"Waktli tarj3ou fi sahfèt la3ssal e3lmouna!"
Combat de coq, ou...lorsque l'intérêt et l'égo pour la chaise et le pouvoir tu nous tiens,...ringards va!
Le co-fondateur et dirigeant du CPR, Abdelwaheb Maâtar, a indiqué que le « cas » Moncef Marzouki est « bizarre » puisqu’il s’accapare pour sa personne et pour son nouveau parti la mission de défendre le processus révolutionnaire, tout en accusant les parti « des restes », comme il les appelle, de se détourner de cette mission.
Dans un post publié ce samedi 30 avril 2016, sur les réseaux sociaux, Maâtar affirme : « Le narcissisme de Marzouki sert la contre-révolution et empêche l’unification des forces révolutionnaires. C’est cet esprit qui l’a fait échouer et rater l’opportunité du salut qui s’est offerte l’an dernier par la création du Mouvement du peuple de citoyens. Au lieu de recourir à l’autocritique et d’essayer de réparer ce qu’ils ont gâché, Mazouki et ses acolytes ont préféré se centrer sur leurs personnes et se braquer dans leur nouveau parti Al Irada tournant le dos aux intérêts de la nation et focalisant leur attention sur les agendas personnels en relation avec le retour à Carthage » a-t-il ajouté.
Abdelwaheb Maâtar a enfin expliqué que si ces partis dits « des restes » ont refusé de se rallier à Moncef Marzouki, c’est parce qu’ils refusent ses agendas personnels soulignant « qu’ils construiront sans lui le front social démocrate pour la révolution, sans la maladie du pouvoir, le narcissisme et l’obsession du fauteuil présidentiel ».
M.B.Z
Le co-fondateur et dirigeant du CPR, Abdelwaheb Maâtar, a indiqué que le « cas » Moncef Marzouki est « bizarre » puisqu’il s’accapare pour sa personne et pour son nouveau parti la mission de défendre le processus révolutionnaire, tout en accusant les parti « des restes », comme il les appelle, de se détourner de cette mission.
Dans un post publié ce samedi 30 avril 2016, sur les réseaux sociaux, Maâtar affirme : « Le narcissisme de Marzouki sert la contre-révolution et empêche l’unification des forces révolutionnaires. C’est cet esprit qui l’a fait échouer et rater l’opportunité du salut qui s’est offerte l’an dernier par la création du Mouvement du peuple de citoyens. Au lieu de recourir à l’autocritique et d’essayer de réparer ce qu’ils ont gâché, Mazouki et ses acolytes ont préféré se centrer sur leurs personnes et se braquer dans leur nouveau parti Al Irada tournant le dos aux intérêts de la nation et focalisant leur attention sur les agendas personnels en relation avec le retour à Carthage » a-t-il ajouté.
Abdelwaheb Maâtar a enfin expliqué que si ces partis dits « des restes » ont refusé de se rallier à Moncef Marzouki, c’est parce qu’ils refusent ses agendas personnels soulignant « qu’ils construiront sans lui le front social démocrate pour la révolution, sans la maladie du pouvoir, le narcissisme et l’obsession du fauteuil présidentiel ».
M.B.Z