
Le porte-parole du Conseil national des régions et districts, Riadh Dridi, était, vendredi 25 octobre 2024, sur le plateau de Hatem Ben Amara, dans la matinale de Jawhara FM.
Il a expliqué que la constitution accorde au conseil un rôle de contrôle et que les élus travaillent activement à réaliser des projets entravés et à accélérer la réalisation des projets en cours dans les régions.
Le décret n°1 de 2024 relatif à l'organisation des relations entre l'Assemblée des représentants du peuple et le Conseil national des régions et des districts a été, rappelons-le, publié au Journal officiel de la République tunisienne en septembre dernier. Le texte comporte 27 articles répartis sur trois grands chapitres baptisés « Examen des projets de loi », « La plénière dédiée à la prestation de serment » et « Le contrôle ».
Le décret indique que le président de l'ARP doit directement transférer les projets de loi portant sur les conventions ou contrats d'investissement liés aux richesses nationales, au budget, aux plans de développement nationaux, régionaux ou locaux après leur adoption par le parlement. Le Conseil national des régions et des districts doit étudier ces textes dans un délai ne dépassant pas les quinze jours. Ces délais ne s'appliquent pas pour les projets de loi de plan de développement et les projets de loi de finances. En cas de non-adoption par le conseil du projet de loi ou de sa révision, le texte est renvoyé au président de la République et au président de l'ARP accompagné des motifs justifiant cette décision.
Pour ce qui est des projets de loi de finances, ils sont abordés lors d'une plénière commune rassemblant les membres de l'ARP et du Conseil national des régions et des districts. Les projets de loi sont votés par les membres de l'ARP, puis par ceux du Conseil national des régions et des districts. Ils votent article par article puis le texte dans son intégralité. En cas de révision du texte par le conseil, un comité paritaire est créé dans le but d'uniformiser le texte dans un délai ne dépassant pas les trois jours. Le texte est présenté à une seconde plénière commune. En cas de non-adoption du second texte ou de désaccord entre les membres du comité, il est transféré au président de la République puis promulgué.
Le décret met, aussi, en place un comité paritaire comportant cinq membres de chacune des deux chambres. Le texte se contente de dire que ces derniers seront choisis sans préciser par qui ou en fonction de quels critères. Le comité devra se pencher sur les points de discorde entre les deux chambres au sujet des projets de loi de plan de développement. Ces divergences doivent être résolues en l'espace de sept jours. Le projet de loi doit par la suite être adopté par l'ARP dans un délai ne dépassant pas les trois jours. En l'absence d'entente entre les membres du comité, le projet de loi est transféré au président de la République pour les promulguer.
M.B.Z
D'ailleurs, à la lecture de ce qui se passe aujourd'hui, il faut vraiment être aveugle pour ne pas comprendre ce qui c'était passé en 2011, à savoir ce que vous racontaient Léon et JW depuis le 14 maudit.
Est-ce qu'une révolution qui, soit dit en passant, prétendait se battre pour:
1) pour le multipartisme,
2) la liberté d'expression
3) la liberté de presse,
accouche dix années plus tard:
1) d'un président qui n'est issu d'aucun parti (et treize années plus tard avec presque tous les chefs de partis en taule),
2) la parole muselée jusqu'à la caricature extrême avec d'une journaliste, avocate de surcroit, qui s'est retrouvée en taule pour avoir répété un mot que disent TOUS les tunisiens en parlant de leur pays depuis leur sacro-sainte révolution qu'ils regrettent du fond de leur coeur.
3) des journalistes et hommes de médias en taule.
Alors comment expliquer tout cela?
- Premièrement, pour "oser" ce qu'ils osent aujourd'hui, c'est qu'ils ont des appuis de personnes qui, cachées depuis 2011, savent pertinemment ce qu'est la révolution de 2011 pour l'avoir concoctée avec leurs frères atlantistes. Ils ont dû Leur dire: "n'aies aucune crainte, la révolution, c'est nous qui l'avons faite, le peuple n'y est pour rien; tu verras. Mets tout ce qui te dérange en taule et tu verras; personne ne bougera. C'est nous qui faisons bouger qui on veut! Tu peux chier sur le peuple, il ne dira rien. Ce qui compte c'est la bonne rhétorique. Ton peuple est un peuple de "Hossad", promets-leur juste que tu tueras les riches. Ils seront H.E.U.R.E.U.X! Ce sont des "musulmans" comme on les aime (crédules et auto-destructeurs). Raconte pout cela quitte à foutre ton pays dans la merde, et tu verras, cela marchera à merveille".
Ils ne lui diront bien sûr pas qu'ils n'ont fait qu'obéir à leurs maitres atlantistes. Mais le petit jeu risque de s'arrêter le 5 novembre avec les élections américaines, ils ont intérêt à habiter pas loin de l'aéroport, ou anticiper et partir tout de suite).
- Deuxièmement, il fallait bien qu'il y ait des juges pour mettre les gens en taule. Quoi de plus facile, lorsqu'ils ces juges trainent eux-mêmes des casseroles (comme la plupart de ce peuple vil)? Le chantage prend à tous les coup! Je leur conseille de ne pas aggraver leur cas et se compromettre davantage.
Mais, au bout de l'obscurité luit toujours une Lumière. Celle du Créateur! Elle ne tardera pas à éclairer le Peuple entier, glorifier le Créateur, et faire émerger les Justes!
Léon, Min Joundi Tounis Al Awfiya,
Résistant,
VERSET 112 de la SOURATE des ABEILLES.
Toutes les autres explications ne sont que des tromperies destinées à dégager la responsabilité de "chesmou", son gouvernement, ses ministres et son administration.
Le cas de la piscine du Belvédère le prouve: le financement de 18 millions de dinars ne vient pas de la municipalité de Tunis, ne vient pas du budget de l'état, ne vient pas non plus du budget de la présidence, il vient tout simplement d'un "don" d'une banque privée nommée BIAT !!!
"Don" volontaire ou racket ? That is the question ...
De toutes les manières, la banque n'est pas une oeuvre de charité et elle va certainement répercuter ces "dépenses forcées" sur ses frais et services !!!
Mais tout ça sera moins visible, puisque dilué dans le temps et dans l'espace.
et apres ca s etonne que rien n avance et que 750 000 fonctionnaires coute cher
Pour le moment il ne s'agit que de préalables administratifs, de papiers.