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Saïda Garrache : Le chef de l’Etat a joué un rôle d’arbitrage
04/01/2019 | 09:30
1 min
Saïda Garrache : Le chef de l’Etat a joué un rôle d’arbitrage

 

La porte-parole de la présidence de la République, Saïda Garrache a affirmé, ce vendredi 4 janvier 2019, que la situation du pays exige plus d’efforts afin de surmonter les difficultés. Elle a, dans ce sens, souligné que le chef de l’Etat, Béji Caïd Essebsi a assumé la responsabilité de chercher des solutions aux crises qui plombent le pays.

Mme Garrache a ainsi précisé que pendant son mandat, le président de la République a joué un rôle d’arbitrage entre les parties en conflit afin de les aider à dépasser leurs différends. Son intervention étant toujours au service de l’Etat.

Concernant les prochaines échéances électorales, l’invitée de Shems FM a indiqué que le chef de l’Etat s’engage à respecter les dates fixées en tant que moyen d’instaurer le processus constitutionnel. La mise en place de la Cour constitutionnelle ainsi que l’élection des membres de l’Instance supérieure indépendante pour les élections (Isie) émanent de la responsabilité du Parlement afin de faire réussir les rendez-vous électoraux.

B.L


 

 

04/01/2019 | 09:30
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Commentaires (5)

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Maryem
| 04-01-2019 19:32
Quel arbitrage ya Madame Garage..Ton president est entre au palais de carthage par effraction,,celui qui l a aide en faisant la courte echelle c est son partenaire d hier Rached Ghannouchi....suite a un accord entre les deux lascars...ton president est le principal responsable du chaos economique,culturel et social dans notre pays.

Akoubi Ammar.
| 04-01-2019 14:32
On a vraiment marre de ces déclarations insignifiantes faites par le personnel pléthorique engagé dans les hautes structures de l état et dont les frais, rémunérations, avantages divers, charges annexes, surcoûts grèvent le budget de l état et par conséquent supportés par le contribuable. Par ailleurs, ces nominations se répercuteront sur la trésorerie des caisses sociales qui sont très généreuses avec les corps des ministres, des gouverneurs et des députés.

jaghmoun
| 04-01-2019 11:45
le palais de carthage est bourré de mensonges.
un palais maudit et contaminé par les jnounes.
c'est le palais qui a detruit la tunisie .
toutes les decisions malsaines .
beji est rentré par les voix des femmes.
il sortira par un trou etroit et burn out.
saida sassi 2 denote,efface,bleuffe,trompe.
solution radicale : fermer ce kouri infecte.
reformer le destour :president honneur
allemagne,israel,italie,inde,......
budget 129 milliards de quoi faire
construire un hopital par an.
prestige,fanfare,salle d'or,costume,arome
berline,valet,faste,nichan,nappage,
reception,pistache,fric,.......baratin
le peuple agonise,l'etau se ressere.
ben ali a attrappé la gale politique
il est damné par la foudre divine
bourguiba touché par le parkinson
et soustiré par la force du pouvoir
marzouki sort en burnouss avec une
mine tenebreuse ejecté par le peuple.

Abel Chater
| 04-01-2019 11:07
Le président Béji Caïd Essebsi, n'a jamais fait preuve d'une quelconque neutralité pour un quelconque arbitrage entre son fils Hafedh Caïd Essebsi et ses adversaires. Il s'est transformé en le principal pilier du problème de Nidaa Tounes, au lieu d'appartenir à la lueur de ses solutions.
Son arbitrage, ne penche qu'au profit de son fils Hafedh Caïd Essebsi et des dictateurs et des despotes arabes. Depuis sa nostalgie maladive pour l'ère macabre sous le défunt dictateur déchu Bourguiba, où il a oeuvré activement sans vouloir s'excuser le moindre auprès du peuple tunisien, jusqu'à la sympathie incompréhensible, qu'il réserve pour tous les «Saffahs» de leurs peuples arabes, en Syrie comme en Egypte, comme partout ailleurs.
C'est Béji Caïd Essebsi qui a envoyé sa Bande à Mbarka, pour soutenir le plus grand génocidaire de son propre peuple syrien, le destructeur de la Syrie et le traître qui a mis son pays sous l'occupation réelle de l'Iran et de la Russie, le Saffah Bachar Assad.
C'est Béji Caïd Essebsi, qui s'est arrêté pour serrer la main sanglante de l'autre sanguinaire «Saffah» d'Egypte, l'assassin de milliers de ses propres concitoyens à la Place Rabiaa, le putschiste Sissi, jusqu'à avoir osé l'inviter pour venir salir la terre sainte des Tunisiens, contre la volonté du peuple tunisien.
C'est Béji Caïd Essebsi, qui a accueilli le prince héritier Scie Monchar, de l'Arabie Saoudite, pour venir embellir sa face de meurtrier, en Tunisie.
Les exemples ne s'arrêtent pas là, pour démentir la théorie d'un rôle d'arbitrage quelconque du président Béji Caïd Essebsi, dont se vante Madame Guerrache. L'arbitrage dont elle parle, ressemble beaucoup à l'arbitrage de l'Algérien Mahdi Abid Charef, lors du match entre Al Ahly et l'Espérance sportive de Tunis, au Caire. Sauf que cette mascarade s'est terminée par la suspension de cet arbitre par la CAF.
Et les mascarades dont on vit avec notre cher actuel président de la République, depuis le vol de l'héritage des morts musulmans tunisiens, à qui il interdit même de quitter ce bas monde avec dignité et dernière volonté, jusqu'à offrir nos femmes musulmanes aux Chrétiens et aux juifs, comment vont-elles finir aux prochaines élections du mois d'octobre prochain?

Abir
| 04-01-2019 10:27
Madame,chaque fois que le destructeur numéro 1 se trouve coincer dans une accusation et combien elles sont nombreuses , Béji le fait sortir comme un cheveux de la pâte 1, 2, de quelles élections vous parlez,alors que les dossiers des assassinas et l'appareil secret de votre allié le chef de la secte criminelle ne sont pas résolus,non madame,les Tunisiens n'iront pas aux élections pour donner une légitimité à ce chef de la secte et le blanchir pour passer du nouveau cinq ans dans la souffrance et pour le plaisir d'un futur président et chef de gouvernement,non et non,nous nous sommes pas de ceux qui vomissent et puis ils lèchent leur vomissement ,assez de laxisme et trahison avec les Tunisiens et les Tunisiennes