C'est les parents qui seront les premiers à enfreindre la loi. Mais les enseignants aussi, parce qu'ils sont du même peuple. Et monsieur le ministre, il fallait aller graduellement. 1 faire que l'enseignant donne de son mieux, 2 donner aux élèves un programme ou l'élève s'intègre, 3 être équitable. La, vous divisez le salaire de l'enseignant en deux. Ils avaient des visions pour cette année voyez vous: une voiture, un autre niveau d'habitation, etc. etc.

Ils existe toujours des élèves faibles dans une matière ou une autre où même dans plusieurs pour raison de l'un de parent a un niveau limité ou à causse de manque du temps, donc le seul remède c'est les cours particuliers, mais l '?tat qui donne une importance à l éducation et à l avenir de l'enfant doit prendre la solution même si elle assume les frais des cours particuliers, donc c'est à l'état d'organiser des heures supplémentaires pour les profs qui accepteront de les faire et c est l'état qui payerait les profs et au saint de l'établissement ainsi finit l'exploitation de côté des professeures et même autres conneries dramatiques et les enfants sont sécurisés-es

tu veux que l'état paye pour un élève qui va travailler dans un autre pays

*** ya madrassati

voici l'exemple type dune société qui court à la faillite du système d'éducation publique qui a commencé avec Ben Ali.

ce genre de loi va tout simplement donner l'effet inverse. moins de profs dans le public et plus de profs dans le privé histoire d'éviter les sanctions.

une solution simple et radicale ( oui radicale et j'assume mes mots)

eradiquer l'enseignement privé et obliger tout le monde , profs et parents à l'enseignement public. les cours particuliers faisant partie d'un enseignement public, droit et honnête, heures supplémentaires pour les profs payées qui veulent en faire.

bref quand on veut on peut, mais d'abord il faut éradiquer des dinosaures qui n'ont rien dans la cervelle à part oui oui oui chef sans aucune proposition concrète.

prenons l'exemple d'un prof dans le public qui donne des cours privés à son fils et un copain ensemble. on le sanctionne en le soupçonnant d'être payé sans même le savoir ?

banana republic with so many bhayem and one bghal, bis repetita...

zayed el klem

Brandir la menace de la repression n'est pas toujours la bonne méthode, surtout quand le système de cours particuliers est devenu, au fil du temps, une condition sine qua non pour réussir ses études face, ne nous voilons pas la face, à l'inefficacité de l'enseignement public dans certains domaines ou certaines regions du pays.
Il faut proposer quelque chose de plus intelligent, d'imparable, de performant et surtout de moins onéreux.
Il existe des systèmes d'enseignement à distance, appelés les "MOOC" (dispensés soit gratuitement, soit moyennant finances quand il sont couronnés par des diplômés) destinés à tout un chacun désirant approfondir ses connaissances dans telle ou telle matière.
On pourrait s'en inspirer pour des cours de soutien scolaires, secondaires ou universitaires.
Parce que blâmer les professeurs qui assurent, de manière honnête et déontologique, un soutien scolaire mérité à certains élèves en difficultés, c'est comme blâmer les médecins de la santé publique autorisés à exercer partiellement dans le secteur privé.
Ce qui revient à dire que c'est l'ensemble du secteur de l'enseignement qui doit être repensé (surtout en tenant compte des avancées technologiques) et remodelé en fonction des exigences modernes du marché de l'emploi.
Là aussi, Utica et organisations patronales devraient être plus impliquées pour mettre la main à la poche et financer des études sur certains secteurs de pointe afin d'assurer le futur et la pérennité des entreprises existantes en même temps que la création de nouvelles activités liées à l'évolution des technologies et des marchés.

Si on choisi de travailler dans le secteur public comme fonctionnaire il est interdit de faire un autre travail a l'exception de l'agriculture si le terrain vous appartient
Et ça n'a rien a voir avec la liberté d'expression ni la liberté de croyance ni la liberté individuelle...
Donc il est unterdit à un fonctionnaire de faire dans les heur6de repos
Chauffeur de taxi
Boulanger
Plombiers
Commercial pour une ste privé
Des cour particulier renumere
Auto-écoles
Etc ..

Mr le ministre, avant d'aller aux sanctions, il faut réformer et prendre plusieurs facteurs en considération,je vous donne un simple exemple,un enseignant du gouvernorat de Jendouba que vous envoyez enseigner a douar hlima dans la frontière tuniso-algerienne et qui est obligé de prendre trois moyens de transport (taxi, louanges et puis transport rural) et cela aller et retour ce qui lui coûte la moitié de son salaire, sans parler du dégoût,de la fatigue ou des conditions météorologiques,parce que Mr je ne pense pas qu'une fois arrivé a l'école complètement mouillé par la pluie après ce parcours du combattant qu'il va donner un quelconque rendement alors que si vous faites un bon planning et que les enseignants soient placés le plus proche possible de leurs lieux de résidence là vous pourrez les sanctionné pour manquement aux devoirs,Mr ce que vit la majeure partie des enseignants est semblable à l'enfer a l'exception d'une sélection de privilégiés (UGTT ou parents , connaissance influentes) bref Mr vous avez beaucoup de choses à revoir

Cette nouvelle société des derniers de la classe, aigris et jaloux: "kif el fartsa min rasse el rasse". Se vengeant de tout et sur tout.
Les cours particuliers ? Ben Ali avait tout essayé et avait même radié des profs en 92 et 93. Mais en vain, il avait fini par plier, la vague était très forte.
Depuis le deuxième coup d'état atlantiste (celui de 2021 après celui de 2011), KS s'attaque aux symptômes, jamais aux causes.
Cela aura une vertu évidente : celle de créer le ras le bol de toutes les franges de la société jusqu'à pousser le pouvoir à la sortie.

Léon min joundi Tounis Al Awfiya,
Résistant,

Verset 112 de la sourate des abeilles

Effectivement.
=> Lorsque l'on a "sa madame la "coiffeuse" (régente de Carthage)" qui a son projet d'école internationale et que l'on est un mou - socialement parlant - on ne peut que s'y plier.
...
Je regrette Léon, mais Ben Ali n'a absolument rien fait.
En atteste d'ailleurs la prolifération de ces établissements que je considère "d'enseignement parallèlle, comme les Bouabdelli et compagnie, toutesayant fait surface durant "l'ère nouvelle' (rétrograde).
Ce couple présidentiel n'ayant aucjne notion culturelle et cela se savait.
=> C'est pour contrer ces dires (qui n'étaient encore que des rumeurs à l'époque de Zaba) que ce dernier entreprit alors le projet de "cité de la culture" ...
...
Culturellement, ce couple équivallait à une courge sèche : c'est creux et vide.

benali s'est permis d'occuper une aile de la paroisse St Cyprien (l'Archevêché de la Marsa) pour en faire une école privée afin d'éviter à ses filles, qui étaient inscrites à Bouebdelli, le déplacement. Après 2011, sur un terrain avoisinant a été construit un collège. Les questions qui se posent : 1/ cet établissement était-il la propriété des b.ali/trabelsi ? si oui, comment et à combien l'a-t-il acheté ? 2/ Qui en sont les propriétaires aujourd'hui ? 3/ la municipalité peut-elle nous éclairer sur la légalité du titre de propriété de l'école et du terrain sur lequel a été construit le 2ème bâtiment ?

Tous les commentaires convergent vers un soutien au ministère de l'éducation nationale.
Oui l'école d'aujourd'hui n'est plus celle d'autrefois !
Obsession, et cupidité démesuré pour une majorité d'enseignants ( qui ne sont pas d'ailleurs des enseignements ! Une mentalité exécrable digne des délinquants en col blanc !
Hélas, l'école des années 50/60 basée sur le savoir, l'éducation des enfants de la nation, privés par l'occupant de s'instruire, et d'aller aux écoles, des enseignements imbus de patriotisme et de la formation des hommes de demain.
pour un avenir meilleur.
Où en sommes nous actuellement ?
Décennie noire avec son lot de malheurs,un corps éducatif dépourvu de toute morale ni de respect envers les enfants de ce pays .

A Sfax , vous n imaginez pas le volume des études privés , les enseignants sont devenus très riches , ils ne connaissaient même pas leurs salaires versés par le ministère , c dommage aucun contrôle même pas contrôle fiscal sur les éléments de leurs train de vie .......

A) à l'intention de notre Ministère de l'éducation:
- il n'y a aucune raison convaincante afin d'interdire dans un pays démocratique les cours particuliers à domicile. Le Ministère de l'éducation touche ainsi à nos libertés individuelles, ceci constitue même une ingérence dans la vie privée et dans la vie familiale des Tunisiens. Il y a certes d'autres solutions que les interdictions, les conflits et les méthodes antidémocratiques.

- Puis même si les cours particuliers sont autorisés seulement à l'intérieur des établissements éducatifs, ceci ne changerait absolument rien au risque que certains enseignants pourraient toujours privilégier les élèves qui prennent des cours particuliers.
--> Que les cours particuliers soient réalisés à l'intérieur ou à l'extérieur des établissements éducatifs, ceci ne change absolument rien au fait que certains enseignants pourraient toujours privilégier certains élèves.
-->
Nous avons besoin d'une grande transformation qui soit plus subtile qu'une simple greffe qui se limite à l'introduction de l'uniforme scolaire ou à l'interdiction des cours particuliers à l'extérieur des établissements scolaires. Il nous faut plutôt une école pragmatique et du possible, combinant gradualisme et continuité, laisser-faire et intervention, mouvements libéraux et classicisme. Il s'agit d'un changement majeur et non pas superficiel.


B) à l'intention de certains commentateurs qui prétendent que "Les enseignants qui donnent des cours particuliers, exercent des pressions sur les élèves qui ne désirent pas prendre des cours..... mauvaise note aux examens, pour les récalcitrants... 18/20, pour ceux qui marchent.." :))
-->
voilà du n'importe quoi. J'étais moi-même à l'école tunisienne, mes parents étaient pauvres et on n'avait pas les moyens pour les cours particuliers. Et pourtant mes enseignants au collège ne m'ont jamais donné une mauvaise note. J'avais même la meilleure moyenne en mathématiques...
--> je me répète: Que les cours particuliers soient réalisés à l'intérieur ou à l'extérieur des établissements éducatifs, ceci ne change absolument rien au fait que certains enseignants pourraient toujours privilégier certains élèves.


Fazit:
Notre problème principal en Tunisie, c'est que nous sommes focalisés sans arrêt sur nos faiblesses. --> Il est temps de développer nos talents plutôt que de nous renfermer sans arrêt sur nos inaptitudes et nos incapacités. Il faut arrêter de nous concentrer sur nos faiblesses et de vouloir les améliorer tout en négligeant nos talents, nos aptitudes, nos capacités et nos habiletés.

Toute notre vie socio-économique, en Tunisie, repose sur la notion de faiblesse, faire tout afin de se débarrasser de ses faiblesses, dépenser un argent fou pour les cours particuliers de maths, afin de faire de ses/nos enfants de grands mathématiciens, alors que certains sont plutôt doués en littérature, ou en sport ou en travaux manuels.

Il est grand temps, en Tunisie, de nous intéresser à nos forces et capacités spéciales. Le plus souvent, nous négligeons/ignorons nos réussites dans certains domaines et nous nous concentrons sur nos échecs. Ce qui aboutit à :
1) un déficit d'estime de nous-même
2) un déficit de confiance en nous-même
3) une grosse perte de motivation.


Il faut que nous pensions autrement, il faut arrêter de nous concentrer sur ce qui ne va pas. Depuis 2011, nos différents gouvernements ne voulaient/proposaient que des plans d'action avec plein de choses à corriger et à améliorer en Tunisie. Mais nous ignorons/refusons de renforcer ce qui fonctionne déjà. Il est temps d'adapter en Tunisie une nouvelle vision des choses et des évènements. Il est temps d'identifier et d'exploiter nos talents et nos capacités spéciales plutôt que de nous concentrer sur nos faiblesses. Il est temps de reconnaître que nous avons un potentiel et de capitaliser sur ce que nous savons mieux faire.

Dr. Jamel Tazarki, Mathématicien Résident à l'étranger

C'est dans l'intensité, la régularité et le renouvellement du débat socio-politique / -économique que se forge le gouvernement du peuple. La bonne santé de notre jeune démocratie tunisienne se mesure à ses contre-pouvoirs. Voilà pourquoi l'indépendance des médias, de la justice, l'activité syndicale et la qualité du débat parlementaire concernent tous les Tunisiens.