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Micro-crédits : taux de remboursement de 99% chez Enda
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Pour la 1ère fois depuis sa création en Tunisie, le réseau Sanabel de microfinance dans le monde arabe, créé officiellement en septembre 2002, revient dans nos murs pour sa 5ème conférence annuelle. Après la Jordanie, l’Egypte, le Maroc et le Yémen, ce sera au tour de la Tunisie d’abriter les travaux de cette rencontre qui se déroulera à Gammarth du 6 au 8 mai. Actuellement, 550 inscrits sont enregistrés pour prendre part au programme de la conférence qui prévoit des thèmes spécifiques comme l’impact social de la microfinance, le développement de nouveaux types de prêts, etc.
Par ailleurs, il est à signaler que Sanabel qui n’a pas drainé beaucoup d’adhérents arabes à sa création, gagne de plus en plus de terrain et réussit désormais à rallier des fonds arabes. Car, ces derniers qui ne croyaient pas auparavant au microentreprenariat, demeurent à la recherche d’idées de placement de leur argent. Aujourd’hui, ils se rendent à l’évidence que la microfinance est un créneau porteur et répond parfaitement à leurs attentes.
Asma Ben Hamida, la présidente exécutive de Sanabel et d’Enda inter-arabe, affirme à ce titre que l’Egypte a longtemps été considérée, à raison précisons-le, leader en matière de microfinance. Seulement, la donne semble avoir bien changé au cours des dernières années et plus précisément en faveur du Maroc qui a pris le relais. Pour ce qui est de la Tunisie, elle arrive à la 3ème place, si on compte Enda et la BTS. Mais si on tient compte uniquement d’Enda, elle occupe la 4ème place après le Maroc, l’Egypte et la Jordanie.
Actuellement, le réseau Sanabel qui a commencé avec 17 institutions de par les pays arabes, a atteint 60 institutions qui ont fait bénéficier au total 3 millions de clients actifs. L’objectif ou le rêve comme préfère l’appeler Asma Ben Hamida, sera d’atteindre 10 millions de clients actifs en 2010.
Entre-temps, Enda qui ambitionne de devenir une institution financière pour réussir à développer ses services et qui a témoigné du succès des microcrédits en servant de laboratoire pour le gouvernement à même de montrer que ce secteur peut réussir en Tunisie, continuera ses efforts à travers ses 45 antennes dans le pays. Depuis sa création en 1995, l’institution a accordé 310.000 prêts avec un montant moyen de 500 dinars. Sur 150 millions de dinars octroyés aux micro-entrepreneurs, les créances radiées sont de l’ordre de 170.000 dinars, soit un taux de remboursement de plus de 99%.
Par ailleurs, il est à signaler que Sanabel qui n’a pas drainé beaucoup d’adhérents arabes à sa création, gagne de plus en plus de terrain et réussit désormais à rallier des fonds arabes. Car, ces derniers qui ne croyaient pas auparavant au microentreprenariat, demeurent à la recherche d’idées de placement de leur argent. Aujourd’hui, ils se rendent à l’évidence que la microfinance est un créneau porteur et répond parfaitement à leurs attentes.
Asma Ben Hamida, la présidente exécutive de Sanabel et d’Enda inter-arabe, affirme à ce titre que l’Egypte a longtemps été considérée, à raison précisons-le, leader en matière de microfinance. Seulement, la donne semble avoir bien changé au cours des dernières années et plus précisément en faveur du Maroc qui a pris le relais. Pour ce qui est de la Tunisie, elle arrive à la 3ème place, si on compte Enda et la BTS. Mais si on tient compte uniquement d’Enda, elle occupe la 4ème place après le Maroc, l’Egypte et la Jordanie.
Actuellement, le réseau Sanabel qui a commencé avec 17 institutions de par les pays arabes, a atteint 60 institutions qui ont fait bénéficier au total 3 millions de clients actifs. L’objectif ou le rêve comme préfère l’appeler Asma Ben Hamida, sera d’atteindre 10 millions de clients actifs en 2010.
Entre-temps, Enda qui ambitionne de devenir une institution financière pour réussir à développer ses services et qui a témoigné du succès des microcrédits en servant de laboratoire pour le gouvernement à même de montrer que ce secteur peut réussir en Tunisie, continuera ses efforts à travers ses 45 antennes dans le pays. Depuis sa création en 1995, l’institution a accordé 310.000 prêts avec un montant moyen de 500 dinars. Sur 150 millions de dinars octroyés aux micro-entrepreneurs, les créances radiées sont de l’ordre de 170.000 dinars, soit un taux de remboursement de plus de 99%.


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