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« Les banques doivent soutenir l’État dans sa politique sociale », avance Kaïs Saïed
09/03/2025 | 10:37
1 min
« Les banques doivent soutenir l’État dans sa politique sociale », avance Kaïs Saïed

 

Le président de la République, Kaïs Saïed, a reçu samedi 8 mars 2025, la ministre des Finances, Mechket Slama Khaldi.

Lors de cette rencontre, dont le communiqué a été publié vers minuit samedi soir, on y apprend que le chef de l’État a examiné les équilibres financiers de l’État de manière générale, soulignant « la nécessité d’une coordination harmonieuse entre toutes les structures relevant du ministère, ainsi que l’importance de redoubler d’efforts pour lutter contre la contrebande et l’évasion fiscale ».

Le président de la République a également insisté sur le fait que la justice et l’équité dans la fixation des taux d’imposition et des autres charges publiques sont essentielles pour établir une relation de confiance entre les citoyens et l’État.

Par ailleurs, il a souligné la nécessité pour les banques publiques, en particulier, « de jouer leur rôle national en soutenant les efforts de l’État pour mettre en œuvre sa politique sociale ». Il a également appelé à poursuivre le travail visant à démanteler les réseaux de corruption, « dont les membres s’imaginent, à tort, être plus puissants que l’État ».

 

R.B.H

09/03/2025 | 10:37
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Commentaires
Fares
L'idée
a posté le 10-03-2025 à 02:41
L'idée de passer le discours de ks à la moulinette ChatGPT m'est survenue en regardant le premier épisode de la nouvelle chaîne de Zied El Héni (très instructif). J'ai aussi demandé au programme de générer une image symbolique du personnage. J'ai reçu l'image d'un homme au regard dur, un homme d'acier, un staline en somme.

Bon Chat.
Fares
S'agît-il d'un discours populiste?
a posté le 10-03-2025 à 02:12
Le discours de Saïed passé à la moulinette de ChatGPT.

Oui, on peut considérer que ce communiqué a des éléments populistes, bien qu'il ne soit pas totalement populiste dans son essence. Voici pourquoi :

1. Usage de thèmes populaires et consensuels

Le communiqué aborde des sujets qui résonnent fortement auprès de la population :

Lutte contre la corruption : Un thème toujours porteur, car il désigne un ennemi commun, souvent flou, sans mesures précises.

'?quité fiscale : Un discours sur la justice sociale et la répartition des charges publiques, qui plaît aux citoyens mais est difficile à concrétiser.

Rôle des banques publiques dans la politique sociale : Une mesure séduisante, mais qui peut être risquée économiquement si elle n'est pas bien encadrée.


2. Désignation d'ennemis vagues (« eux » contre « nous »)

L'expression « les membres des réseaux de corruption s'imaginent, à tort, être plus puissants que l'?tat » est typique d'un discours populiste, où l'?tat se positionne comme le défenseur du peuple contre une élite corrompue.

Toutefois, le communiqué ne mentionne aucune action concrète contre ces réseaux, ce qui renforce l'aspect purement rhétorique.


3. Absence de solutions précises

Il n'y a aucune mesure détaillée sur la manière dont l'équité fiscale sera garantie ou comment la lutte contre la contrebande et l'évasion fiscale sera renforcée.

Un discours politique non suivi d'actions concrètes peut être perçu comme du populisme destiné à calmer l'opinion publique.


4. L'appel au nationalisme économique

L'insistance sur le rôle « national » des banques publiques dans la politique sociale peut refléter une vision interventionniste et dirigiste, souvent associée au populisme économique.

Mais si cet appel n'est pas accompagné de réformes claires, il peut être simplement une stratégie pour mobiliser l'opinion sans changement réel.


Conclusion : Une rhétorique populiste, mais pas un populisme extrême

Ce communiqué utilise des éléments populistes, notamment en jouant sur des thèmes émotionnels (corruption, justice fiscale, nationalisme économique) et en désignant des coupables vagues. Cependant, il reste dans un cadre institutionnel et ne contient pas d'attaques directes contre des adversaires politiques, ce qui le distingue du populisme plus radical.

Si le gouvernement ne suit pas ces déclarations par des actions concrètes et mesurables, alors on pourra dire que ce communiqué relève davantage du populisme rhétorique que d'un véritable programme politique.

Fares
Est-ce bien realiste? Theorique, difficile à implementer
a posté le 10-03-2025 à 02:06
ChatGPT analyse:

Ce communiqué présidentiel présente des principes généraux sur la gestion financière de l'?tat, la justice fiscale et la lutte contre la corruption. Voici une analyse de son réalisme :

1. Examen des équilibres financiers et lutte contre la contrebande et l'évasion fiscale

Réaliste en théorie, mais difficile en pratique. L'évasion fiscale et la contrebande sont des problèmes structurels nécessitant des réformes profondes, une modernisation des administrations fiscales et douanières, ainsi qu'un cadre juridique rigoureux.

L'efficacité de ces mesures dépend de la volonté politique et des moyens alloués aux administrations concernées.


2. Justice et équité fiscale

Un principe fondamental pour la confiance citoyenne, mais souvent difficile à mettre en '?uvre dans un contexte économique tendu.

La répartition des impôts doit être équilibrée entre les différentes catégories de contribuables, ce qui implique des réformes fiscales parfois impopulaires.

L'application réelle de cette justice fiscale dépend de la transparence dans la gestion des finances publiques et de la réduction des privilèges injustifiés.


3. Rôle des banques publiques

L'idée que les banques publiques doivent soutenir la politique sociale de l'?tat est réaliste mais exige des précautions.

Si les banques publiques financent trop d'initiatives sociales sans garanties de rentabilité, elles peuvent accumuler des créances douteuses et fragiliser le secteur financier.

Une coordination avec la Banque centrale et une bonne gestion des risques sont nécessaires pour éviter une crise bancaire.


4. Lutte contre la corruption

Un objectif essentiel mais complexe.

Démanteler les réseaux de corruption est un défi de long terme, qui nécessite une justice indépendante, des lois strictes et une application rigoureuse.

Si la lutte contre la corruption est perçue comme sélective ou instrumentalisée politiquement, elle peut perdre en crédibilité.


Conclusion : Un communiqué conforme aux attentes politiques, mais sa mise en '?uvre est le vrai défi

Ce texte contient des déclarations de principe qui sont attendues de tout chef d'?tat. Cependant, la vraie question est la capacité de l'?tat à appliquer ces principes.

Si des mesures concrètes accompagnent ces annonces (réformes fiscales, renforcement des contrôles, indépendance judiciaire, modernisation bancaire), alors ce discours peut se traduire en actions tangibles.

Sans suivi rigoureux, ces déclarations risquent d'être perçues comme des slogans politiques sans réel impact.


Le réalisme de ce communiqué dépend donc de la volonté et des moyens mis en place pour le concrétiser.

ANTICHIITES
Catastrophe
a posté le 09-03-2025 à 22:31
Celui là est entrain de détruire l'économie tunisienne pour que le pays se mette à genoux devant les chiites de l'Iran. Ce monsieur n'est pas très propre.
"BanKS publiKS, banKS publiKS..."
"Les amoureux oligarKS bancaires affairistes du privé qui se s'gavent sans s'débecquer sur les banques publiques, Banques publiques..."
a posté le 09-03-2025 à 14:47
" Que restera-t-il à part trois franKS si assourdis pour un soutien de l Etat dans un politique sociale digne de nom...

BanKS publiKS, banKS publiKS En s'foutant pas mal du regard oblique des citoyens passants outrepassés parjurés honnêtes fermentant de ressentiment

Les amoureux oligarKS s'gavent sans s'débecquer sur les banques publiques, Banques publiques, Banques publiques En s'disant des "je t'aime" pathétiKS Ont des sales g*ueules bien mafiosiKS "

Par grande Brasse(ns) Koulée, le populo-foutage de gu*eule hypoKrite Kontinue !

« Les banques doivent soutenir l'?tat dans sa politique sociale »
Yaliiiite, yaaliitte....

Une oligarchie affairiste et bancaire privative connue de tous contrôle peu ou prou TOUT.

Cette force sociale est le principal obstacle à une politique sociale d Etat ambitieuse et vertueuse solitionnaire salvatrice digne de nom et au développement éco(lo)sociale efficace du pays par extension.

Elle empêche la concurrence, elle s'enrichit sur le dos de l'?tat
(certains des dirigeants de ces banques privées ont des ardoises COLOSSALES auprès des banques publiques littéralement dépouillées désormais ! ) et elle a INTERET à maintenir la Tunisie dans cette situation de dépendance.
Ali
@Communiste
a posté le 09-03-2025 à 13:11
Ce communiste allergique á la realité va mener la Tunisie a sa perte
bml
Pavlov !
a posté le 09-03-2025 à 13:09
Des injonctions vides et populistes qui ne mènent à rien Commencez par restaurer ou privatiser des sociétés étatiques qui coûtent un argent fou aux contribuables à l'instar de Tunis Air , la SNCFT,et les dizaines d'autres sociétés moribondes qui ,en plus d'être défectueuses ,ont des déficits en milliards de dinars . Se répéter pour dire la même chose devient ennuyeux et pénible à tous les niveaux
Gg
NON !
a posté le 09-03-2025 à 12:15
Le job des banques consiste d'abord à ne pas faire faillite, parce que les clients qui leur ont confié leurs économies ne veulent pas perdre leur argent.
Ensuite, elles doivent assister les entreprises dans leur vie et leur développement. Les alerter quand elles prennent trop de risques, par exemple.
Et leur prêter de l'argent, donc surveiller leur comptabilité.
Et c'est tout. La politique sociale est du ressort de l'état, pas des banques.
Et le rôle de l'état est de faire en sorte que les entreprises puissent prospérer et dégager des bénéfices.
Ensuite, in fine, l'état peut envisager une "politique sociale".
Me...e alors, Saied ne comprend RIEN. Il croit qu'il va tout régler avec des injonctions et des décrets. NON, ca ne marche pas comme cela!