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Wided Bouchamaoui reçoit Mehdi Jomâa
25/08/2017 | 10:47
1 min
Wided Bouchamaoui reçoit Mehdi Jomâa

La présidente de l’Union Tunisienne de l'industrie, du commerce et de l'artisanat (UTICA), Wided Bouchamaoui, a reçu ce vendredi 25 août 2017, le président d’Al Badil Ettounsi, Mehdi Jomâa, au siège de l’UTICA, indique un communiqué de l’Union paru aujourd’hui.

 

Une rencontre qui a porté sur la situation économique et sociale générale du pays ainsi que sur plusieurs dossiers communs et plus particulièrement sur les réformes dont le pays a actuellement besoin.

A la rencontre étaient également présent les membres du bureau exécutif de l’UTICA ainsi que des responsables au sein d’Al Badil Ettounsi.

 

S.A

 

 

 

25/08/2017 | 10:47
1 min
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Commentaires (9)

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Gg
| 27-08-2017 13:51
A l'exception d'un seul commentaire, tous les autres tirent à boulets rouges sur Mehdi Jomaa!
Par Zeus,vous avez un bon de chez bon et vous n'en voulez pas!
Continuez à confier votre pays aux islamistes (même en cravate) ou à la gauche... c'est foutu.
Déjà en l'état, je ne vois guère ce que pourrait faire Jomaa, autrement que dans la douleur. Le réveil sera cruel, ou il n'y aura pas de réveil. A vous de voir...
Quant à l'UTICA, c'est tout de même un vivier de compétences, à l'inverse de l'UGTT ou de Nahda.
Allez, bon courage! Ressortez vos recettes de soupe au cactus...

bhgjkl
| 26-08-2017 15:14
Si la Tunisie s'est relevé de la crise économique qu'a crée le socialisme à outrance de Ahmed Ben Salah ministre de l'économie nationale au temps de Bourguiba, c'est grâce aux entreprises privés qui ont commencé à naître dans le pays et grâce à l'ouverture de l'économie tunisienne aux capitaux étrangers (loi 1972 de Nouira). Les pays étrangers veulent reprendre cette expérience avec la Tunisie pour nous sauver de ce désastre économique.Ils ont compris que le parti religieux d'Ennahdha n'a pas d'avenir en Tunisie et que les tunisiens ont compris la faute qu'ils ont commises en votant pour Ennahdha. Mehdi Jomâa a raison de se concerter avec l'UTICA sur les pistes à suivre pour sauver la Tunisie. La situation actuelle de la Tunisie me rappelle les années 1965 à 1970 quand une partie du peuple tunisien a commencé à se nourrir de raquettes de cactus pour pouvoir survivre.Le socialisme de Ben Salah a mené le pays au désastre. Les entreprises privés qui se sont installés en Tunisie ont attiré la convoitise de l'UGTT qui a commencé à faire monter les travailleurs contre leurs patrons. Bourguiba est intervenu et a mis fin aux problèmes causés par l'UGTT aux entreprises privés. Le pays s'est relevé en moins de 10 ans de sa crise économique grâce à la stabilité politique, sociale et sécuritaire qu'a connu l'ère de Bourguiba de 1970 à 1987.Mehdi Jomâa est un technicien politisé. Il est compétent dans les affaires techniques et économiques du pays. Le pays a besoin de gens compétents qui ont une vision internationale de ce qui se passe à l'extérieur de nos frontières et qui permet de sauver la Tunisie de ce marasme économique.Il n'a pas fait de politique avant d'être appelé dans le gouvernement de transition. Il a tenu tête à l'UGTT et a commencé à traiter certains dossiers. Habib Essid ne s'est pas montré à la hauteur en gardant le statu quo et en évitant de s'attaquer aux problèmes épineux. Il n'a pas l'envergure d'un homme fort. C'est un bon administrateur. Chahed a montré un peu de courage en utilisant la loi détournée pour s'attaquer au commerce illicite qui gangrène le pays. Il ne veut pas s'attaquer au plus grand problème de la Tunisie qui est le surnombre des fonctionnaires inutiles. La loi du départ volontaire à la retraite sent le grabuge et le malsain car ce sont les nouveaux fonctionnaires nahdhaouistes qui vont en profiter au maximum. Il fallait revoir les procédures qui ont été utiliser pour recrûter plus de 100000 fonctionnaires par le gouvernement de la Troïka et attaquer ces procédures en justice. Ces procédures n'ont pas respecté la loi de recrûtement des fonctionnaires et ils sont attaquables en justice. Beaucoup de ces fonctionnaires avaient un autre travail et leur propres affaires ou entreprises avant d'être recrûtés dans la fonction publique qui est la vache à têter. Ils peuvent facilement reprendre leurs affaires qu'ils ont quitté en utilisant les facilités actuelles pour l'encouragement à l'investissement privé des petites entreprises. Il faut faire quelque chose pour cela afin de ne pas être obligé de s'endetter encore plus pour payer à chaque fin du mois l'armada des fonctionnaires en surplus.

Ben larbi
| 25-08-2017 21:19
La mafia politico financière à l'oeuvre

Abc
| 25-08-2017 20:03
Y en a marre de cette mafia utica_pouvoir, vraiment marre. Le pays est en faillite et Madame avec Jemaa veulent encore plumer la pauvre poule sans le sou?????
Ma yichbaach monsieur Total en Tunisie ?
ma tichbaach el madame des autorisations de gré à gré ?????

Je vous demande de méditer le drame de Ben Ali et sa famille, eddinya t'dour ya Jemaa, on paie cash un jour ou l'autre.

watani
| 25-08-2017 15:37
Toujours les intérêts personnels au dessus des intérêts de la nation. La famille bouchammaoui travaille dans le sud sur le pétrole, Mehdi le vendredi travaille travaille sur les énergies renouvelables avec des partenaires français. Trouvez la corrélation. Pour Jomaa, Carthage est difficile car il est encore loin de la fidélité des tunisiens.

Gasoil
| 25-08-2017 15:19
Le courant passe bien entre opportunistes & mercenaires

Moustache
| 25-08-2017 13:53
C'est ce qu'on appelle du "cirage de pompe" ou "léchage de botte".
Encore une preuve que le peuple n'aura jamais son mot à dire dans les nominations.

DHEJ
| 25-08-2017 12:28
Bouf l'ami, le palais de Carthage est déjà privatisé...

Bab ezzira
| 25-08-2017 11:06
C'est le sujet qui préoccupe l'occident et leurs « partenaires » Tunisiens
30 % des énergies de l'Europe vont être puisé dans quelques années entre la Tunise et le Maroc.
C'est une tres grande manne pour la Tunisie qui représente 4 fois la production pétrolière de l'Arabie Saoudite.
L'occident désire collaborer avec des particuliers Tunisiens facilement manipulables que l'Etat Tunisien. Les lobbies poussent vers la privatisation de ce secteur.
Le président Zine el Abidine Ben Ali a résisté aux pressions occidentales et a convenu avec l'Allemagne de réaliser ces centrales et d'amortir l'investissement par la consommation de l'énergie.
Les frérots du Diable oeuvre pour la vente des terrains au sahara pour les particuliers étrangers et ont déjà signé les lois relatif à la privatisation de ce secteur.