Mehdi Ben Gharbia, ministre chargé des Relations avec les instances constitutionnelles et la société civile, était m’invité de Hamza Belloumi le 26 mars 2018 sur les ondes de Shems FM.
Le ministre est revenu sur les conditions dans lesquelles se sont passées les deux séances plénières de l’ARP (audition du chef du gouvernement et vote sur l’IVD). Il a déclaré que le gouvernement était prêt à accepter toutes les critiques sur son rendement mais qu’il était nécessaire que cela se fasse dans une atmosphère de respect et d’entente. « Non pas pour nos personnes, ou pour les personnes des élus, mais par respect pour l’intégrité de la coupole du Bardo », a-t-il ajouté.
Evoquant le dossier des entreprises publiques, Mehdi Ben Gharbia a déclaré que certaines d’entre elles étaient stratégiques et devaient être préservées à l’instar de la Steg, la Sonede ou la SNCFT. Ce sont des entreprises qui doivent être restructurées et des fonds devront y être injectés. « Le chef du gouvernement a dit qu’il y avait des entreprises publiques dans des secteurs non stratégiques pour lesquelles on peut envisager une privatisation totale ou partielle », a-t-il ajouté. Il a également déclaré qu’on parlait d’entre 5% et 10% des entreprises publiques qui seraient concernées par de telles mesures.
« Si les revenus de la privatisation de certaines entreprises publiques vont à l’éducation, aux régions, à la santé, qui ont besoin de fonds, la question ne sera plus idéologique », a déclaré Mehdi Ben Gharbia.
M.A
Commentaires (7)
CommenterUn bon affairiste pour parler de privatisation
la vrai reforme
@mordi
Vous êtes sérieux Monsieur, je suis désolée je suis morte de rire mais c'est nerneux, Wallahi c'est désolant mais ça fait rire au même temps. Mais incroyable c'est un gage. Minhom illah les voleurs, comment voulez-vous que les investisseurs reviennent dans ce pays de voleurs.
Des amis français m'avaient raconté énormément d'histoires sur la douane concernant leurs marchandises, mais pas à ce point là.
Je suis désolée Monsieur où va-t-on ? Bon courage Monsieur
@ mordi | 26-03-2018 08:56 Bonjour,
HHH
Toi et tes semblables qui font partie de nos problèmes.
dénonciation
Nous sommes un groupe d'entrepreneurs vivant en France. Il y a trois ans, nous avons fait l'acquisition d'une usine de fabrication de parpaings, de poteaux bétons, de mur béton, de trottoirs etc dans le but d'installer cette même usine de production dans Sud de la Tunisie, notre pays. Le projet permettrait l'embauche de plusieurs dizaines de personnes dans une région dite "défavorisée".
Une fois le matériel en Tunisie, à la douane, il nous a fallut pratiquement 2 ans et demi pour le sortir à condition de payer 190 000 TND de frais de parking. Nous avons négocié avec le Ministère de l'Industrie pour finalement trouver un accord de diminution de cette taxe alors que notre statue nous permettait de rien payer du tout.
Inutile de vous dire que pendant les 3 ans, nous avons subis toutes sortes de pressions et tentatives de corruption à tous les niveaux.
Finalement nous avons pu sortir le matériel de la douane et a notre grande surprise, un conteneur avait disparu, vendu par les douaniers sans autorisation. Après une rapide enquête, nous avons retrouver l'acheteur soit disant aux enchères, qui nous affirme avoir acheté le conteneur 10 000 TND mais qu'il a soudoyé les douaniers à hauteur de 50 000 TND. Donc et je vous passe les détails, il nous a fallut racheter une seconde fois notre bien 60 000 TND.
Nous avons déposé plainte. Madame la Ministre de de l'Economie, Lamia ZRIBI à convoqué les responsables de la douane de haut niveau, en notre présence. Les échanges étaient très virulents. Elle à éxigé le retour du conteneur sans conditions et dans les plus brefs délais. Ayant en plus réclamée très sincèrement une enquête, elle à due démissionner par la suite.
Donc Mesdames, Messieurs les journalistes, êtes vous disposés a faire un article sur ce sujet voir un dossier complet ?
Bien à vous.