
Le Décret présidentiel n° 2020-112 du 22 octobre 2020, relatif à la création d’un Comité spécial auprès de la présidence de la République pour le recouvrement des biens mal acquis existant à l’étranger, est paru dans le Jort du 27 octobre 2020.
En vertu de ce décret, un Comité chargé du dossier de recouvrement des biens mal acquis existant à l’étranger est créé auprès de la présidence de la République. Le Comité est chargé d'évaluer les différentes mesures qui ont été prises pour le recouvrement des biens mal acquis existant à l’étranger. Le Comité peut proposer de prendre toute mesure qui conduirait au recouvrement de ces biens.
Le Comité de recouvrement des biens mal acquis existant à l’étranger est présidé par le ministre des affaires étrangères, de la migration et des Tunisiens à l’étranger ou son suppléant. Le Comité est composé des membres ci-après désignés :
• La ministre directrice du Cabinet Présidentiel ou son suppléant,
• Le ministre de la justice ou son suppléant,
• Le ministre de l’économie, des finances et de l’appui à l'investissement ou son suppléant,
• La ministre des domaines de l'Etat et des affaires foncières ou son suppléant,
• Le Gouverneur de la Banque centrale de Tunisie ou son suppléant,
• Le chef du contentieux de l’Etat ou son suppléant.
Le président du Comité peut convoquer toute personne dont il juge la présence utile pour participer à ses travaux.
Le Comité se réunit sur convocation de son président dans un délai ne dépassant pas un mois à compter de la publication du présent décret présidentiel. Le comité fixe son règlement intérieur et les modalités de son fonctionnement.
Le Comité remet au président de la République, tous les trois mois, un rapport sur ses activités et l’avancement de ses travaux.
M.B.Z
Par contre je voudrais insister que la croissance ne vient pas de l'évolution de la masse monétaire (nous avons déjà gaspillé 30 milliards d'euros sans aucun résultat positif de croissance depuis 2011), non la croissance vient en particulier de l'évolution des facteurs de production, de l'évolution de la productivité, de la population active et du nombre d'heures travaillées.
Il est important d'arrêter d'attendre des miracles de la politique monétaire. "Relancer la croissance, créer de l'emploi, éviter les bulles, assurer la stabilité des prix, maintenir la stabilité du système financier" --> non seule une forte productivité pourrait garantir à tous les Tunisiens une vie paisible et à bon prix.
Très Cher Compatriote, Mr. Kais Said, il n'y a qu'un seul mot magique afin de faire sortir la Tunisie de l'impasse socio-économique, et ce mot magique est "productivité"
Pourquoi les pommes de terre, les tomates, les chaussures, les vélos (etc., etc., etc.) sont trop chers en Tunisie, --> c'est tout simplement car notre productivité est trop faible. Pourquoi nous ne sommes pas compétitifs à l'échelle internationale --> oui, c'est tout simplement car notre productivité est trop faible et trop chère...
J'invite tous les Tunisiens à une ère nouvelle faite d'efficacité et de gains de productivité. Il n'y a qu'un seul mot magique pour expliquer ce que nous devons faire: productivité! Notre révolution devrait être celle de l'explosion de la productivité. J'invite tous les Tunisiens à travailler beaucoup moins, mais intelligemment, toute en produisant beaucoup plus. Oui, travailler moins et intelligemment pour produire beaucoup plus en quantité et en qualité.
Un très grand rendement et une efficience exemplaire sont nécessaires à la lutte que la Tunisie doit mener sur le marché mondial pour faire face à la concurrence internationale et pour abaisser le prix de revient de nos produits. La politique des bas prix de revient joints à la plus ample productivité a depuis longtemps été la politique des Allemands. C'est grâce à cette politique surtout que les Allemands ont pu si largement accroître leurs exportations. Ils ne craignent pas de payer des salaires élevés. Ils abaissent cependant le prix de revient par une productivité devenue beaucoup plus intense avec le temps, par un outillage perfectionné, par une organisation supérieure qui fait intervenir tous les éléments de ce qu'on appelle la rationalisation.
Nos agriculteurs sont à 90% ignorants et routiniers et ne font qu'un très petit profit (ou même pas). Nous consacrons un espace énorme et un travail considérable dans tous les domaines économiques mais la rentabilité est minimale, de telle façon qu'il n y a pas assez pour tous les tunisiens. Le problème principal est que nous ne ressentons pas la nécessité d'améliorer nos méthodes de production. Il faut que l'on sorte de cette routine. Nos agriculteurs et une grande partie de nos industriels manquent de stimulation et ils restent dans leur ignorance et routine. La perte de rentabilité causée par une faible production porte tout le peuple tunisien. Nous avons baissé les bras et on s'est résigné à suivre les mêmes routes tracées depuis des décennies. Nous restons ainsi aussi pauvres qu'auparavant parce que nos frais de productions absorbent tous. Qu'est-ce qui nous empêche d'aller plus loin ? Qu'est-ce qui nous freine? La grande problématique des tunisiens c'est bien cette difficulté à mener une activité à son terme. Il semble que tout nous fasse envie mais nous ne menons jamais les choses jusqu'à leur optimum (rien n'est réellement fini). Et c'est ici où nous avons besoin de nos académiciens et de leur capacité scientifique et analytique. Nous avons besoin de tous ceux qui ont fait des études universitaires et qui sont doués d'un esprit supérieur. La Tunisie a besoin de diplômés qui s'investissent à fond dans les projets même s'ils n'ont rien à voir avec ce qu'ils ont appris auparavant. Nous voulons augmenter notre productivité dans tous les domaines économiques. Il faut permettre au peuple de manger, de s'habiller et d'habiter à bon prix. Il faut augmenter la productivité et diminuer le prix de revient et celui de vente.
La concurrence sur les marchés internationaux des industries à forte productivité rend plus pénible le problème des débouchés pour tous ceux qui ont négligé de se munir des mêmes armes, d'adopter une semblable organisation. Il faut qu'en Tunisie on ait une vision de plus en plus nette de ces difficultés et qu'on s'équipe pour donner à notre pays les moyens de résister à la concurrence étrangère.
'?a ne fait plus de sens d'exporter nos produits agricoles vers les pays du nord. Les Hollandais produisent 460 tonnes de tomates par hectare alors que la Tunisie ne dépasse pas les 20 tonnes par hectare. Nos exportations agricoles et même industrielles engendrent plus de perte que de gain. Nous consacrons un espace énorme et un travail considérable dans tous les domaines économiques mais la rentabilité est minimale.
Très Cordialement
Dr. Jamel Tazarki, Mathématicien
je viens d'acheter aujourd'hui, en Allemagne, un sac de 5Kg de pommes de terre à 2euros...
- enquêter sur les centaines de Tunisiens sur les listes de Panama papers, Malta et Luxembourg leaks, etc. La liste est disponible sur le site de Journalistes d'Investigation sous le titre d'Offshore leaks ( https://www.icij.org/ ).
- Des sociétés de qui vendent localement, comme dans l'audio visuel, se présentent comme société totalement exportatrices et déposent leur benifices au Luxembourg et a Dubai, cherchez l'erreur.
- Estimer le montant de la corruption les pertes dus aux contrats avec les sociétés étrangères comme Alstom qui a du verser une amende de plus de 775 millions pour corruption aux USA. Alstom a des projets de plusieurs milliards en Tunisie.
- Coopérer avec les instances étrangères comme les procureurs américains qui ont réussis les enquêtes contre Alstom, VW, FIFA, pour exemple vous pouvez consulter les responsables de la division "Money Laundering and Asset Recovery" au sein du département de Justice américain ( https://www.justice.gov/criminal-mlars ).
- Voir tout en noir,
- Pleurnicher sur tout et n'importe quoi,
- Tirer sur tout ce qui bouge, aussi bien positif que négatif pour notre pays.
Dans ce pays, où ce pseudo "Chaba7" et ses semblables ne voient en Kais Saïd qu'un coureur de popularité, je leur précise que la popularité du Président est restée intacte après un an d'exercice du Pouvoir. Je connais très peu de présidents que le Pouvoir n'a pas usés, et qui ont gagné le coeur de leurs concitoyens comme le Président Saïd.
Dans notre pays, tous les politiques s'agitent dans la même merde 24/24, 7/7 et 12/12, ils insultent, ils dissertent, ils mentent, ils divaguent, ils font tout, sauf travailler. La Tunisie n'a rien à attendre de ces crapules. Les affamés de Pouvoir se ramassent à la pelle dans notre pays, mais, ceux qui travaillent, se comptent sur les doigts d'une seule main, et je n'exagère en rien.
Alors petit pseudo "Chaba7" et tes semblables : bouclez-la et laisser le Président travailler. Vous pouvez continuer à aboyer, vous n'existez pas pour lui et vous ne l'empêcherez pas de travailler pour son peuple et son pays.
Je trouve louable son initiative.
Ce qui se passe au grand jour, la corruption, les enrichissements sans cause, les trafics et toutes les pratiques illégales, sont de la responsabilité des gouvernements successifs. Et, d'abord, de celle des trafiquants et leurs soutiens.
Il ne restera donc que la berceuse à chanter en récompense à cette décision de génie de notre Cher Président pour qu'il hiberne encore une fois pour zapper EL KAMOUR, LE BASSIN MINIER, L'AFFAIRE DU TERRORISTE TUNISIEN DE NICE... chantons ensemble:
Dodo ROBOCOP do,
Dodo ROBOCOP dormira bien vite,
Dodo ROBOCOP dormira bientôt.
Le monstre de Nice n'est pas un tunisien à l'étranger?
ROBOCOP est un président CARTABLE inconscient !
195 Millions de dinars c'est exactement le Fassad
ROBOCOP est un président CARTABLE !

