
Alors que viennent de débuter les examens du concours de la sixième année pour l'entrée aux établissements pilotes, l’épreuve de langue arabe a suscité un vrai tollé sur la toile.
Des parents, enseignants et beaucoup d’internautes ont critiqué la difficulté du texte proposé aux élèves et celle du sujet de la dissertation.
Le texte, extrait d’un livre de l’auteur égyptien, Mahmud Taymur, est considéré comme loin d’être à la portée.
Les internautes ont estimé que le champ lexical employé dans le texte est inaccessible et qu’il faudrait aux élèves un dictionnaire à la main pour espérer comprendre certains mots. Le sujet, la mendicité en l’occurrence, a aussi suscité quelques commentaires en lien avec la situation politique du pays.
Certains parents n’ont pas manqué de rappeler que les élèves subissent, de surcroît, les aléas des revendications sociales et des bras de fer entre les syndicats de l’enseignement et le ministère de tutelle, qui ont entaché l’année scolaire et mis à rude épreuve le cursus des élèves.
Pour nuancer le propos, d’autres ont rappelé qu’il s’agit d’un concours national qui vise à sélectionner les meilleurs élèves et qui reste à la portée de ces derniers.
M.B.Z
Sachez que c'est l'enseignant qui fait aimer la matière à l'élève mais malheureusement tous les enseignants d'arabe n'ont qu'un seul but c'est de faire détester l'arabe aux éléves , car eux même ses enseignant étaient les mauvais bachelier de la section lettres qui n'avait aucun choix que l'arabe que eux même détestait !!!!! et vous voulez qu'ils ne se vengent pas !!!?
En Tunisie, on fait tout pour démolir les étudiants. A titre d'exemple, en Juin 2023, il y a eu moins de 10 étudiants sur environ 90 en Physique-'?nergie à la fameuse Université Al Manar (classée 984!!) qui ont réussi leur examen. Ceci est statistiquement impossible et inacceptable. Les enseignants qui commettent de telles boucheries dorment tranquillement, sans aucun souci, et sans aucun qui les rappelle à l'ordre. Au contraire, ils se régalent d'avoir démoli des générations de jeunes. Quant aux étudiants, avec des résultats aussi catastrophiques, ils ne peuvent plus aller nul part, même s'ils ont les moyens de foutre le camp.
En résumé, on est méchant de NATURE et on adore se venger de tout le monde et avec tous les moyens à notre disposition. Je parle des tunisiens, avec peut-être quelques exceptions.
L'article de M.B.Z. ne présente qu'un exemple de "chmata" et de vengence gratuite, parmi une infinité d'autres.