Dernières news
Hattab Ben Othmen laissé en liberté
Le président du syndicat national des agents et des cadres de la justice, Hattab Ben Othmen, a été laissé en liberté après sa comparution, mardi 21 février 2023, devant le juge d’instruction près le pôle judiciaire antiterroriste.
Le président du syndicat national des agents et des cadres de la justice, Hattab Ben Othmen, a été arrêté, le mercredi 15 février 2023.. L’avocate Ines Harrath a précisé que le responsable syndical avait été arrêté à 17h30 devant la Cour de Cassation et conduit vers une destination inconnue. Elle a ajouté qu’une brigade sécuritaire avait effectué une perquisition au domicile.
S.H
A lire également
sur le fil
Dans la même Rubrique
Kamel Maddouri a voté au Manar 2
06/10/2024
0
Commentaires
Houcine
Il y a du rififi.
a posté le 21-02-2023 à 23:24
Je me rappelle ce greffier dont on n'entend plus parler, il était très remuant.
Le chef syndical de ce corps, greffiers et divers administratifs, est une relation de la Harrath.
Cela n'augure rien de bon.
On peut, désormais, plutôt que de se contenter de soutenir que l'institution judiciaire fut captée par la mouvance, il faut affirmer qu'elle fut noyautée, colonisée par des agents de liaison et des espions au point de rendre presque impossible toute activité sérieuse dès lors qu'un islamiste et allié lui est présenté.
Si l'on admet cette thèse, qui est parfaitement démontrable si un enquêteur honnête s'en charge, tout peut devenir clair.
Les V de la victoire, et les mises en cause des autorités, ne sont que de l'habillage pour garder intacts les relations et liens qui favorisent cette hérésie.
L'appel à l'étranger, les rappels venus de ceux qui ont fort à faire pour garantir chez eux ce qu'ils prétendent souhaiter chez nous ne sont que l'élément visible et bruyant du procédé.
Tout le monde est devenu démocrate, respectueux des procédures, et du nom de la Loi et en son nom ils nous font la leçon.
Il suffirait de se rendre dans n'importe quel tribunal, voir de ses yeux, écouter, et visiter si possible les archives pour se confirmer que cette institution n'a jamais honoré ni la loi, ni le citoyen, et ne parlons pas de la République.
Pour de plus amples détails, enquêter auprès des justiciables.
Tableau affligeant, écrivais-je.
Davantage, il faut y insister.
Greffiers, juges, procureurs, où avez-vous conduit l'institution ?
Le chef syndical de ce corps, greffiers et divers administratifs, est une relation de la Harrath.
Cela n'augure rien de bon.
On peut, désormais, plutôt que de se contenter de soutenir que l'institution judiciaire fut captée par la mouvance, il faut affirmer qu'elle fut noyautée, colonisée par des agents de liaison et des espions au point de rendre presque impossible toute activité sérieuse dès lors qu'un islamiste et allié lui est présenté.
Si l'on admet cette thèse, qui est parfaitement démontrable si un enquêteur honnête s'en charge, tout peut devenir clair.
Les V de la victoire, et les mises en cause des autorités, ne sont que de l'habillage pour garder intacts les relations et liens qui favorisent cette hérésie.
L'appel à l'étranger, les rappels venus de ceux qui ont fort à faire pour garantir chez eux ce qu'ils prétendent souhaiter chez nous ne sont que l'élément visible et bruyant du procédé.
Tout le monde est devenu démocrate, respectueux des procédures, et du nom de la Loi et en son nom ils nous font la leçon.
Il suffirait de se rendre dans n'importe quel tribunal, voir de ses yeux, écouter, et visiter si possible les archives pour se confirmer que cette institution n'a jamais honoré ni la loi, ni le citoyen, et ne parlons pas de la République.
Pour de plus amples détails, enquêter auprès des justiciables.
Tableau affligeant, écrivais-je.
Davantage, il faut y insister.
Greffiers, juges, procureurs, où avez-vous conduit l'institution ?