La Fédération générale du transport relevant de l'Union générale tunisienne du travail (UGTT), a décrété, mercredi 28 décembre 2022, une grève sectorielle du transport au niveau terrestre, maritime et aérien les 25 et 26 janvier 2023.
Pour la fédération, l’inaction du gouvernement face à la détérioration du secteur du transport public reflète son intention de le céder et de lever la compensation en réponse à l’accord avec le Fonds monétaire international (FMI). C’est ce qu’a expliqué le secrétaire général de la structure syndicale Wajih Zidi à Jawhara Fm, en marge d’une réunion de l’instance administrative du secteur tenue le jour même à Hammamet.
Le syndicat pense que le gouvernement est en train d’œuvrer pour la cession d’entreprises publiques, dont les sociétés du transport.
I.N
Une grève générale du transport prévue fin janvier 2023
La Fédération générale du transport relevant de l'Union générale tunisienne du travail (UGTT), a décrété, mercredi 28 décembre 2022, une grève sectorielle du transport au niveau terrestre, maritime et aérien les 25 et 26 janvier 2023.
Pour la fédération, l’inaction du gouvernement face à la détérioration du secteur du transport public reflète son intention de le céder et de lever la compensation en réponse à l’accord avec le Fonds monétaire international (FMI). C’est ce qu’a expliqué le secrétaire général de la structure syndicale Wajih Zidi à Jawhara Fm, en marge d’une réunion de l’instance administrative du secteur tenue le jour même à Hammamet.
Le syndicat pense que le gouvernement est en train d’œuvrer pour la cession d’entreprises publiques, dont les sociétés du transport.
Dans un pays en quasi faillite, les grèves ne riment à rien et ne changeront rien à la situation qui risquerait de s'empirer davantage ! Seul le dialogue peut conduire à des solutions tangibles. La situation socio-économique catastrophique héritée de la dernière décennie de la honte et du vandalisme politique et économique, nécessite des REFORMES structurelles profondes et des sacrifices par tous les Tunisiens y compris les travailleurs. Sans R'?FORMES, la Tunisie n'aura AUCUN avenir prospère, quelque soit les responsables qui gouvernent le pays. Les entreprises publiques doivent être restructurées ou privatisées. Les contribuables tunisiens en ont déjà marre de voir l'état payer entre 3 et 5 MILLIARDS de dinars chaque année pour maintenir des entreprises publiques DEFICITAIRES en vie...!!!!!
Soit, qu'elle sera reportée pou fin mars, puis fin juin, puis fin septembre,...,Soit que l'état applique les article du code de travail relatifs aux réquisitions. Conformement à ces articles, elle peut réquisitionner tout le personnel des établissements et non seulement une partie du personnel. Donc vous comprenez pourquoi l'UGTT est devenue trés impopulaire et que taboubi est la personne la plus détestée aprés GANNOUCHI. Et si on continue à ce rythme l'imprimerie nationale devra reserver des pages spéciales dans la JORT pour les annonces de greve de l'UGTT.
il faut privatiser le transport public qui devient un gouffre financier insupportable pour les contribuables et un mauvais service pour les citoyens qui prennent le transport public pour travailler avec une privatisation même partielle plus de grèves récurrentes qui impactent les usagers du transport public plus des subventions payées par les contribuables et du matériel bien entretenue et plus efficace .et un service rendu à la satisfaction des citoyens .
