
L’affaire de Maher Manaï, ancien condamné à mort, sera remise à l’ordre du jour, à l’occasion de la 15e journée mondiale contre la peine de mort, demain, 10 octobre 2017, au quai d’Orsay.
En effet, Me. Taieb Bessadok avocat de Maher Manaï, prendra part à une série d’interviews inédites qui sera diffusée sur les réseaux sociaux par le ministère de l’Europe et des Affaires étrangères en partenariat avec l’organisation internationale de la Francophonie, le conseil national des barreaux et l'ONG Ensemble contre la peine de mort.
En septembre 2003, Maher Manaï avait découvert une scène de meurtre. Il avait été inculpé pour ce chef d’accusation sans qu’aucune preuve n’ait prouvé sa culpabilité. Il avait, dans un premier temps, été condamné à mort puis sa peine fut commuée à la perpétuité bien qu’une tierce personne avait avoué avoir commis ce crime.

Commentaires (6)
Commenter@ Chad48
Se mêler de quoi?
Chater
Mais outre que je doute aussi que les soldats qui la gardent soient armés de Kalachnikov, n'oublie pas que tes enragés de chiens religieux ont attaqué l'ambassade des USA.
Ceci entraîne cela, et encore soit content que les USA aient pris cette affaire à la légère, parce qu'en Droit International l'attaque d'une ambassade est un acte de guerre. Imagine si les USA avaient décidé de répliquer!
Je reviens sur les Kalach, peut être as tu raison, tu connais mieux les armes que nous, tu as des relations dans le milieu des sportifs tireurs du Chaambi...
@abel chater
Des soldats armés de "Kalachnikov" à Tunis?Hallucinant!....euh..heu..ou vous hallucinez!
Autre chose,avez-vous oublié que c'est, votre "Idole", le Dictateur Ben Ali qui l'a condamné à mort?
Il faut changer les magistrats par des journalistes et faire ratifier les condamnations de la Justice tunisienne par le colonisateur français.
Presque toutes les ambassades étrangères ont déménagé vers Le Lac de Tunis, sauf celle de la France. Une manière d'humilier le peuple tunisien par une présence militairement forcée en plein centre de leur capitale.
Contrairement au soutien aveugle que la France réservait aux deux dictateurs déchus Bourguiba et Ben Ali, contre l'ensemble du peuple tunisien, maintenant, cette même France s'ingère contre les verdicts des tribunaux tunisiens, au nom de ses propres Droits de l'Homme prétendus, comme si la Tunisie manquait de militants en cette tendance.
L'ambassadeur de France en Tunisie, gère un autre Etat dans l'Etat tunisien propre à lui, suivant les intérêts colonialistes de son pays. Un comportement bizarre, incompréhensible, malhonnête et contraire à toutes les éthiques de la diplomatie de par le monde entier.