L’Assemblée générale des Nations Unies a adopté, mercredi 18 septembre 2024, à une écrasante majorité une résolution exigeant la fin de l’occupation de la Palestine par Israël dans les douze prochains mois.
Le texte a été adopté par 124 votes pour, 14 contre et 43 abstentions.
Le vote a eu lieu lors d'une session extraordinaire d’urgence ayant débuté mardi 17 septembre et consacrée à l’examen des actions israéliennes à Jérusalem-Est occupée et dans le reste du territoire palestinien occupé.
A travers l’adoption de cette résolution, l’Assemblée générale « exige qu’Israël mette fin sans délai à sa présence illicite dans le territoire palestinien occupé, qui constitue un fait illicite de caractère continu engageant sa responsabilité internationale, et ce au plus tard 12 mois après l’adoption de la présente résolution ».
L’Assemblée générale « exige également qu’Israël s’acquitte sans délai de toutes ses obligations juridiques en vertu du droit international, notamment celles stipulées par la Cour internationale de Justice, notamment en :
- a) retirant toutes ses forces militaires du territoire palestinien occupé, y compris de son espace aérien et de son espace maritime,
- et b) mettant fin à ses politiques et pratiques illicites, notamment en cessant immédiatement toute nouvelle activité de colonisation, en évacuant tous les colons du territoire palestinien occupé et en démantelant les parties du mur construites par Israël qui se trouvent dans le territoire, et en abrogeant toutes les lois et mesures créant ou maintenant la situation illicite ».
Le 19 juillet 2024, la Cour internationale de Justice a jugé illégale l'occupation des territoires palestiniens par Israël.
La Cour avait également conclu que la présence continue d’Israël dans le Territoire palestinien occupé était illicite et engage la responsabilité internationale de cet État notant qu’Israël a l’obligation de mettre fin à sa présence dans le Territoire palestinien occupé dans les plus brefs délais et immédiatement cesser toute nouvelle activité de colonisation.
Cet avis de la Cour internationale est venu répondre à une résolution adoptée le 30 décembre 2022 par l’Assemblée générale des Nations Unies dans laquelle elle prie la cour de donner un avis consultatif sur les « pratiques israéliennes affectant les droits humains du peuple palestinien dans le Territoire palestinien occupé, y compris Jérusalem-Est».
La plus haute juridiction de l’ONU a tenu du 19 au 26 février des audiences sur les conséquences de l’occupation israélienne prolongée de la Palestine.
Le professeur universitaire de Droit international, Slim Laghmani avait été chargé par la Tunisie de plaider devant la CIJ dans le cadre de cet avis.
I.L
A qui la faute?
Certainement pas à Israël.
C'en est fini pour les juifs génocidaires de Gaza, avec ces contes mythologiques des guerres de 6 jours contre l'ensemble du monde arabe. Maintenant, le Tout Puissant leur impose un dictateure Nètèn-ahou, de loin pire que tous les dictateurs arabes. Pour sauver sa propre tête, il va éradiquer toute présence juive en Palestine occupée. D'une guerre à une autre, jusqu'à ce qu'on ne trouve plus que des mercenaires dans l'armée criminelle des juifs génocidaires de Gaza. Un très bon signe pour la libération de la Palestine. Toute la Palestine, non plus cette Palestine de cantons, piégée par l'ONU.
La Palestine vivra. La Palestine vaincra.
Mais nous nous avons Kalsoun qui va nous envoyez dans l industrie du futur non pas avec des satellites des drones des avions invisible des missiles supersonic les start up les bitcoin la recherche medical ,non non nous avons le société communautaires le kolkhoz
Au bout de trente avertissements, une réunion de l'ONU, sera déclenchée.
Au bout de trente réunions, les criminels, tueurs d'enfants, de femmes et de vieillards, auront un blâme.
Au bout de trente blâmes, amnistie international, émettra un communiqué.
Au bout de trente communiqués, une autre réunion à l'ONU, sera d'actualité..........blablabla, blablabla, blablabla .....
Arrêtez de nous communiquer ces sornettes, car ça va faire bientôt soixante années que ce semblant d'annonce, tourne en boucle.