« Je suis une femme moderniste et j’ai fait mes premiers pas en politique avec le PDP mais je n’ai toujours pas oublié le piège de 2011 et je tiens à le rappeler. Le 7 octobre 2011, Nessma diffusait un film d’animation « Persepolis », qui raconte la vie d’une fille iranienne. Des manifestations ont alors secoué la Tunisie à cause d’une scène où la divinité était dessinée, fait considéré par certains comme totalement interdit dans l’islam… » a écrit l’ancienne élue Najla Bouriel, dans un post partagé, hier, dimanche 11 mars 2018, sur facebook.