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Le Front populaire insiste sur son droit de présider la commission des Finances
18/02/2015 | 16:31
1 min
Le Front populaire insiste sur son droit de présider la commission des Finances


Nizar Amami, député du Front populaire à l’ARP, a défendu le droit du FP de présider la commission des Finances. Dans une déclaration à Mosaïque Fm, aujourd’hui mercredi 18 février 2015, le député de l’opposition affirme que le droit du Front Populaire de présider la commission des Finances est « garanti par les dispositions du Règlement intérieur du Parlement, par la définition même de l’opposition mais aussi par la Constitution ». « Un droit qui devrait être défendu par tous ceux qui militent pour la démocratie et la pluralité au sein du Parlement », ajoute-t-il.


Par ailleurs, M. Amami précise que la volonté de certaines parties d’adapter l’opposition au sein du Parlement à la coalition au pouvoir est « une atteinte au RI faite dans le but de créer une opposition conciliante avec le pouvoir ». Une tentative à laquelle le Front s’oppose fermement, dit-il.
Rétorquant à ces propos, Iyed Dahmani du bloc démocratique a démenti l’existence d’un quelconque complot à l’ARP contre le Front populaire expliquant que le seul critère pris en compte dans le choix de la présidence de la commission des finances reste le nombre de voix obtenues.


S.T

 

18/02/2015 | 16:31
1 min
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Commentaires (2) Commenter
DU RESPECT SVP!!!!!!!
hatem jemaa
| 18-02-2015 18:12
Il faut arrêter de guerroyer. Il ne faut pas nous prendre pour ce que nous ne sommes pas.Quand on fait partie d'un gouvernement on ne peut pas s' opposer à lui. Et si c'est le cas on le quitte. De plus la commission des finances ne se résume pas à son président à ce que je sache. La culture des institutions semble être non encore assimilée.
la loi tranchera
aboub
| 18-02-2015 17:13
l'avantage de confier la présidence de la commission des finances au FP est de 'socialiser " la Politique de l'Etat particulièrement la politique budgétaire . En outre , il renforce le rôle de l'opposition " marginalisée par la coalition nida-ennahda.
L'inconvénient, de taille, est le risque de blocage à force de socialiser et de défendre l'Etat providence
DE toutes les manières il faut appliquer la LOI