Deux accords concernant la création de deux stations de production d’électricité à partir de l’énergie solaire photovoltaïque à Sidi Bouzid et à Tozeur, ont été signés, mercredi 18 septembre 2024, au palais de la Kasbah, entre le gouvernement tunisien et les fournisseurs de solutions d’énergie renouvelable norvégien Scatec et japonais Aeolus, qui fait partie du groupe Toyota Tsusho. C’est ce qu’a indiqué un communiqué de la présidence du gouvernement daté de jeudi 19 septembre 2024.
La construction de ces deux projets de cinquante mégawatts (MW) chacun débutera dans les prochains jours. Le coût total est estimé à environ 79 millions d'euros et sera financé par la Banque européenne pour la reconstruction et le développement (Berd) et Proparco, filiale du groupe Agence française de développement (AFD). Les deux projets, qui devraient être opérationnels d'ici la fin de 2025, permettront de réduire annuellement les coûts de production de l'électricité à partir du gaz naturel d'environ 45 millions de dinars.
La signature de ces accords entre dans le cadre d'un certain nombre de projets inclus dans la première phase du programme de production d'électricité à partir d'énergies renouvelables dans le cadre du système des concessions, au titre duquel cinq projets d'énergie solaire de 500 MW ont été attribués dans cinq gouvernorats, cinquante MW courant alternatif à Tozeur et Sidi Bouzid chacune, cent MW courant alternatif à Kairouan et Gafsa chacune, et 200 MW courant alternatif à Tataouine.
Rappelons que la stratégie énergétique nationale d'ici 2035 vise à réduire le déficit énergétique et donc de produire 35% de l'électricité à partir d'énergies renouvelables d'ici 2030 et de réduire de 30% la demande d'énergie primaire et de 45% l'intensité de carbone et les gaz nocifs pour l'environnement.
L’ambition est d’atteindre 35% d’énergie renouvelable en 2030 se fera via l’implantation d’une capacité de production 5.000 mégawatts pour un investissement estimé à 4,5 milliards de dollars (environ quatorze milliards de dinars).
I.N.
Bien joué, tout de même, et une bonne fournée de piments barla3bide dans la ra*e des nabbaras habituels !!!
au lieu de financer des fonctionnaires , c ca qu il faut financer avec nos propres moyen sans attendre les dons . D ailleurs je doute que ces centrales appartiendront a 100% a la STEG et de toute facon la Steg sera rachet2 par un europeen au vu du deficit du pays .
Jackpot pour l entreprise qui rachetera la Steg
Incroyable !!