
Le chef de cabinet du président du Parlement, Habib Khedher, a fait appel, jeudi 16 juillet 2020 à un huissier de justice pour expulser de son bureau, la présidente du Parti destourien libre Abir Moussi et quatre autres députés du parti.
Soulignant que son bureau contient des documents confidentiels, Habib Khedher a demandé à Abir Moussi de quitter les lieux.
Celle-ci a refusé de quitter le bureau du chef de cabinet de Rached Ghannouchi dénonçant la présence des élus d’Al Karama dont Habib Khedher a autorisé l'accès aux lieux.
Abir Moussi a démenti les accusations de Habib Khedher indiquant qu'elle n'avait pas pénétré dans son bureau par la force.
Elle a précisé qu'elle avait été autorisée à attendre Habib Khedher avec qui elle aurait souhaité s'entretenir et que la porte de son bureau était déjà grande ouverte à son arrivée.
N.J.
Cela pousse certains Tunisiens à regretter même la révolution, d'autres à vouloir plier bagages et quitter le pays ou encore à se rassembler massivement dans la rues pour dire encore une fois dans l'histoire de ce pays : DEGAGEZ TOUS, ON EN A MARRE !!!!!!!!!!!!!!!!
Un vrai chef de cabinet , ne laisse pas la porte de " son bureau " ouverte à tout vent , et sans qu'il y soit , et si sa secrétaire était une vraie secrétaire professionnelle , elle n'autoriserait pas quelqu'un à aller s'installer dans la partie d'accueil et d'attente , sans avoir eu un rdv au préalable !
Mais comme on est dans un moulin , Mr Khedher a été pris à son propre piège !
Des repris de justice qui vont et viennent dans les couloirs , avec sa " bénédiction " , porteurs de vrais-faux badges fantaisistes et mensongers , des énergumènes qui reprochent à la sécurité présidentielle de faire son boulot .... et ce " vénérable " individu qui a aujourd'hui ses vapeurs et demande l'assistance d'un huissier ! Et puis après ?
On marche sur la tête !
Et puis l'excuse des " documents " confidentiels est complètement fallacieuse , car ce genre de documents , quand on est un responsable qui se respecte ( et surtout dans ce moulin ) , ça se met sous clé !
D'autant plus que Mme Moussi n'est pas rentré " par effraction " et seule , la secrétaire lui a autorisé l'accès pour attendre , et la porte était .... grande ouverte !
Ce qui n'est pas rassurant , c'est que donc n'importe qui pouvait rentrer , et jeter un coup d'oeil aux dossiers " importants " de ce monsieur , qui sont posés gentiment sur son bureau .... !
L'agent de service qui s'occupe du nettoyage doit avoir " de saines lectures " !
Ce monsieur donc , qui aimait bien " ricaner " , tapis derrière son chef dans l'hémicycle , a perdu de sa superbe et ... ne rigole plus !
et qu'est-ce que les fifis fonts sur les canapés, ils ne disent un mot, ils ont mangé beaucoup de des figues de barbarie (Hendi) aussi?
Abir Moussi n'a pas d'autres armes que la résistance passive. Ceux qui sont dégueulasses, ce sont les terroristes islamistes qui n'ont aucun respect pour personne. Ils insultent, ils écument faute d'assassiner.
Seule la détermination et le courage de gens comme madame Moussi les font hésiter, leur font barrage.
Ils hurlent dégage parce qu'ils ont ordre de ne pas utiliser les armes..
Leur guide sait que le jeu est serré et qu'ils n'ont plus la main sur tout.
Wait and see.
C'est exactement ce qu'on va vivre avec ce banditisme des Azlèms de Aâbriaâ Moussa. Le jour viendra où ses hurlements ne les aideront plus à rien.
Vive la Révolution tunisienne.
Mais, il faut raison garder ! L'ARP est bloquée et une plénière importante et consacrée à la Cour Constitutionnelle n'a pu se tenir. Des échauffourées se sont produites au sein du parlement et des plaintes déposées, y compris à l'étranger semble-t-il. La tension est à son paroxysme et l'inévitable pourrait survenir à tout instant. Des menaces sérieuses sont émises et nous rappellent des péripéties douloureuses. Le conflit déborde l'hémicycle et l'opinion publique est chauffée à blanc. Un temps précieux continue à être perdu alors qu'il nous est compté dans la crise qui frappe le pays. Alors avec tout mon respect, je dis basta, desserrons l'étreinte et déplaçons le combat sur le plan juridique et administratif. Beaucoup d'avancées ont été réalisées avec cette résistance opiniâtre, alors, ne prenez pas le risque de perdre vos acquis par une obstination qui, si elle perdure, va immanquablement se retourner contre vous, comme un boomerang. Et la confrérie n'en sortira alors que plus renforcée !
Elle a le vent en poupe dans les sondages 29% déjà, mais attention au faux pas.
Il faut apprendre l'ART de la politique! nous sommes au 21 ème siècle et ce n'est pas avec banditisme que tu peux devenir chef d'état! ou même chef d'agent police
Pour moi ces méthodes sont dégueulasse!!
on est tous en train de de suicider