L'ancien directeur général des politiques monétaires à la Banque centrale, Mohamed Salah Souilem, est revenu, vendredi 2 août 2024, sur le dernier communiqué du Conseil d’administration de la Banque centrale de Tunisie (BCT).
L’ancien responsable au sein de l’autorité monétaire a estimé, dans une interview téléphonique accordée à Manel Gharbi dans l'émission Expresso sur Express FM, qu’il y a une concentration totale de la part de la BCT sur le processus de la baisse de l’inflation pour renforcer cette tendance baissière. Et de rappeler qu’en février 2023, l’inflation avait atteint 10,4%, et qu’au mois de juin 2024, elle était de 7,3%. La tendance est vers une baisse des prix malgré le fait que plusieurs facteurs ne sont pas en faveur d’une stabilité des prix, notamment les différentes guerres en cours ainsi que la sécheresse prolongée qui impacte les prix des produits alimentaires.
L'expert pense que l’autorité monétaire est en train de se préparer pour baisser son taux d’intérêt directeur, mais pas avant que l’inflation passe au-dessous de la barre des 7%.
Certes, l’inflation a baissé de manière significative depuis février 2023, mais elle reste à des niveaux supérieurs aux niveaux habituels et qui sont généralement dans une moyenne de 5%, a-t-il expliqué.
S’agissant de la préoccupation de la BCT quant au ralentissement de l’évolution des crédits à l’économie notamment dispensés aux PME, Mohamed Salah Souilem a expliqué que ce ralentissement signifie une baisse de l’investissement ce qui impacte négativement la croissance et c’est ce qui préoccupe la BCT. Et de noter que depuis 2011, le rythme de la croissance est probablement le plus bas en quatorze ans depuis l’indépendance. Ce taux de croissance impacte aussi négativement les finances publiques, d’où son recours à l’emprunt. Étant donné l’impossibilité de recourir au marché international et aux prêts bilatéraux, la seule option qui reste est l’emprunt sur le marché intérieur.
En réponse à une interrogation de l’animatrice, il a indiqué que les bons de trésors accaparent environ 25 milliards de dinars alors que les crédits accordés à l’économie sont de l’ordre de plus cent milliards de dinars. Certes, cela peut impacter la liquidité et les crédits orientés vers le secteur privé mais pas dans la mesure que s’imaginent plusieurs.
I.N.
Dans une cas une economie en inflation (cad problème d'investissement / blocage à produire plus ) cad PIB va
diminue / salaire menacé donc ( ici taux doit diminue )
Deux problème contradictoire ?
Vous préfère l'augmentation de l'endettement au blocage économique
Alors augment tx au diminue tx ?
Qui peut répondre ?
"""" la seule réponse juste le système monétaire du BCE en defaut ) cad toujours à une influence sur le partenaire économique et ne peuvent pas réagi par le ratio eco car il sont intégré dans cet economie soit au consommation soit par des investissement )
Résiste contre le BCE a trouve des solutions nececite un expert economiste !!!!!!!!!!! En réalité si les solutions sont présente le BCE va gagner un apprtunite économique incroyable si non il va perdre lentement sa valeur économique
Alors a quel taux vous parle !