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Mohamed Samti condamné à cinq ans de prison
10/04/2025 | 11:29
1 min
Mohamed Samti condamné à cinq ans de prison

 

La chambre criminelle près le tribunal de première instance de Tunis a condamné le blogueur Mohamed Samti à cinq ans de prison avec exécution immédiate en raison d’une vidéo publiée sur les réseaux sociaux.

Mohamed Samti a été jugé par contumace et condamné en vertu de l‘article 24 du décret n°54 relatif à la lutte contre les infractions liées aux systèmes d’information et de communication. Il avait publié une vidéo dans laquelle il menaçait et insultait les magistrats.

Dans la même vidéo, Mohamed Samti a affirmé avoir préparé une liste nominative des magistrats dont il publiera les informations personnelles dans le but de faciliter les attaques et les actes de violences les ciblant.

 

S.G

10/04/2025 | 11:29
1 min
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Commentaires
*********
Bizarre
a posté le 10-04-2025 à 15:05
D'où ils sortent ces gens qui détiennent des documents ultra secrets ? Qui sont ils ces gens ?
Ont ils le droit de sortir les secrets d'état ?
Citoyen_H
@********* 10-04-2025 à 15:05 DE DEUX, CHOSES L'UNE.
a posté le à 16:09
Ce gredin a certainement bénéficié de complicité venant de traitres ayant siégé à un poste leur permettant d'avoir accès à ce type de renseignements.
Une chose est certaine à mes yeux.
Il doit s'agir d'un des milliers d'imposteurs traitres ayant fait partie de l'administration de la maudite terka ou d'un des membres ayant fait partie du lot des centaines de milliers de recrues ( des ignares incultes au faux-diplôme pour la majorité d'entre-eux) ayant été embauchées à la pelle, lors de l'accès au pouvoir des gardiens d'étables et d'écuries.
Mais, il se pourrait aussi, que ce soit l'oeuvre d'une taupe de l'un des fronts de traitres, experts incontestés dans le domaine de la traitrise et de la corruption, qui, depuis 2021, remuent ciel et terre pour recouvrir leur ancien statut de ripoux, qui avait précipitamment pris fin, un certain mois de juillet béni.


*******
Citoyen-H
a posté le à 16:55
C'est bien triste, ils y vont à leur perte.
Mala hala ils pullulent à travers le monde.