
En marge de sa visite en France, le chef du gouvernement, Hichem Mechichi, accompagné par la ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation française, Frédérique Vidal et la ministre de l’Enseignement supérieur, Olfa Ben Ouda, a inauguré le Pavillon Habib Bourguiba à la Maison de Tunisie.
A cette occasion, Hichem Mechichi a rappelé la politique de la Tunisie favorisant l’enseignement, tout en le plaçant parmi ses priorités malgré les difficultés économiques et sociales.
Il a, également, rappelé l’approche de la Tunisie qui consiste à approfondir les relations de partenariats dans ce domaine avec les pays amis, et plus particulièrement avec la France.
Notons que le Pavillon Habib Bourguiba à la Maison de Tunisie, dotera la résidence de 200 chambres individuelles, d’un auditorium de 250 places, ouvert au public, d’une salle de lecture et d’un salon de thé ouvert.
S.H

"Les nahdhaouis doivent certainement rager en apprenant la nouvelle"
Certainement. Ils ont dû chier et vomir du sang, parce qu'ils savent bien que leurs noms de chléyék, ne figureront même pas sur les urinoirs des toilettes publiques, le jour ou le pays en disposera Hormis le vice, les sournoiseries et les fourberies, ces microbes (les bagla-liha) se fichent complétement de l'honneur.
Ils ne savent même pas ce que ça veut dire, eux les experts en coups de couteau dans le dos.
Seul le pognon gagner sans rien faire, le farniente, él-loukma él-bereda, l'accaparement du bien de son prochain et enfin le règne sans partage, les intéressent.
Pour eux, tout le reste est futile et pure perte de temps.
Salutations
Ajouter à cela que le pays dans lequel vous vous baladez enregistre encore quelques 15.000 cas par jour et que sa population subit des restrictions étroites dont on vous affranchi apparement et qu'à votre retour en Tunisie vous devriez en bon citoyen qui devrait donner l'exemple suivre un confinement de 7 jours alors que le moment requiert un homme sur le terrain, tout ceci dénote que vous êtes un Monsieur de l'administration limité qui a une gestion des priorités catastrophique.
D'ailleurs, même tous les présents ( sans exception ) doivent ressentir une amertume et une peine en se voyant inaugurer ce lieu au nom d'un illustre personnage qu'il n'ont jamais connu ni reconnu ses mérites pour la Tunisie.