« 1000 millions de dinars seront affectés au secteur de la santé pour construire 12 nouveaux hôpitaux et acheter de nouveaux équipements : 25 scanners, 120 radios et des IRM. Cette somme sort du cadre du budget du ministère de la Santé et leur affectation obéit à une décision gouvernementale claire. C’est une première dans le secteur de la santé ! » a déclaré Samira Meraï, ministre de la Santé, sur les ondes de la Radio Nationale ce jeudi 16 février 2017.
La construction des 12 hôpitaux sera déployée comme suit : un hôpital à Dahmani, un à Thala, un à Sbiba, un à Jelma, un à El Jem, un à Makther, un à Haffouz, un à Ghardimaou en plus d’un hôpital à Kairouan, à Gabès, à Béja et un hôpital d’enfants à Tunis en plus du rééquipement des anciens hôpitaux.
La ministre de la Santé a ajouté que « tous ceux qui travaillent dans le secteur public de la santé subissent les lacunes de la superstructure médicale. Il y a de véritables urgences au niveau des équipements médicaux ». Concernant les patients, Samira Meraï a déploré le manque d’humanisation des parcours que doivent suivre les citoyens pour se faire soigner, démontrant que le circuit est infini. « En 50 ans, seuls 34 hôpitaux régionaux ont été construits et 15 centres hospitaliers universitaires, nous avons également près de 2001 dispensaires qui ne travaillent qu’une fois par semaine ».
Pour remédier à ces lacunes, elle a annoncé qu’un appel d’offres a été émis pour l’achat des équipements précités et qu’actuellement le ministère en est au stade du dépouillement. A propos des vols d’équipements lourds au sein des hôpitaux, la ministre a assuré que désormais des caméras de surveillance seront installées et que le sabotage et la corruption seront punis au pénal. Pour éradiquer les délits d’abus de confiance commis par le personnel médical et le vol de médicaments et de draps, Samira Meraï a indiqué que l’informatisation numérique du matériel médical sera généralisée.
A propos de l’ancien ministre de la Santé, Saïd Aïdi, et des récentes polémiques faisant état de leur relation conflictuelle, Samira Meraï a déclaré : « Je ne parle jamais des anciens ministres mais je dénonce fermement l’inexistence d’une politique médicale préventive et l’absence de visionstratégique ». Cette politique préventive, selon Mme Meraï, consiste à aller se faire ausculter par un médecin sans être forcément malade « uniquement pour faire un check up. Le médecin ne délivrera pas d’ordonnance et cette consultation devra être remboursée par la CNAM ».
« L’élaboration de la loi sur la responsabilité médicale des médecins sera prochainement promulguée et le statut des résidents en interne sera établi » a ajouté la ministre en faisant une rétrospective de l’affaire du nourrisson de l’hôpital Hached de Sousse qui est né vivant mais non viable. Elle a indiqué que l’erreur qui a été commise dans cette affaire réside dans le traitement du père du nourrisson. Sur la loi en question, la ministre a précisé qu’elle prendra désormais en compte les médecins du secteur privé en soulignant qu’elle protégera en premier lieu le patient puis le médecin.
« Je suis à mon poste pour servir le patient tunisien sans parti pris politique ou syndical, j’ajouterai que la Tunisie est le pays qui a le taux d’erreur médicale le plus bas au monde » a mentionné Mme Meraï ajoutant qu’à propos des stents et anesthésiants périmés qui ont provoqué 3 décès et 18 cas de convulsion de plus de 48h, le problème a été stoppé mais sa source n’a pas encore été découverte.
K.H
Samira Meraï annonce l'affectation d'un milliard de dinars pour construire 12 nouveaux hôpitaux
« 1000 millions de dinars seront affectés au secteur de la santé pour construire 12 nouveaux hôpitaux et acheter de nouveaux équipements : 25 scanners, 120 radios et des IRM. Cette somme sort du cadre du budget du ministère de la Santé et leur affectation obéit à une décision gouvernementale claire. C’est une première dans le secteur de la santé ! » a déclaré Samira Meraï, ministre de la Santé, sur les ondes de la Radio Nationale ce jeudi 16 février 2017.
La construction des 12 hôpitaux sera déployée comme suit : un hôpital à Dahmani, un à Thala, un à Sbiba, un à Jelma, un à El Jem, un à Makther, un à Haffouz, un à Ghardimaou en plus d’un hôpital à Kairouan, à Gabès, à Béja et un hôpital d’enfants à Tunis en plus du rééquipement des anciens hôpitaux.
La ministre de la Santé a ajouté que « tous ceux qui travaillent dans le secteur public de la santé subissent les lacunes de la superstructure médicale. Il y a de véritables urgences au niveau des équipements médicaux ». Concernant les patients, Samira Meraï a déploré le manque d’humanisation des parcours que doivent suivre les citoyens pour se faire soigner, démontrant que le circuit est infini. « En 50 ans, seuls 34 hôpitaux régionaux ont été construits et 15 centres hospitaliers universitaires, nous avons également près de 2001 dispensaires qui ne travaillent qu’une fois par semaine ».
Pour remédier à ces lacunes, elle a annoncé qu’un appel d’offres a été émis pour l’achat des équipements précités et qu’actuellement le ministère en est au stade du dépouillement. A propos des vols d’équipements lourds au sein des hôpitaux, la ministre a assuré que désormais des caméras de surveillance seront installées et que le sabotage et la corruption seront punis au pénal. Pour éradiquer les délits d’abus de confiance commis par le personnel médical et le vol de médicaments et de draps, Samira Meraï a indiqué que l’informatisation numérique du matériel médical sera généralisée.
A propos de l’ancien ministre de la Santé, Saïd Aïdi, et des récentes polémiques faisant état de leur relation conflictuelle, Samira Meraï a déclaré : « Je ne parle jamais des anciens ministres mais je dénonce fermement l’inexistence d’une politique médicale préventive et l’absence de visionstratégique ». Cette politique préventive, selon Mme Meraï, consiste à aller se faire ausculter par un médecin sans être forcément malade « uniquement pour faire un check up. Le médecin ne délivrera pas d’ordonnance et cette consultation devra être remboursée par la CNAM ».
« L’élaboration de la loi sur la responsabilité médicale des médecins sera prochainement promulguée et le statut des résidents en interne sera établi » a ajouté la ministre en faisant une rétrospective de l’affaire du nourrisson de l’hôpital Hached de Sousse qui est né vivant mais non viable. Elle a indiqué que l’erreur qui a été commise dans cette affaire réside dans le traitement du père du nourrisson. Sur la loi en question, la ministre a précisé qu’elle prendra désormais en compte les médecins du secteur privé en soulignant qu’elle protégera en premier lieu le patient puis le médecin.
« Je suis à mon poste pour servir le patient tunisien sans parti pris politique ou syndical, j’ajouterai que la Tunisie est le pays qui a le taux d’erreur médicale le plus bas au monde » a mentionné Mme Meraï ajoutant qu’à propos des stents et anesthésiants périmés qui ont provoqué 3 décès et 18 cas de convulsion de plus de 48h, le problème a été stoppé mais sa source n’a pas encore été découverte.
Construire des hopitaux à la va vite. Former des médécins et des cadres paramédicaux à la va vite pour remplir ces hopitaux.Acheter des médicaments pour remplir les pharmacies de ces hopitaux. Payer les frais de fonctionnement, de maintenance et de renouvellement des équipements de ces nouveaux hopitaux et des anciens hopitaux.Si on peut faire tant de choses pour la santé du tunisien comme dans un pays développé; Pourquoi aller mendier pour boucler le budget de 2017.Le gouvernement a suivi la mauvaise voie. Tôt ou tard la médecine publique est voué à l'échec dans un pays qui est endetté jusqu'au cou. Autant,faire une bonne couverture sociale (un bon CNAM), encourager la médécine privée et faire bien fonctionner les hopitaux existants.A ma connaissance, la population tunisienne n'a pas doublé pour construire autant d'hopitaux que ce que a construit la Tunisie depuis 40 ans.
« Je vous suggère par exemple «Tunisienne de la Santé», «Tunisienne contre Aidi», «Tunisienne de la revanche», «Tunisienne du Cabinet»... Un simple «Tunisienne» accompagné d'un chiffre pourrait même faire l'affaire. » Tunisienne
Chère Tunisienne,
Sans vouloir mettre de l'huile sur le feu, on ne pourrait mesurer l'ampleur des dégâts internes occasionnés par la jalousie morbide qui habite l'usurpatrice de ton pseudo.
Cette personne qui copie ton pseudo en est si jalouse de ton talent, de ta dextérité, de ton intelligence qu'elle voudrait s'y approprier tes qualités par l'abus d'usage du pseudo.
Rien n'est plus simple que d'écrire sous le pseudo de Tunisienne, dans l'intention de nuire, par jalousie aveugle et hystérique à la fois.
Dans une bonne administration, on sait d'où vient le message, on connait la vraie Tunisienne de la fausse, c'est simple d'observer le numéro d'IP du transmetteur et de constater que la vraie Tunisienne avec un numéro d'IP qui localise et ne laisse subsister aucun doute, alors que la fausse tunisienne, n'émets pas de Tunisie, mais d'ailleurs.
Si la sordide tunisienne avait un tant soit peu de dignité elle aurait trouvé mille façons de se distinguer de toutes autres tunisiennes mais, cette sordide tunisienne est imbue de jalousie et de préjugés qui dénotent, la misère mentale qui la ronge comme un rat ronge un fromage impropre à la consommation.
Il est extrêmement facile de stopper l'usurpatrice à l'arrivée de ses messages d'intox.
Il suffit que BN s'applique au respect des commentateurs en mettant hors d'état de nuire quiconque viendrait à nuire par l'usage d'un faux pseudo au détriment d'une commentatrice intègre.
Vous êtes tunisienne et vous le resterez, personne ne pourra le contester. Mais un simple devoir de probité devrait vous pousser à rajouter un petit quelque chose à «Tunisienne», pour que les lecteurs vous identifient avec vos propres idées à vous. C'est ce que ferait une personne de bonne foi et ne voulant pas manipuler l'opinion.
Je vous suggère par exemple «Tunisienne de la Santé», «Tunisienne contre Aidi», «Tunisienne de la revanche», «Tunisienne du Cabinet»... Un simple «Tunisienne» accompagné d'un chiffre pourrait même faire l'affaire.
La vraie richesse, c'est l'homme, donc 1 milliard, c'est mérité, et ce n'est pas très tôt. Cette somme conséquente, probablement empruntée au prix fort, arrivera-elle toute entière à son si noble but?
Je suis Tunisienne et je le resterai.
La vraie manipulation consiste à utiliser des pseudos pour défendre un bilan catastrophique et s'en prendre à une personne qui n'a pas encore commencé sa mission.
Monsieur l'acharnement contre Mme Samira Merai dés sa prise de fonction ne peut provenir que d'une personne, quelque soient les pseudos utilisés. Il n'a pas cessé dés le premier jour. Tous les moyens ont été mobilisés pour déstabiliser l'équipe et vous faire passer pour un expert en santé et un franc tireur. Voilà la triste vérité.
"mais avez vous pensé à dégager un budget suffisant pour l'ENTRETIEN et la MAINTENANCE?! ".
Salutations.
Cette ministre, si on peut appeler ça ainsi, sait très bien qu'elle adresse à un peuple d'opportunistes dont la logique se situe à la même latitude que l'évacuation de leur "tout à l'égout".
En effet, comme TMT l'a souligné, avec quoi les occupants des poulaillers géants que sont devenus l'assemblée national et une bonne partie de nos "ministres", vont financer les très couteux frais de fonctionnement de ces hôpitaux virtuels?
En prélevant des taxes aux:
- L'UGTT, le fossoyeur attitré
exclusif du pays .
- chameliers, détenant le monopole des pompes funèbres du territoire.
- Députés, parfaits équarrisseurs d'une nation en faillite, se préoccupant beaucoup plus du sort des terroristes que des millions de Tunisiens tombant progressivement dans la désuétude.
- Fainéants peuplant les cafés se gavant à longueur de journée, de parties de belote, de rami, et de chkoba, refusant des boulots soit disant humiliants, du fait de la valeur de leurs diplômes issus de Harvard, MIT, Oxford, ENA, Centrale, polytechnique, etc...
- Contrebandiers, évoluant librement sans inquiétude, grâce à leurs sponsors, domiciliés encore à Londres, dans le cas ou ils doivent déguerpir dans l'urgence...
Ôtez le bandeau de vos yeux, et arrêtez de nous raconter des bobards.
Mieux vaut ne rien dire que de devenir esclaves des paroles que avez prononcés.
Allez, ayez un peu d'orgueil et de fierté.
Le salaire d'un ministre et les avantages qui vont avec, ne feront pas de vous un divin.
Ayez peur de votre créateur et des malédictions auxquels votre descendance sera soumise, un jour venu.
Ne soyez pas actionnaire de la construction du pont qui conduira inéluctablement notre nation aux abysses.
La franchise n'a jamais tué personne, contrairement à l'imposture, bandes d'affamés.
Cette personne agit en parfaite connaissance de cause. Elle semble être particulièrement obilisee pour casser Saïd El Aidi. Comme j'avais exprimé une opinion favorable à cet ex-Ministre, l'usurpatrice semble mettre beaucoup de coeur à brouiller les cartes.
Merci encore pour tes gestes de solidarité qui me vont droit au coeur et grosses bises !
