L'avocat et membre du cabinet politique du parti destourien libre (PDL), Karim Krifa, a publié un statut, dimanche 27 octobre 2024, assurant que contrairement aux rumeurs, Meriem Sassi n'a pas été libérée.
Depuis plusieurs jours, de multiples rumeurs indiquent que Meriem Sassi a été libérée. La dirigeante au sein du PDL a été condamnée le 30 mai 2024 à huit mois de prison par le Tribunal de première instance de Tunis, et ce conformément aux dispositions de l'article 20 du décret 54. Le 10 octobre 2024, la Cour d'appel de Tunis confirmait la condamnation à huit mois de prison.
Pour rappel, les poursuites en justice visant Meriem Sassi sont en lien avec l'arrestation de Abir Moussi, présidente du PDL, le 4 octobre 2023 après avoir filmé une vidéo aux alentours du palais présidentiel de Carthage.
S.H
Allah yèhlik Ass-hab el-charr !!!
Allah yostir Tounes.
Je ne suis pas activiste politique ni que je n'adhère à un parti politique ou à une association quelconque. C'est pour cela qu'il n'est pas de mon droit ni de ma compétence de décider de celui qui devrait gouverner la Tunisie et ses Institutions républicaines. J'ai grandi dans la démocratie allemande. Seules les urnes démocratiques décident même approximativement, de l'avis du peuple. Une autre solution n'existe pas et une meilleure méthode, n'existe pas aussi.
Regarde le juif genocidaire de Gaza Nètèn-ahou, ce qu'il fait de vrais massacres même parmi sa propre population juive. Ses adversaires eux-mêmes juifs genocidaires de Gaza, ne peuvent rien faire contre lui, parce qu'il est élu démocratiquement. Il est impossible de contrarier la constitution du pays. Alors que chez nous en Tunisie, à cause de disputes démocratiques enfantines à l'intérieur du parlement ARP ou à cause de la corruption des ennemis de l'Islam, au profit de médias précis, à leurs têtes les médias des Azlèms déchus, qui nous créent une haine artificielle et virtuelle contre ceux qui se rapportent de près ou de loin à l'Islam, à l'image de ceux d'Ennahdha ou d'Al-Karma, ils nous mettent fin à notre transition démocratique censée durer pour au moins 50 années, afin de s'ancrer dans une population tunisienne à 3/4 rurale et paysanne, que Bourguiba appelait "Khobzistes", par un simple tank militaire à l'entrée du parlement.
Ils font sortir quelques automobilistes klaxonner et nous ferment toutes les Institutions républicaines vitales pour la survie de la démocratie en Tunisie. Un cauchemar soutenu par des Forces armées qu'on croyait assermentées pour protéger la Constitution de leur République, comme c'est le cas en France, en Allemagne et partout dans les pays démocratiques de ce monde. Non pas de se transformer en juges et parties à la fois, suivant leurs intérêts galonnards, transformant leur population en chèvres et en brebis, qui ne sont plus occupées qu'à chercher de quoi vivre et de quoi survivre.
Mon ami, dans la vraie démocratie, on ne cherche pas la personne. Churchill, Hitler, Mussolini, Franco, Tito et Bourguiba, étaient des dictateurs qui ont profité des circonstances de l'après deuxième guerre mondiale, suivant l'adage "mèn faraânèk yè Faraon" ou (qui t'a pharaonisé O Pharaon).
Dans les démocraties, on ne fait que chercher à protéger le système et à respecter la vraie Constitution légale du pays.
C'est tout, vraiment c'est tout!!!
Bonne journée.