
La coordination des structures judiciaires a rendu public un communiqué, ce lundi 15 août 2022, pour répondre au bref communiqué du ministère de la Justice selon lequel les juges révoqués feraient l’objet de poursuites pénales.
Les structures judiciaires réunies se disent étonnées du communiqué du ministère de la Justice à la suite de la décision rendue par le Tribunal administratif pour suspendre l’exécution de la décision de révocation des magistrats prises par le président de la République. Elles rappellent que les jugements suspensifs du Tribunal administratif sont fermes et ne supportent aucun recours même en cassation, et qu’elles sont contraignantes.
La coordination des structures judiciaires a dénoncé la fabrication des dossiers et des poursuites par le ministère de la Justice a posteriori contre les juges révoquées, après avoir échoué à prouver les poursuites devant la justice administrative. Ainsi, elle a dénoncé l’attitude du ministère essayant d’échapper à l’exécution des jugements du Tribunal administratif et d’éliminer la solution judiciaire en essayant de faire perdurer la crise et l’éterniser en autorisant certaines directions régionales à changer les serrures des bureaux des juges révoqués.
Les structures judiciaires mettent en garde contre les répercussions du passage en force et de la non-application des jugements du Tribunal administratif estimant qu’il s’agit d’un abus de pouvoir grave. Elles appellent, donc, tous les juges à la vigilance et à la mobilisation pour toutes les formes de mobilisations qui s’imposeraient.
La coordination appelle le président de la République à mettre un terme à cette mascarade du ministère de la Justice, portant atteinte à l’image de la Tunisie, aussi bien à l’échelle nationale qu’internationale. Elle l’invite à ordonner l’exécution des jugements du Tribunal administratif immédiatement et faire primer l’Etat de droit.
S.H
Ce problème de non respect des jugements de TA eSt présent depuis que bhiri a révoqué 80 juges et depuis que kaaraiedh à révoqué des centaines de cadres du ministère df l'interieur
Plusieurs cas ont été innocenté par le TA avec jugement d'annulation des décisions de révocation mais ils sont resté au même point à la porte car les envahisseurs ont refusé de les réintegrer
Dommage Mme Jaffel était obligé suivi le même exemple sue ses prédécesseurs en application la même procédure
Le proverbe dit "la magie retourne sur son magicien"
Alors arrêtons de pleurnicher pour une bande de bhiri le grand comédien qui était sur le point df mourir lors de do arrestation et du coup il redevient le grand patron pour défendre l'indépendance df KS justice qy'il lui même bafouée
"Il interdit aux autres ce qu'il se permet lui et sa bande"
Il oublie que le bon Dieu n'oublie rien et que le moment du châtiment est venu
Le pénal tenant le civil, ici l'administratif, en l'état.
Auquel cas personne n'y aurait trouvé rien à redire.
Je crains bien que dans cette affaire on ait fait montre de précipitation.
Bien à vous.
Céder, c'est bafouer l'Etat de droit. C'est créer un précédent qui peut faire jurisprudence.
Qu'on nous explique ce que faisaient le commissaire du gouvernement, sa cellule juridique durant une procédure et une audience dont la décision, tout le monde le savait, serait rendue en dernier ressort, insusceptible de recours. Que n'avait-il fait état de ces moyens au lieu de les exposer tardivement ?
Soit dit sans animosité ni indulgence envers quiconque.
Je l'ai écrit, il n'y a pas de honte à faire amende honorable.
Errare humanum est. Errare perseverare diabolicum est.
Rappel, "La Tunisie est un Etat de lois, non un Etat de droit".
Belle formule que je ne suis pas près d'oublier et que je tiens d'un certain DHEJ.
Essayons de garder le peu d'Etat de droit qui résiste. Le TA en est.
Bien à vous
la justice indépendante doit aussi engager des poursuites et punir les responsables et complices du pouvoir islamiste corrompu des freres musulmans les juges soumis aux islamistes d'Ennahdha
Cette ministre de la Justice temporaire Jaffel, a pensé pouvoir s'emparer de la Justice tunisienne. Elle pense pouvoir mettre les Magistrats tunisiens aux services de son ranch familial imaginaire. Je ne veux pas être dans sa peau, lorsqu'elle sera destituée et appelée à rendre compte de ses crimes, devant ces mêmes Juges, dont elle humilie et dont elle pousse au chômage par toutes ses ruses d'iniquité, de malhonnêteté et de sauvagerie.
Allah yomhil wèlè yohmil.
Qu'elle nous dises en ce moment qu'est ce qu'elle va ressentir
L'injustice crée l'injustice
Même s'i' convient de faire preuve de prudence et ne pas confondre les acteurs et ceux qui leur emboîtent le pas...
Ce qui est notable dans ce texte c'est la formule située de "faire ou fabriquer des dossiers", font le parrainage est identifiable.
Je voudrais bien me tromper, mais la main de Ennahdha est présente. Même le bras.
Je crois que le Président peut turdre ce bras au sèment, et faire en sorte que les juges porteurs de casseroles soient prestement jugés.
Quand je disais qu'il faut juger les juges, je n'étais pas loin de sentir l'odeur de l'affaire.
Remarquable, enfin, que ces messieurs réunis un 15 août, en pleines vacances pour des affaires d'une autre importance comme celles concernant un certain Ghannouchi et d'autres,
trouvent le temps, prennent sur leur temps pour sortir ce communiqué.
Le nettoyage reste à faire.
Cette institution constitue la plus belle prise des islamistes, et la plus sûre pour eux.
Il faut la déconstruire.
'? bas les juges félons !
Combien de jugements sont restés lettre morte.
Combien de dossiers sont au frigo
combien de pauvres gens sont écroués des mois et des mois uniquement par souspission