Mondher Zenaidi, ancien ministre et candidat à la présidentielle d’octobre, a affirmé ce lundi 5 août 2024 avoir déposé son dossier de candidature à l’élection présidentielle auprès de l’Isie. Un dossier accompagné de près de vingt mille parrainages populaires et de députés, a-t-il dit. Un dossier qu'il a tout de même déposé sans le fameux bulletin numéro 3.
S’adressant aux Tunisiens, dans une vidéo postée sur les réseaux sociaux, Mondher Zenaidi a affirmé : « mon dossier a été accompagné d’un grand nombre de parrainages populaires - de près de vingt mille - et de parrainages de députés de l’ARP qui, malgré le climat de tension et de peur et les nombreuses pressions, m’ont surpris avec leur soutien et solidarité ».
Le candidat à la course à Carthage explique que « malgré le soutien et la confiance du peuple et de ses représentants, la direction aux ordres de Kaïs Saïed a refusé de délivrer le bulletin numéro 3, recourant aux pratiques les plus viles ».
Il ajoute : « Ceci ne m’a pas dissuadé de candidater, avec un dossier contenant toutes les violations et les entraves qui resteront une honte pour ceux qui les ont pratiquées. J’ai confiance en la justice administrative ».
Les avocats de Mondher Zenaidi ont expliqué à travers un communiqué, rendu public à cet effet, que des violations graves et historiques ont été commises par l'administration du président Kaïs Saïed pour l'empêcher de se présenter à l'élection. Le comité de défense précise que Mondher Zenaidi a déposé une première demande d'obtention de bulletin n°3 le 5 juin, une deuxième le 1er juillet et une troisième au consulat général à Paris le 10 juillet.
« Et nous savons tous que le document a été signé, et nous savons quand. Mais aujourd'hui, à vingt-quatre heures de la date limite pour déposer sa candidature, M. Zenaidi reçoit l'enveloppe, censée contenir son casier judiciaire, vide, accompagnée d'un récépissé, au lieu du document lui-même », indiquent les avocats.
R.B.H
La réponse est NON
Même avec 1000.000 de parrainages
Ce mondher que veut il nous dire en déposant un dossier incomplet sachant d'avance qu'il sera à la poubelle
Pauvre tunisie
Je n'attends rien de ce pays. Mon seul espoir est que les femmes tunisiennes sauront Nous débarrasser de ce fléau.
Kais Saïed ne nous a pas respecté en éliminant des candidats pour qui on a pu voté. Kais Saied n'est pas le garant des bonnes moeurs en Tunisie, personne ne l'a chargé d'une telle mission. Kais Saied essaie de nous faire peur par des techniques pas très propres, on n'a pas eu peur de Ben Ali, et ce n'est pas un retraité de l'enseignement qui va nous intimider. Honnêtement, c'est à Kais Said d'avoir peur de la colère populaire après tous cecqu'il a fait et pas à nous. Ce régime capitalise sur la peur, il faut lui montrer qu'il n'a pas les mains libres pour détruire notre pays et emprisonner des citoyens honnêtes.
Lorsque que vous montrez votre peur à un chien, il vous attaque.
Je vous aime, mais je pars.
Vous n'aurez plus de CANDIDAT, ce soir.
Je ne m'enfuis pas. Je vole.
Comprenez bien, je vole.
Sans fumée, sans alcool,
Je vole. Je vole.
ILLI BAADOU.AU SUIVANT. WHO'S NEXT.
Je vous aime, mais je pars.
Vous n'aurez plus de CANDIDAT, ce soir.
Je ne m'enfuis pas. Je vole.
Comprenez bien, je vole.
Sans fumée, sans alcool,
Je vole. Je vole.
ILLI BAADOU.AU SUIVANT. WHO'S NEXT.
Ce ne sera même pas une mascarade ce sera une quasi ignominie
Les pays qui jouent avec une démocratie à géométrie variable, comme nous, on joue à khamssa k3ibétte, ne donne rien sans contrepartie !!!
Ils ont certainement dû lui donner la nationalité française, dès les premiers jours de sa résidence en France, tout comme l'ensemble des traitres qui avaient pris la poudre d'escampette (El karama & Co) dès les lendemains du 25 juillet béni !!!!
. Vous aussi, vous basculez dans la médiocrité ?
Il fallait arrêter le mal des le début alors qu'il a commencé à donner des indices clairs de ce qui nous arrive aujourd'hui pour pouvoir parler réellement d'élections. Maintenant le malheur brut s'est bien installé malgré l'augmentation en flèche du mécontentement et du désespoir populaire envers ce régime. Il y a juste l'appareil coercitif qui le maintient au pouvoir meme pas les quelques brebis qui sillonnent les pages webs pour intimider, diffamer, et attaquer ses détracteurs .
Bye-bye le changement civilisé bien ordonné par les urnes. Lisez les nouvelles aujourd'hui sur le Bangladesh pour saisir mon point.