Le ministère des Affaires culturelles vient d’annoncer, ce dimanche 31 mai 2020, que les festivals de Carthage et de Hammamet n’auront pas lieu cette année et qu’ils sont reportés à 2021.
Le ministère informe qu’après une réunion avec des membres de la commission scientifique Covid-19, plusieurs mesures de sécurité sanitaire ont été décidées dans le cadre de la reprise des activités culturelles. Ainsi, la reprise des centres d’activités culturelles et les salles de fêtes et de spectacles se fera en deux étapes.
A partir du 14 juin 2020, les espaces culturels fermés pourront reprendre leurs activités à condition que le nombre de personnes présentes ne dépasse pas 30. A partir du 15 juillet, les salles de spectacles en plein air seront de nouveau ouvertes au public à conditions de ne pas dépasser 1.000 présents et de respecter les mesures sanitaires (distanciation sociale, port de masque et répartition des présents en groupes de 30 personnes au maximum).
Le ministère des Affaires culturelles explique que la reprise de ces activités obéira à un protocole sanitaire détaillé et à un suivi strict du respect des règles d’hygiène.
1077 contaminés par le Covid-19 ont été recensés et annoncés jusqu'au 30 mai courant, sur les 51 881 tests effectués avec 960 rétablissements et 48 décès.
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R.B.H
Les beuveries dans les coins de rues et sous les murs des riverains avec saletés ;
Et les chaises des cafés anarchiques au bord des plages ;
Et les tentes (et les draps accrochés) posées anarchiquement au bord des plages ;
Et les jeux de la raquette (en bois) au bruit strident appelée caricaturalemement "beach";
Et le football prenant toute l'aire de la plage pour un jeu brutal et sans principe, alors que des aires aménagées pour le volleyball auraient été nettement meilleures, ou l'utilisation des stades de football, dont les nouveaux minifoot qui sont complètement délaissés;
Et les pollutions sonores des audios dans les véhicules stationnés sous les habitations;
Et les rassemblements dans les demeures pour célébrations de fêtes ;
Et les visites "sacrées" des véhicules en surnombre à Sidi Bou Said, La Marsa, Ghar el melh, Rafraf, le Kram et autre Hammamet;
Et les atroupements de jeunes aux coins des rues pour l'apprentissage de blasphèmes à l'écoute (ciblée intentionnellement ) aux passants et les riverains;
Et kes stationnements anarchiques devant les garages des habitants;
Et les stationnements anarchiques dans les rues et les impasses residentielles;
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