
A l’occasion du 25e Congrès de l’Union générale tunisienne du travail (UGTT), le chef de la Centrale patronale, Samir Majoul, a donné une allocution parsemée de paroles taquines à l’égard de son hôte, le chef de la Centrale syndicale, Noureddine Taboubi. Il a souligné, notamment, les liens solides entre les deux organisations natonales.
« Nous sommes responsables des générations futures, de notre économie, de nos institutions créés en 46 et 47 pour construire la république et libérer la Tunisie (…) L’UGTT est responsable du capital humain, et nous à l’Utica, partenaires de l’UGTT, sommes responsables des entreprises », a-t-il avancé.
« Le chef d’entreprise n’a qu’un objectif celui de faire tourner son entreprise, mais pour le faire il faut un environnement qui encourage à l’investissement, de la compétitive et une économie qui n’est pas ligotée par des politiques erronées (…) La politique ne doit pas s’inoculer dans nos institutions. Le vrai danger depuis 2011 est toutes ces tentatives de politiser l’économie et les institutions », a-t-il lancé avant de marteler à l’adresse de la classe politique : « Vous ne pouvez nous atteindre. Vous pouvez tout prendre sauf nos cerveaux car nous sommes honnêtes. Le syndicalisme nous l’avons dans le sang ! ».
S’adressant à son hôte, Samir Majoul a ajouté : « Nous ne voulons pas de la privatisation des entreprises publiques. Nous souhaitons simplement qu’elles deviennent rentables, qu’elles soient la locomotive d’une économie pérenne (…) Je te laisse te reposer jusqu’à samedi car ce jour là nous travaillerons sur un plan économique qui sortira la Tunisie de l’ornière ».
Le chef de l’Utica n’a pas manqué d’exprimer son adhésion au projet de révision de la Constitution de 2014. Il a rappelé, dans ce sens, son opposition au texte rédigé par la Constituante. « Avec cette constitution, jamais nous n’aurons une majorité stable (…) Nous avons perdu tout notre patrimoine en dix ans (…) Ils font des conneries et nous payons ! Assumons donc notre responsabilité et ne vous inquiétez pas nous sauverons la Tunisie ! ».
N.J.
Le reste, mais bien sûr qu'il faudrait reformer nos entreprises publiques, voir même la suppression de certaines compensations pour certains produits.
Il ne faut pas oublier que nous sommes au 21e siècle, et l'état n'est pas la vache à lait pour tout.
Il faudrait aussi attirer les investisseurs étrangers dans notre pays, mais avec des revendications et des grèves tous les quatre matins n'est-ce pas Mr Taboubi.
Du côté du patronat aussi, il faut savoir comment distribuer un peu de richesse aux salariés afin qu'ils s'investissent également de leur côté.
Alors bon congrès, et avant marche toute.
Toujours à s'unir contre le peuple tunisien du côté des dictateurs?
Abdessalem Jerad et Hédi Jilani, vous saluent!!!
Il faut au moins nous répondre à une seule question:"si les problèmes n'existent qu'après la Révolution du 14 janvier 2011, pourquoi le peuple tunisien avait-il donc chassé le défunt dictateur déchu et tous ses amis les "bienfaiteurs des Tunisiens", même de l'UGTT et de l'UTICA?
Toujours à miser sur l'oubli des débiles?
Et pourquoi a chassé le basané Ben Ali le grand Géneral le Dictateur Petit cou ?
C´est pour établir enfin la prémière démocratie en Tunisie.
Et pourquoi a chassé syednè El èmir Al3athim Kaiis Saied la démocratie naissante?
C´est surtout pour réaliser ce que le très grand Kaddafi n´a pu réaliser..
On ne s'ennuie jamais en Tunisie, c´est bien garanti!
Rejoignez le President Saïed et on s'attachent tous à la tâche. Personnellement, vos deux organisations ne m'inspirent que méfiance et dégoût.
Deux dinausaures de la nomenklatura du RCD, inutiles comme des goitres !
La Tunisie a besoin de vrais hommes ,pas des hypocrites pour passer
à autres choses loin des démagogies.
Monsieur Majoul dites nous le projet du facho comploteur pour qu'on adhère.
Défendre les quelques familles qui monopolisent l'économie tunisienne?
Si vous voulez une majorité stable il suffit de proposer un projet de loi et pas suspendre l'ARP. Vous êtes tous des hypocrites. Vous avez réussi à placer quelques mots pour montrer votre rattachement à SIDCOM le comploteur.

