La porte-parole de la présidence de la République, Saïda Garrache a affirmé, ce vendredi 4 janvier 2019, que la situation du pays exige plus d’efforts afin de surmonter les difficultés. Elle a, dans ce sens, souligné que le chef de l’Etat, Béji Caïd Essebsi a assumé la responsabilité de chercher des solutions aux crises qui plombent le pays.
Mme Garrache a ainsi précisé que pendant son mandat, le président de la République a joué un rôle d’arbitrage entre les parties en conflit afin de les aider à dépasser leurs différends. Son intervention étant toujours au service de l’Etat.
Concernant les prochaines échéances électorales, l’invitée de Shems FM a indiqué que le chef de l’Etat s’engage à respecter les dates fixées en tant que moyen d’instaurer le processus constitutionnel. La mise en place de la Cour constitutionnelle ainsi que l’élection des membres de l’Instance supérieure indépendante pour les élections (Isie) émanent de la responsabilité du Parlement afin de faire réussir les rendez-vous électoraux.
B.L
Commentaires (5)
CommenterLe theatre de l arbitrage et le comedien a deux sous-
La Tunisie est très riche, on y plante les ministres conseillers partout.
CARTHAGE DES JNOUNES MAUDIT
un palais maudit et contaminé par les jnounes.
c'est le palais qui a detruit la tunisie .
toutes les decisions malsaines .
beji est rentré par les voix des femmes.
il sortira par un trou etroit et burn out.
saida sassi 2 denote,efface,bleuffe,trompe.
solution radicale : fermer ce kouri infecte.
reformer le destour :president honneur
allemagne,israel,italie,inde,......
budget 129 milliards de quoi faire
construire un hopital par an.
prestige,fanfare,salle d'or,costume,arome
berline,valet,faste,nichan,nappage,
reception,pistache,fric,.......baratin
le peuple agonise,l'etau se ressere.
ben ali a attrappé la gale politique
il est damné par la foudre divine
bourguiba touché par le parkinson
et soustiré par la force du pouvoir
marzouki sort en burnouss avec une
mine tenebreuse ejecté par le peuple.
Arbitrage comme celui de l'Algérien qui a sifflé le match entre Al Ahly et l'Espérance sportive de Tunis, au Caire.
Son arbitrage, ne penche qu'au profit de son fils Hafedh Caïd Essebsi et des dictateurs et des despotes arabes. Depuis sa nostalgie maladive pour l'ère macabre sous le défunt dictateur déchu Bourguiba, où il a oeuvré activement sans vouloir s'excuser le moindre auprès du peuple tunisien, jusqu'à la sympathie incompréhensible, qu'il réserve pour tous les «Saffahs» de leurs peuples arabes, en Syrie comme en Egypte, comme partout ailleurs.
C'est Béji Caïd Essebsi qui a envoyé sa Bande à Mbarka, pour soutenir le plus grand génocidaire de son propre peuple syrien, le destructeur de la Syrie et le traître qui a mis son pays sous l'occupation réelle de l'Iran et de la Russie, le Saffah Bachar Assad.
C'est Béji Caïd Essebsi, qui s'est arrêté pour serrer la main sanglante de l'autre sanguinaire «Saffah» d'Egypte, l'assassin de milliers de ses propres concitoyens à la Place Rabiaa, le putschiste Sissi, jusqu'à avoir osé l'inviter pour venir salir la terre sainte des Tunisiens, contre la volonté du peuple tunisien.
C'est Béji Caïd Essebsi, qui a accueilli le prince héritier Scie Monchar, de l'Arabie Saoudite, pour venir embellir sa face de meurtrier, en Tunisie.
Les exemples ne s'arrêtent pas là, pour démentir la théorie d'un rôle d'arbitrage quelconque du président Béji Caïd Essebsi, dont se vante Madame Guerrache. L'arbitrage dont elle parle, ressemble beaucoup à l'arbitrage de l'Algérien Mahdi Abid Charef, lors du match entre Al Ahly et l'Espérance sportive de Tunis, au Caire. Sauf que cette mascarade s'est terminée par la suspension de cet arbitre par la CAF.
Et les mascarades dont on vit avec notre cher actuel président de la République, depuis le vol de l'héritage des morts musulmans tunisiens, à qui il interdit même de quitter ce bas monde avec dignité et dernière volonté, jusqu'à offrir nos femmes musulmanes aux Chrétiens et aux juifs, comment vont-elles finir aux prochaines élections du mois d'octobre prochain?