposteurs traitres affamés, qui a mis toute une nation à genoux.
Voilà tout ce que je sais et que vous savez maintenant.
Salutations.
Ps: je ne savais même l'existence du harki goumi marzougui
"Nous avons besoin de participants de votre trempe" ; mince ! je ne nous savais pas réduits à cette dernière extrémité, pour ouvrir les bras à Ben Ali à nouveau ! Non bis in idem, disaient les Romains... C'est un principe très républicain !
Je suis complètement d'accords avec vous , vos conseils sont élémentaires et importantes et je crois que '? Moussi ne manquerai pas d y prendre note ! Bien à vous
mes conseils:
1) ne vous attaquez pas à Nabil Karoui car vous aurez besoin de ses fans s'il ne passera pas,
2) ne critiquez pas les pays étrangers, il faut montrer que vous êtes une bonne diplomate et capable de politique internationale
3) il faut aborder le problème de l'environnement qui est très important pour tous les Tunisiens. On ne peut plus se baigner dans notre mer méditerranéenne, que proposez vous comme solutions?
"ont fait du pays un « protectorat » du FMI, de la BM, et de la CEE."
La CEE ?!
Vous en êtes resté là ?
L'anachronisme vous serait donc une notion aussi abstraite ?
La "Communauté Economique Européenne" n'existe plus depuis.. ..1993 !
C'est à dire, du temps où "bouk lahnine" promettait monts et merveilles aux crédules "mauviettes" et autres moutons bêlants !
Si vous y tenez à votre "lumineuse analyse" vous reconnaissez donc que le pays était un "protectorat" AVEC l'assentiment de Zaba-le-magnifique, au pouvoir à l'époque ?
Ou bien dois-je mettre votre radotage erratique sur le compte de la canicule qui vous fait dire des aberrations comme : " dire que dans dans un peuple qui pullulent de traitres" ?
Ou encore des égarements inquiétants : "Léon est La conscience et La Mémoire de la Tunisie" ?
C'est vrai que par cette chaleur, chausser des babouches est plus commode quand on a les chevilles qui gonflent !
Et qui nous gonflent !
Maxula.
Ne vous inquiétez pas cher patriote, j'ai le noyau dur surtout pour mon pays je supporte tout les inconvignons et les attaques même sur le compte de ma famille ,mon pays mérite de sacrifice .Dieu avec tout et toutes les patriotes
Cette idée de référendum est parfaitement ridicule si elle n'était scandaleuse !
Et pour cause, car ceux qui rêvent de ce véritable "subterfuge" ne cherchent qu'à faire reporter ou retarder le moment où ils vont perdre les élections, et c'est de cela dont il s'agit, et nullement le souci, soi-disant démocratique, de consulter la voix du peuple !
Les prochaines élections doivent se tenir dans les délais et les dates prévues par le calendrier officiel. Et aucun retard ne sera toléré, d'autant plus que cela coûterait les yeux de la tête(*).
Sinon pour financer le caprice de ce référendum, pourquoi se priver aussi de demander une rallonge à "l'aumône" que l'UE veut généreusement octroyer aux enfants gâtés que nous sommes ?
Maxula.
(*) Cela doublerait le coût normal d'un scrutin normal. La Tunisie ne pouvant se payer le luxe d'un surcoût, les caisses étant désespérément vides; ni la fantaisie de faire descendre dans la rue ceux qui y verraient une escroquerie en plein jour (j'har b'har) !
Chers compatriotes aux commandes; Chers suppôts à la solde des atlantistes;
Chers destructeurs de la Tunisie souveraine et démocratique bâtie sur la constitution de 1959,
La bassesse de ceux qui ne seront épargné, ni par l'histoire, ni par la justice, a atteint en ce jour son apogée. Traitant le seul héritier légitime du parti Historique de l'indépendance, à savoir le PDL de Abir Moussi, de parti « populiste », nos élus se placent contre le peule, envisageant la mise à l'écart des favoris. Ces derniers représentent pas moins de 60% des intentions de vote.
Cette aberration montre que les élus de peuple ne représentent pas le peuple. Ceci était prévisible lorsque l'on se souvient de l'abstention de 80% des électeurs lors de leur triste élection. Et l'on ose aujourd'hui qualifier cette misérable assemblée de « représentants du peuple ».
Le fait de traiter le parti de l'indépendance de « populiste » est un crime envers la souveraineté de notre pays; souveraineté aujourd'hui bafouée par les traitres qui ont fait du pays un « protectorat » du FMI, de la BM, et de la CEE.
Mais cela ne m'étonne guère, quand on a tous entendu, les chefs politiques post-révolutionnaires (peut-être à l'exception de BCE) qualifier le 14 janvier maudit de « vraie indépendance du pays », urinant de la sorte sur le sang pur des résistants et martyrs de l'indépendance; sang qui abreuva les sillons de nos anciens colons.
Il faut dire que dans dans un peuple qui pullulent de traitres et de manipulés (il suffit de voir que 90% du peuple avait crié « dégage »), tout devient possible; et surtout l'ingratitude envers l'Histoire de son propre pays.
La mise à l'écart des trois premiers candidats à quelques semaines du début des élections explique bien des choses. Mis à part la non représentativité du peuple au sein de la triste assemblée, cela prouve aussi que l'on est en train de vivre une nouvelle forme de démocratie: Celle qui élimine par des lois idoines, faites sur mesure, les partis qui risquent de faire de l'ombre aux protégés des atlantistes, à l'instar de nos frères sionislamistes, et autres émanations fécales, représentées par le ramassis de hauts diplômés, mais aux bas principes patriotiques.
Le peuple de naïfs et de crédules; ignorant mes appels incessants, avait cru en 2011 que les pays qui ont placé tous les dictateurs du monde, se souciaient de leurs libertés et de leur dignité. Bien au contraire, s'ils ont viré Ben Ali, c'est pour mieux installer leurs dictatures sous couvert d'une démocratie qui empêche les premiers de se présenter. Avec une telle loi, Trump ne serait pas élu, et les partis historiques européens auraient été effacés d'un revers de main, sous le prétexte de « populisme ».