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12 hauts fonctionnaires soupçonnés d'avoir détourné des fonds publics
01/02/2017 | 09:25
1 min
12 hauts fonctionnaires soupçonnés d'avoir détourné des fonds publics

« De hauts cadres de l’Etat tremperaient dans des affaires de détournement de biens publics », c’est ce qu’a annoncé, le porte-parole du pôle judicaire, Sofiène Selliti, hier, mardi 31 janvier 2017.

 

Sofiène Selliti a ajouté lors de sa déclaration, que le juge d’instruction du pôle financier a ordonné l’ouverture d’une enquête pour abus de biens publics, pour corruption financière et administrative ainsi que pour crimes financiers à l’encontre de 12 hauts fonctionnaires. Une enquête a également été ouverte à l’encontre de l'ancien chargé des contentieux de l’Etat et d’un huissier de justice soupçonnés d’avoir détourné de l’argent public.

 

Le porte-parole du pôle judiciaire a ajouté que les sommes dérobées sont importantes et qu’il est difficile de les quantifier, avant la fin de l’enquête menée par les juges.

M. Selliti a conclu faisant savoir qu’aucun avis de recherche à l’encontre des accusés n’a encore été émis compte tenu du fait que le pôle a, à peine reçu les dossiers relatifs à ces affaires de la part de l’instance nationale de lutte contre la corruption.

 

S.A

01/02/2017 | 09:25
1 min
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Commentaires (10)

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Makram Mihoub
| 02-02-2017 11:03
c est bien la strategie des islamistes des freres musulmans:ruiner le pays economiquement,semer la division,s infiltrer dans tous les etages des institutions,faire de la corruption un systeme pour neutraliser des cadres verreux....etc,pour enfin de compte se saisir du pouvoir......Ghannouchi a su endormir BCE et ne s arretera que lorsqu il sera maitre du pays a la facon d Erdogan...il soigne ses allies en Lybie a tripolie dont le principal n est autre que ce dangeureux revenant d Afghanistan Abdelhakim Belhaj tres cooperant avec l OTAN et le Qatar leur bailleur de fonds...

takilas
| 01-02-2017 20:24
La corruption n'a réellement existé et s'est nettement amplifiée qu'avec la venue de Nahdha, mais le plus malheureux c'est que cette secte n'a de compte au à personne ; donc le plus grave que cette corruption c'est le banditisme de cette nahdha. Ijbik walla taier garnek


slalom
| 01-02-2017 18:45
monte monte car le mauvais exemple vient d'en haut

Alpha1
| 01-02-2017 17:01
Marzougui a peut être raison .
Notre administration nécessite une purge par le haut: le hauts cadres corrompus , ne mérite pas d'être pardonner .Un certain nombre parmi eux sont Foncièrement corrompus .

La guillotine serait plus proche

Amaricano
| 01-02-2017 13:19
SVP. Osez de nous donner des noms Où bientaisez-vous!

Letranger
| 01-02-2017 12:20
"...Une dictature trouve lieu au sein d'une administration corrompue par les 55 années postindépendances. ..."

C'est vrai, c'était bien mieux avant...quoi que, celle-ci aura 61 ans dans deux mois...

Abel Chater
| 01-02-2017 11:25
Il faut d'abord canaliser la prolifération et le fonctionnement des autorités administratives indépendantes, qui ont trouvé le chemin libre dans cette transition démocratique de la Tunisie, où les regards ne sont fixés que vers le politique et peu vers l'administratif et le juridique. Ces administrations qui sont devenus un réel problème institutionnel pour notre deuxième République de régime parlementaire. Elles sont qualifiées par les experts : « d'objets juridiques non identifiés ».
Détentrices pour certaines d'entre elles d'un pouvoir considérable dans des secteurs clefs de la vie de la Nation, plusieurs administrations étatiques se transforment en une entreprise «privée» aux mains de malfrats, depuis le portier «Chaouch» jusqu'au sommet de la direction. On me dit que la signature de l'aval par le PDG, interdit aux autres fonctionnaires de contrôler le contenu du dossier. Une dictature trouve lieu au sein d'une administration corrompue par les 55 années postindépendances.
Il y a des autorités administratives qui ne sont pas indépendantes et des autorités indépendantes mais pas administratives. Pourquoi certaines sont-elles dotées de la personnalité morale et pas d'autres?
C'est ce mystère qu'il faudra élucider, afin d'immuniser notre administration et l'enrouler dans la transparence requise de toutes nos institutions républicaines.
Encore mille bravos à tous ceux qui font avancer ce merveilleux pays, vers la démocratie institutionnelle et toutes ses vertus en tendance de l'honnêteté humaine et du bienêtre des Tunisiens.

François_FILLON
| 01-02-2017 10:47
Le canard enchaîné dans son édition aujourd'hui donne tous les détails sur l'affaire François Fillon. B.N. pourquoi vous n'etes pas transparent avec vos lecteurs. Donnez nous toutes les informations. Qui sont ces fonctionnaires ? Les montants qui ont été détournés ?
Merci pour la qualité de vos informations , Bien cordialement

el manchou
| 01-02-2017 10:12
De la rachwa en Tunisie ? et surtout chez les hauts fonctionaires ?
Je suis vraiment surpris, moi je croyais qu'ils achetaient leurs maisons à Ennasr et payaient leur vacances en Espagne, grâce à leur salaire en dinars et à des héritages.
Je suis vraiment déçu.

Tunisien
| 01-02-2017 09:34
Il me déplais foncièrement de lire des articles aussi importants comportant des imprécisions qui les vident de leur sens et objectif.
Où les accusations sont avérées, dans ces conditions on se doit de connaitre les auteurs. Où l'accusation est incertaine, sans jugement, auquel cas les journaleux feraient mieux de s'abstenir de nous gaver avec des nouvelles imbéciles.