
Le président de la République, Kaïs Saïed, a reçu, mardi 17 octobre 2023, le chef du gouvernement, Ahmed Hachani, à Carthage. Lors de la réunion, les discussions ont porté sur l’action gouvernementale au cours des derniers jours et sur son programme d'activités à l'avenir.
Le chef de l'État a souligné que la Tunisie est confrontée à des défis économiques, sociaux et financiers, et que « la seule solution est de les surmonter avec nos propres ressources, en comptant sur Dieu seul, nous-mêmes, nos capacités, et les choix de notre peuple. Il n'y a pas de place pour l'ingérence de qui que ce soit ».
Le président de la République a également indiqué que la réussite de ces efforts est tributaire de l’accélération des opérations d’audit des recrutements pour assainir l'administration, en plus de tenir pour responsables « ceux qui entravent les projets alors que les fonds qui leur étaient alloués sont disponibles ».
La réunion a également permis d’aborder longuement « la guerre de libération menée par notre peuple en Palestine, confronté aux pires formes de massacres et de déplacements. Environ 64 % des martyrs et des blessés sont des femmes et des enfants, tandis que les maisons et les hôpitaux sont la cible de tirs, sans interruption ».
Le président de la République a souligné que « les Sionistes commettent des massacres et des atrocités, se présentant comme des victimes à chaque fois, avec le soutien qu'ils trouvent. Les droits de l'Homme ne sont pas respectés et les règles du droit humanitaire international sont ignorées ».
Il a insisté sur le fait que « nous vivons actuellement une période historique, à l'intérieur et à l'extérieur, et que toutes les forces nationales à l'intérieur doivent être à la hauteur de l'Histoire ». Il a appelé toutes les consciences à soutenir le droit du peuple palestinien à recouvrer son droit légitime sur toute la terre de Palestine.
S.H
Un type dangereux, qui nous fout rien de ses journées dans les délices de Carthage et de sa vue ,imprenable sur la pointe du cap-bon "érigé par les arabes pour faire face à la Mecque" selon lui (sic!)
Il est coupé du monde, de la réalité.
Il n'a que Al Jazeera en Gaza comme "compagnons"...et bien sur, ses nombreux capucins/20 mars sur sa terrasse "préférée" du Palais.
Des familles entières dorment dans les rues, que je vois tous les jours...elles ont de la chance! Car il fait encore chaud!
Mais l'hiver arrive...et le tunisien "commence" à comprendre à qui il a à faire..."janvier" se rapproche à grand pas....
Mais ça, les gens s'en foutent!
Ils disent "il a enlevé Ennahdha"...Mais pourquoi ils ne disent pas qu'il a récupéré le combat de Abir Moussi à son profit? Abir Moussi lui enseigne l'économie et les finances, pour l'avoir vu et entendu disserter sur ces domaines!
Maintenant il veut rendre la Tunisie "El Jamahirya El Arabya"!
Ennahdha était sur le point de s'effondrer en 2021, et des élections anticipées allaient se produire....il a compris ça et s'est précipité pour avoir le Pouvoir absolu ; mais un pouvoir absolu pourquoi faire? Détruire ce qui reste du pays FIQOU.
PS : Pour l'instant l'affaire de Gaza le sauve...mais ça va pas durer, croyez moi.
Dans un monde globalisé, ce que dit KS est dangereux. Je le dis et redis : son ignorance de la chose économique est en train de nous emmener droit au mur. Compter sur soi ? Donc on n'importe plus de blé ?
Mais mon Dieu, s'il n'y comprend rien, qu'il s'entoure de conseillers, d'experts et qu'il écoute leurs avis. Ce n'est pas une preuve de faiblesse, au contraire, c'est une preuve de sagesse que d'écouter des avis contraires.
Il me fatigue. Il nous fatigue. A l'heure où il y a une petite fenêtre d'opportunité où les économies développées parlent de nearshoring et friendshoring, notre position proche de l'Italie et de la France pourrait faire de nous un centre industriel qui nous aidera à exporter plus, employer beaucoup de monde et in fine developper le pays. On veut pas d'industrie, pk, pas de problèmes, mettez en place une politique volontariste pour développer tout ce qui est BPO, services IT, soustraitance etc. Il faut de la volonté et une vision. Et moins de baratin et de populisme....