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Hassouna Nasfi : Je suis pour le referendum et qu’on s’en remette au peuple
28/06/2021 | 09:26
2 min
Hassouna Nasfi : Je suis pour le referendum et qu’on s’en remette au peuple

 

Le président du bloc parlementaire de la Réforme nationale, Hassouna Nasfi, a affirmé, lors de son intervention, lundi 28 juin 2021, sur Shems FM, que la gestion de la crise sanitaire n’a pas été à la hauteur de la situation et principalement la question de la vaccination.

 

« Le pays est en guerre et les gens sont occupés à autre chose, à des questions secondaires qui ne pourront pas sauver les gens ou fournir les vaccins nécessaires. Il y a eu beaucoup de manquements il faut l’admettre et la stratégie de vaccination a montré ses limites » a-t-il poursuivi.

 

Hassouna Nasfi a déclaré, concernant le blocage de l’initiative du dialogue national, que le président ne semble pas enclin à engager le dialogue car il refuse d’écouter des points de vue qui ne concordent pas avec les siens.

 

« Nous le disons depuis des années, tous, ce système politique ne nous sied pas et ne peut pas nous faire avancer mais personne ne sait comment le président le voit, il en parle en signes et en symboles et on doit déchiffrer ses pensées et ses mystères et puis si on n’est pas prêt à faire des concessions, on ne peut pas parler de dialogue » a-t-il ajouté.

 

Le député a enfin souligné qu’il n’est pas contre le recours au referendum pour s’en remettre au peuple et sortir le pays de la crise. « La constitution ne le permet pas car toutes les conditions ne sont pas réunies mais si on arrive à trouver un consensus, pourquoi pas. Aujourd’hui le blocage est là, il est impossible de rassembler 145 ou même souvent 109 voix à l’ARP et cela entrave tout, il n'y a pas de possibilité donc d’amender le code électoral ou le système politique en passant par l’Assemblée, qu’on s’en remette au peuple alors, je ne peux que soutenir ce genre d’initiatives » a-t-il conclu.

 

 

M.B.Z

 

28/06/2021 | 09:26
2 min
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Commentaires
AR
La légitimité de la destruction
a posté le 28-06-2021 à 16:03
Dans une démocratie saine les élus ont pour tâche principale de servire le peuple pas pour se servir, servir la corruption et le terrorisme.
La légitimité électorale et l'immunité permettent à des losers de commettre des crimes,des actes de banditisme, couverture des corrompus pour échapper des mains de la justice, si on se permet de tels dépassements au nom de la démocratie et au nom de la religion, Dieu est témoin et le peuple aussi, qu'une poignée de malfrats continue l' opération de destruction
Abel Chater
Maintenant que les urnes démocratiques ont parlé, il n'y aura plus de changements qu'au cours des prochaines élections de 2024.
a posté le 28-06-2021 à 10:51
Celui qui oserait penser le moindre à déjouer les échéances électorales, parce qu'il a échoué en 2019 ou parce qu'il s'est trouvé en hors-jeu de ses ambitions dictatoriales, à l'image de ce qu'on vit depuis presque deux ans avec l'arriviste amateur en politique, Kaïs Saïed, celui-là doit nous proposer de nous payer de sa propre caisse privée, les frais d'un éventuel référendum populaire, ne pouvant concerner que sa propre personne et que son propre poste politique.
C'est-à-dire, qu'il n'est pas normal du tout, que le président Kaïs Saïed échoue dans l'ensemble de sa mission de président de notre République tunisienne de régime parlementaire, dont le rôle ne se limite pratiquement qu'à rassembler toutes les forces politiques du pays, autour de la réussite de son propre mandat électoral. Qu'il perd presque deux années à ne faire que rabâcher, qu'il est le commandant suprême de toutes les forces armées de la Tunisie. Qu'il n'a de but, que de changer tous les outils constitutionnels, par lesquels il a été lui-même catapulté du néant, d'un retraité d'un quartier populaire, qui n'a attiré l'attention des Tunisiens que par sa façon linguistique robotique, plus comique et rigolote que nécessaire et qu'efficace. Qu'il semble avoir oublié, qu'on ne l'a élu que pour barrer la route à Nabil Karoui. Un escroc dont la charité médiatique, n'était qu'un attrape-nigauds au profit de son élection à la présidentielle de 2019. Puis, une fois installé au palais de Carthage, Kaïs Saïed trouve l'audace de mettre en question tout le système électoral, tout le consensus national de 2013/2014 pour lequel la Tunisie a acquis le prix Nobel et toute la Constitution de 2014, qui lui a permis d'accéder du néant, directement à la présidence de la République. Robocop veut plus de pouvoir. Pour Kaïs Saïed, le 14 janvier 2011, n'a jamais existé. La Constitution de 2014, ne lui va plus. Il veut restituer la constitution faite sur mesure à la dictature de Bourguiba en 1959. Une ruse qui lui garantirait le cumul du poste des deux dictateurs déchus Bourguiba et Ben Ali, à la fois.
Comme il ne nous reste plus qu'à nous demander sur la précarité de son état psychiatrique, il nous est néanmoins permis d'offrir la possibilité d'un éventuel référendum privé, à tout politicien qui ne pourra attendre ni respecter les échéances électorales de 2024, de financer de sa propre poche un référendum populaire, au sujet de son propre rendement politique. Comme ça, nous verrons bien si le président Kaïs Saïed et ses acolytes de l'espèce de cet Hassouna Nasfi, s'ils auraient même l'accord du peuple tunisien, de continuer à nous détruire nos acquis démocratiques jusqu'à 2024.
Ils ne récolteront que du D'?GAGE!!!
Un citoyen
Marre de vos commentaires de rat
a posté le à 12:25
Vous n'avez rien d'autre à faire de votre minable vie que de nous emm. avec vos commentaires et votre secte de la Nakbah de malheur vous qui ne vivez pas sur place le malheur de ce pays que vous avec détruit ?
Aye une fois la décence de vous faire oublier une bonne fois le monde se passera de vos commentaires nocifs et vides comme votre vie ...
Waterloo
@ Citoyen
a posté le à 13:22
t'es pas obligé de le lire . çà peut intéresser d'autres ...