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Les familles des détenus politiques rompent le jeûne devant la prison de la Mornaguia
08/04/2024 | 20:28
1 min
Les familles des détenus politiques rompent le jeûne devant la prison de la Mornaguia

 

La coordination des familles des détenus politiques dans le cadre de l'affaire de complot contre la sûreté de l'État a organisé, lundi 8 avril 2024, un Iftar symblique devant la prison de la Mornaguia.

Ce diner de soutien aux prisonniers politiques est organisé à peu de jours près avant l’aïd. L’an dernier les familles ont aussi organisé un diner de rupture du jeûne au même endroit. Plusieurs personnalités médiatiques et politiques prennent ce soir part à cet Iftar et dénoncent une grave injustice commise à l’encontre de leurs proches.

Les prisonniers politiques ont publié un communiqué, à travers la coordination de leurs familles, dimanche 7 avril 2024, indiquant avoir déposé un pourvoi en cassation à l’encontre de la décision rendue par la chambre de mises en accusation rejetant leur demande de libération.

Khayam Turki, Issam Chebbi, Jaouhar Ben Mbarek, Ghazi Chaouachi, Ridha Belhadj et Abdelhamid Jlassi, indiquent que, de ce fait, la cour de cassation est devenue en charge de l’affaire, assurant qu’ils ne reconnaîtront aucune décision prise, entre temps, par le juge d’instruction pour se dessaisir de l’affaire.

« Nous attendons la décision de la Cour de cassation à ce sujet, et nous faisons porter la responsabilité au procureur général près la Cour d’appel de Tunis pour accomplir son devoir et déférer le dossier conformément aux disposition de l’article 261 du Code des procédures pénales au secrétariat de la Cour de cassation dans les plus brefs délais », lit-on dans le texte du communiqué.

Dans un communiqué publié le 5 avril 2024, le comité de défense des prisonniers politiques avait aussi alerté contre l'éventualité de « violations de procédures ».


 

 

M.B.Z

 

08/04/2024 | 20:28
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Commentaires
"Saha chribtehom" à elles. . .
"saha chriKgethoum" à quelques autres !
a posté le 08-04-2024 à 23:16
LIBERTE ET SOLIDARITE aux prisonnier.E.s politiques et d'opinions sans eKSceptions !

A bas le poutsch parjure antidemoKratique Kontre-révolutionnaire, ses affidés judiciaire de l'arbitraire et autres démissionnaires militaro-séKuritaires!
EL OUAFFY Y
L état a ses organes de sécurités ou non
a posté le 08-04-2024 à 23:04
Faut justifier leurs actes on menaçant la sécurité de L état me semble qu il y avait des amalgames dans cette affaire le droit de s exprimer ne traduira jamais en menaçant la sécurité de L état . L essentiel ces détenus politiques non aucune popularité pour concurrencer le future candidat au élections présidentielles peut être Merzougui qui aime activité dans un milieu d opposants .