Tous les Tunisiens connaissent le mouvement de réjouissance publique périodique, se limitant presque à la dernière quinzaine de Ramadan et aux trois jours de l'Aïd. Par la suite, un coup de balai et tout devient le plus normal du monde.
Ces lamentateurs veulent voir des camions et des caravanes-magasins branchés au courant électrique et munis d'un grand écran publicitaire, afin qu'ils soient contents d'eux.
Quels hypocrites et quels faux-jetons qui oublient leur origine de va-nu-pieds, nous jouant aux Princes de Wales, car même le Prince Albert de Monaco que j'ai rencontré en personne, est d'une humilité des Grands. Des «chez nouzapparis» et des poules qui imitent les «Baldias» par leur «kalli et kotlek» de version «rékika». Au lieu de se taire «ijiou ikoulou sahha, ikoulou saddèf».