Au cœur des Jeux olympiques de Paris 2024, une sombre polémique autour de la boxeuse algérienne Imane Khelif. Dénigrée, critiquée et descendue par les médias et la toile, Imane Khelif a été la cible des critiques les plus acerbes. On l’accuse de ne pas être suffisamment femme et de fausser le jeu en combattant « comme un homme ».
La polémique sur le genre et les performances des sportifs aux Jeux olympiques de 2024 était clairement prévisible. Avec tous les questionnements sur les définitions et limites du genre, un tel débat était tout sauf inattendu.
Mais, le problème est loin d’être nouveau. Dans le sport de haut niveau, il est même vieux de plusieurs centaines d’années. Aucune réponse n’a été trouvée jusque-là. La dimension sentimentale et sexiste n’y est pas forcément étrangère.
Mais, cette année le débat est encore plus explosif car il ne concerne désormais plus simplement des disciplines « douces » comme la course ou la natation. Il s’agit cette fois-ci de boxe, autrement dit de la « légitimité » de ces sportives à asséner des coups à leurs adversaires. Pour y répondre, l’on se pose la question de savoir si elles sont homme ou femme ? Les sports de combat sont, en effet, tolérés entre femmes, mais il n’est socialement pas accepté qu’un homme donne des coups à une femme. Et c’est là que le débat dérange.
Le monde du sport est régi par une organisation bicatégorielle. Il y a d’un côté les hommes et, de l’autre, les femmes. La question est claire et tranchée et chaque catégorie obéit à ses propres règles pesées, calculées et littéralement millimétrées. Sauf que la nature, elle, en a décidé autrement. Les personnes intersexe ont toujours suscité un malaise dans le monde du sport, compte tenu de la difficulté de les placer dans une catégorie claire. En matière de « sexe », les choses sont beaucoup moins simples qu’on voudrait le croire. Alors que le sport se permet une bicatégorisation nette, la nature, elle, produit des individus entre les deux.
En 2020, lors des JO de Tokyo, la championne sud-africaine Caster Semenya avait suscité un certain malaise dans le monde de l’athlétisme. Sa poitrine était trop plate, ses épaules étaient trop larges, sa voix était trop masculine pour qu’on daigne la qualifier de véritable femme. A cause de ces caractéristiques purement physiques, elle avait dû se soumettre à un test de féminité qui avait attesté de son hyperandrogénie.
Le procès de l’hyperandrogénie dans le sport a fait de nombreuses malheureuses. Jugées trop masculines car ayant des corps produisant naturellement beaucoup de testostérone, plusieurs athlètes se sont vues imposer un traitement médical – aux lourds effets secondaires - pour abaisser leur taux d'hormones masculines.
La cour européenne des droits de l’Homme, saisie par Caster Semenya, s’est prononcée contre ce traitement en 2023 donnant raison à la championne sud-africaine. Une étape historique dans le combat pour la dignité, l'égalité et les droits fondamentaux des femmes dans le sport. Mais, force est de constater que le débat est encore loin d’être clos.
En 2024, Imane Khelif est, elle aussi, prise à partie, car présentant des signes d’hyperandrogénie qui lui avaient déjà valu une disqualification l’année dernière. Alors qu’elle est née femme, qu’elle est officiellement reconnue en tant que telle et qu’elle-même se reconnait en tant que femme, sa présence auprès des sportives féminines dérange.
Se soumettre à des tests de « féminité », qu’ils soient hormonaux ou génétiques, est incontestablement stigmatisant pour de nombreuses athlètes présentant des cas naturels d’hyperandrogénie. Ils tendent, en plus de cela, à ranger les femmes dans une case de sportives inférieures à leurs confrères masculins, quitte à en brimer les performances.
Cette infériorité naturelle des femmes dans les compétitions sportives élimine de plus en plus les performances quitte à pousser certaines à dire adieu à leurs carrières. Il va évidemment sans dire que les tests de masculinité n’existent pas puisque, dans le monde du sport, la féminité est synonyme d’infériorité.
Imane Khelif n’est pas la seule athlète féminine à avoir déjà échoué à un test de féminité (ndlr, 2023). Elle fait, avec la Taïwanaise Lin Yun-ting, partie des rares sportives de combat à être au cœur d’une polémique de genre. Ce qui rend les propos dirigés contre elles encore plus violents.
Les commentaires les plus violents et les plus acérés tournent autour d’un thème aussi trivial que pernicieux : l’apparence physique d’Imane Khelifi. « Elle ressemble à un homme ». Un argument suffisant pour lui jeter l’opprobre et lui refuser toute appartenance à la sphère féminine. Les réseaux sociaux auront réussi à attiser la flamme de la haine et de l’incompréhension et à jeter la sportive dans l’œil du cyclone.
Si être transgenre est l’affaire d’un ressenti subjectif de la personne qui s’identifie à un genre qui ne lui est pas assigné à la naissance, ceci n’est pas le cas pour Imane Khelifi. Elle est née femme et est restée femme.
Derrière toute cette stigmatisation, justifiée par beaucoup d’ignorance et encore plus de sexisme, une idée très simple : les femmes ont-elles le droit de disputer une discipline sportive « entre elles », sans avoir à faire face à un adversaire biologiquement avantagé ? La question ne se pose évidemment pas dans le sport masculin, les hommes étant "naturellement avantagés grâce à leurs gènes et à leurs hormones".
La réponse à cette question devrait être purement scientifique et non basée sur des estimations purement subjectives liées à l’apparence d’une sportive. Plusieurs sportives, dont l’Américaine Serena Williams, l’Indienne Dutee Chandet d’autres avaient injustement fait les frais de ces procès en féminité. Des procès qui mènent, souvent, sexisme et racisme.
Plusieurs pistes ont été proposées dont celle de cloisonner le sport féminin, dans le but d’éviter toute concurrence injuste, et d’ouvrir le sport masculin à des athlètes pas nécessairement masculins. Peu importe la solution, elle devra être prise en recourant à des données purement scientifiques, sans aucune haine, ni stigmatisation.
Pour l’heure, le monde ne semble pas encore prêt à trancher loin de tout sentimentalisme stérile. Le sexisme étant plus violent qu’on veuille bien nous laisser croire…
Une corpulence trompeuse ?
De naissance du genre Féminin, pourquoi ne faisons pas foi ?
Des hormones (testostérones) en surabondance et corpulence musculaire masculine, n'attestent pas un changement de sexe comme le prétendaient ces ignares, mais tout simplement un ensemble de haine et discrimination envers l'Arabe et le Nord-Africain, tout court.
Un concours de circonstances, si on peut l'assimiler ainsi, un différend au sommet des deux états (franco-algérien) qui ont attisé une vielle rancune qui date depuis des années.
Les voici les petites têtes qui ne manquent aucune occasion pour s'afficher aux devants de la scène, une jeune sportive de nationalité Algérienne accusée à tort par une apparence trompeuse masculine, ne devrait pas concourir, car elle fausserait le résultat.
Par quel droit pouvaient-ils l'affirmer sous aucun prétexte, vu qu'aucun texte scientifique officiel ne l'interdisait.
Cette jeune fille née officiellement de sexe féminin et elle le demeurerait éternellement pour clore les supputations malveillantes.
De naissance du genre Féminin, pourquoi ne faisons pas foi ?
Les hormones (testostérones) en sur-abondance et corpulence musculaire masculine, nattestent pas un cha
L'occident ne sait tellement plus qui est qui qu'ils se mettent à douter de tout le monde. Et parfois d'eux même! Lol et c'est pour eux un moyen de mettre les musulmans en colère. Ils cherchent le choc des civilisations.
Si les 2 étaient européennes il n'y aurait jamais eu de polémique.
C'est la vie.
Quand vous cesserez de vouloir islamiser l'occident, l'islamophobie disparaîtra.
Et Khelife n'est pas seule dans son cas. Par exemple Yun Ting, qui n'est pas musulmane.
L'islamophobie est la haine ou les préjugés contre l'Islam ou les musulmans. Cela peut se manifester de diverses manières, y compris par un comportement discriminatoire, des attitudes hostiles, des abus verbaux ou même des violences physiques dirigées contre des individus parce qu'ils sont musulmans ou perçus comme tels. Imane khelif a été directement visé et pourtant ils savent très bien que les pays musulmans n'ont pas de trans ou d'homo dans les représentations officielle. L'islam ne le permet pas. Vous devriez le savoir non?
Quant au fait d'islamiser l'occident c'est dans la tête des gens qui sont islamophobe et qui cherche à moyen de blâmer les autres pour leurs déboires et leur misères qu'ils se sont créent pour eux-mêmes. On l'a vu en Angleterre récemment et en France.
Donc retourner donc à votre misère ou le trou d'où vous êtes sorti et continuer à vous cacher..... et cessez donc d'inportuner les musulmans pratiquant honnêtes et travailleurs qui vivent leur religion comme ils le veulent.
Si les occidentaux voulaient que l'islam ne soit pas dans leurs pays il ne fallaient pas venir coloniser, piller, et donc construire leur nation à partir des richesses de ces pays d Afrique et d Asie.
Mais que voulez-vous, on ne peut pas soigner toutes les misères mentales .... Et je vous annonce que la votre est malheureusement incurable.
Il est attesté que l'athlète italienne qui a fait un cinéma lors de son match avec Imane a reçu 100.000 dollars de pourboire le lendemain, d'un oligarque russe qui est inféodé au Kremlin et qui dirige l'AIB, une organisation mise au ban du sport international depuis longtemps pour ses pratiques de corruption.
Au même moment, un représentant de la Russie à l'ONU a fait un discours sournois dans lequel il a créé la confusion sur le cas de Imane en mêlant cela avec des propos s'offusquant des déboires récents de leurs mercenaires Wagner au Mali (!).
Il n'y a AUCUNE, je dis bien AUCUNE preuve que Imane porte en elle des chromosomes XY. AUCUNE.
L'Association Internationale de Boxe inféodée au Kremlin qui a prétendu avoir fait un test sur notre athlète, n'a jamais révélé le contenu exact du test, ni ses résultats exacts, ce qu'elle ne peut pas faire pour des raisons légales du reste.
Tout n'est que rumeur malveillante entretenue avec des espèces sonnantes et trébuchantes.
Plus généralement, comment se fait il que la seule athlète femme a qui on reproche d'avoir 'trop de testostérone' et qui subit une telle campagne planétaire de haine soit Algérienne?
Comment se fait il que ces accusations sans fondement recoivent un écho plus important que les crimes quotidiens commis au même moment en Palestine, comme lea vidéos de viols sur des détenus qui sont diffusés à une heure de grande écoute sur la TV israélienne au même moment?
Que certains milieux connus pour avoir des désaccords géopolitiques avec l'Algérie sèment le doute et l'incertitude sur cette athlète pour faire une propagande haineuse contre l'Algérie, et en faire un contre feux pour enterrer d'autres nouvelles c'est une chose.
On y trouve pêle mêle des Russes qui ont été exclus des JO, l'extrême droite américaine pro sioniste, et les milieux fascistes, eux aussi devenus prosionistes, de la Nostalgérie de Fafa.
Mais quant un média Tunisien s'en fait l'écho, c'est autre chose.
Plus généralement de plus en plus de Tunisiens de certains milieux identifiés se comportent de manière ouvertement inamicale, hostile et sournoise envers le peuple Algérien ces dernières années.
Je vous écris d'Algérie pour vous dire que nous l'avons remarqué, noté et comme vous le savez, nous avons une longue mémoire.
Cette histoire de la boxeuse khelif ne serait elle pas une guéguerre entre le Comité Olympique IGnternational et l'Association mondiale de Boxe Amateur ? D'autres pistes ne sont pas encore à écarter et la plus plausible serait la présence de 3 membres de nationalité marocaine dans le bureau de cette association mondiale de Boxe et dont la rivalité , plus que sportive, avec l'Algérie est notoire. Au total une histoire nauséabonde montée de toute pièce par ceux dont Imane Khelif dérange.
Khelife n'est pas seule dans ce cas, en ce moment Yun-ting subit les mêmes questionnements.
Et personne n'a parlé de leur nationalité ni de leur religion!
Pour l'AIB, Khelife n'est pas une femme. Pour le CIO, si.
Comprenne qui peut!
Un minimum d'honnêteté voudrait que l"on publie les résultats des tests de l'AIB, ne croyez vous pas? Après on pourra peut-être débattre...
Et bien sûr, les milieux transgenres etc... se sont jetés sur le désaccord pour servir leur "cause".
Par pitié, Madame Tajine, ne tombez dans la confusion des sexes (oui, sexes) et les idées délétères des milieux LGBTQ+/-etc...
Tout cela est beaucoup trop grave pour etre exploité à des fins polémiques, car aujourd"hui "on" explique à des petits garcons qu'ils sont peut-être des petites filles, et vice versa.
Et "on" veut aider des enfants et des ados à changer de sexe à coups de traitement médicaux et chirurgicaux.
Ces "on" sont des criminels, Madame !
"Si les enfants savaient à 8 ans ce qu'ils voulaient étre, le monde serait rempli de cow boys et de princesses,
Moi, je voulais être un pirate. Dieu merci, personne ne m'a pris au sérieux et on ne m'a pas opéré pour me retirer un oeil et me mettre une jambe de bois"
Hhhhhhh....
contre les femmes. On creera une troisieme categorie.
alors on n'est plus fier de porter le nom de son mari, sans lui coller un autre nom, comme en France que vous suivez comme moutons écervelés. la preuve: costume cravate sombre par 40 deg à l'ombre !!! quelle stupidité !!
copiez plutot la voiture Renault, Airbus ....
Autre cas, mon fils a un ami dont le nom est composé, parce que la maman est la dernière de la lignée, que des filles! Le nom composé permet au nom de la maman de ne pas disparaître.
Mais bien-sûr, c'est un complot!
Vous êtes tous fous et complément parano. Bravo d'encouragement un homme qui tabasse des femmes. Répugnant, et ça parle pour vous.
J'apprécie beaucoup ce journal en ligne et je ne comprends pas comment on peut laisser écrire ces stupidités sans nom.
En Allemagne, on a voté sur la "loi d'autodétermination".
374 députés ont voté pour. A partir du 1er novembre, il sera donc possible de changer de sexe une fois par an.
Il n'y a pas de limite au nombre de fois où la mention du sexe peut être modifiée. Toutefois, il y aura une période d'interdiction d'un an, après laquelle une nouvelle modification sera possible. En théorie, une personne peut donc changer sa mention de sexe chaque année.
Allah Allah, Et que dira notre kaiisoun ? !!
Si le pourcentage de la molécule d'eau à savoir H2O constituant le corps est de 96% alors c'est une femme
Et si le pourcentage de la molécule d'eau à savoir H2O constituant le corps est de 97% alors c'est un homme.
Changer d'apparence ne change PAS le sexe
Le genre c'est combien le pourcentage de H2O?
96,5%... Ben la physique quantique ne détient pas la solution!