| 18-12-2019 11:08
Je ne veux vraiment pas descendre à ce niveau de discussion, mais j'attire ton attention que, bien que les estimations des contemporains les plus sérieuses de l'époque varient du simple au double, Pellissier de Reynaud a avancé en 1853, le chiffre de 800.000 (huit cent mille) habitants pour l'ensemble du territoire tunisien. Il y avait des écoles coraniques "Kottèb" et de l'apprentissage de métiers pour l'avenir (ce qu'on appelle aujourd'hui artisanat), dans chaque coin du pays, là où naissent des enfants.
Quant à l'autre école, où l'apprentissage du français est obligatoire, elle n'appartenait pratiquement qu'aux Harkis de la France de l'époque. Au village jusqu'à aujourd'hui rural, Sminja, à quelques kilomètres de Zaghouan, leur école primaire existe depuis 1906 et c'est écrit sur sa façade. Donc, c'est la langue de l'occupant français qui était répudiée en Tunisie, contrairement à la faute mortelle qui coûta à nos frères les Algériens plus d'un million de Martyrs, pour chasser un occupant français qu'ils parlaient sa langue et à qui ils épousaient même leurs filles et leurs femmes.
En Tunisie, Abdelaziz Thâalbi, né le 5 septembre 1876 à Tunis et mort le 1'?' octobre 1944 à Tunis, le fondateur du Destour en 1920, parti politique duquel émerge le Néo-Destour de Bourguiba, considérait comme apostat tout «traître», qui s'octroyait la nationalité de l'occupant français. Les Tunisiens n'acceptaient même pas leur enterrement dans les cimetières musulmans. A Jellaz, ils leur ont réservé un carré spécial en dehors des murailles du cimetière, qu'ils appelaient les «Mtournines» ou les (Apostats).
Donc, cesse s'il te plaît de croire à leurs mensonges et instruis-toit. Tout y est à un simple clic sur Internet. Il faut seulement que tu comprennes, que tout ce que l'occupant français ne l'avait pas réussi par sa force militaire contre la volonté du peuple tunisien, les Français l'ont réalisé par le biais de leur Harki, le défunt dictateur déchu Bourguiba. Et ce sont eux qui le lui avaient financé les écoles françaises, les ayant remplis par leurs éducateurs français qu'ils appelaient «Coopérants» et qui se trouvaient partout en Tunisie, depuis les écoles primaires, les lycées jusqu'aux universités et «chez les s'?urs chrétiennes», une école mission où l'arabe n'existait pas. Je te jure qu'ils nous ont appris la géographie, l'économie, l'histoire et même la religion chrétienne de la France, plus que ne l'apprennent les Français chez eux. De la Tunisie, nous n'avons appris que le mont Chaambi est le plus haut massif de Tunisie d'une hauteur d'à-peu-près un kilomètre et demi. Et l'éducateur français de terminer par : «ça use les souliers».
Donc, laisse leurs mensonges de côté et éduque-toi de bonne source. Maintenant la langue française est inexistante dans le monde et les Tunisiens se retrouvent de nouveau sous occupation linguistique de la France, qui nous appauvrit davantage.
Et dire, qu'ils osent encore nous revenir avec leur dictateur Bourguiba, pour nous faire reculer vers l'arrière, parce que nos jeunes apprennent à présent l'anglais et même le japonais et le chinois.
Quant à l'autre école, où l'apprentissage du français est obligatoire, elle n'appartenait pratiquement qu'aux Harkis de la France de l'époque. Au village jusqu'à aujourd'hui rural, Sminja, à quelques kilomètres de Zaghouan, leur école primaire existe depuis 1906 et c'est écrit sur sa façade. Donc, c'est la langue de l'occupant français qui était répudiée en Tunisie, contrairement à la faute mortelle qui coûta à nos frères les Algériens plus d'un million de Martyrs, pour chasser un occupant français qu'ils parlaient sa langue et à qui ils épousaient même leurs filles et leurs femmes.
En Tunisie, Abdelaziz Thâalbi, né le 5 septembre 1876 à Tunis et mort le 1'?' octobre 1944 à Tunis, le fondateur du Destour en 1920, parti politique duquel émerge le Néo-Destour de Bourguiba, considérait comme apostat tout «traître», qui s'octroyait la nationalité de l'occupant français. Les Tunisiens n'acceptaient même pas leur enterrement dans les cimetières musulmans. A Jellaz, ils leur ont réservé un carré spécial en dehors des murailles du cimetière, qu'ils appelaient les «Mtournines» ou les (Apostats).
Donc, cesse s'il te plaît de croire à leurs mensonges et instruis-toit. Tout y est à un simple clic sur Internet. Il faut seulement que tu comprennes, que tout ce que l'occupant français ne l'avait pas réussi par sa force militaire contre la volonté du peuple tunisien, les Français l'ont réalisé par le biais de leur Harki, le défunt dictateur déchu Bourguiba. Et ce sont eux qui le lui avaient financé les écoles françaises, les ayant remplis par leurs éducateurs français qu'ils appelaient «Coopérants» et qui se trouvaient partout en Tunisie, depuis les écoles primaires, les lycées jusqu'aux universités et «chez les s'?urs chrétiennes», une école mission où l'arabe n'existait pas. Je te jure qu'ils nous ont appris la géographie, l'économie, l'histoire et même la religion chrétienne de la France, plus que ne l'apprennent les Français chez eux. De la Tunisie, nous n'avons appris que le mont Chaambi est le plus haut massif de Tunisie d'une hauteur d'à-peu-près un kilomètre et demi. Et l'éducateur français de terminer par : «ça use les souliers».
Donc, laisse leurs mensonges de côté et éduque-toi de bonne source. Maintenant la langue française est inexistante dans le monde et les Tunisiens se retrouvent de nouveau sous occupation linguistique de la France, qui nous appauvrit davantage.
Et dire, qu'ils osent encore nous revenir avec leur dictateur Bourguiba, pour nous faire reculer vers l'arrière, parce que nos jeunes apprennent à présent l'anglais et même le japonais et le chinois.
