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Les Tunisiens de retour des foyers de tension, objet d'une rencontre entre BCE et Chahed
29/12/2016 | 17:44
1 min
Les Tunisiens de retour des foyers de tension, objet d'une rencontre entre BCE et Chahed

Le président de la République, Béji Caïd Essebsi, a reçu, aujourd’hui, jeudi 29 décembre 2016, le chef du gouvernement, Youssef Chahed au palais de Carthage.

La rencontre a porté sur l’avancement de l’exécution de la stratégie nationale de lutte contre le terrorisme et les plans pratiques mis en place par le gouvernement pour traiter le dossier des Tunisiens de retour des foyers de tension.

 

S.H

29/12/2016 | 17:44
1 min
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Commentaires (8)

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mon pays
| 30-12-2016 14:50
Si on pouvait faire une lettre ouverte à Bachar de la part du peuple Tunisien pour lui demander que toute personne terroriste attraper sur le sol de la Syrie,il le juge et le cadamne sur place,avec tout nos remerciment d'avance!

1/raisonnable
| 30-12-2016 14:43
Le grand collabo pour maintenir les extrémistes sectaires au pouvoir c'est BCS, ce dernier juré de livrer les tunisiens aux islamistes pour se venger contre la laîcité. cette statut n'est pas au gout de Gannouchi et les pays du golf qui envisagent intaurer en Tunisie et le reste du Maghreb un Califat tant attendu par des criminel de la même frange

Gg
| 29-12-2016 23:09
Les "Tunisiens de retour des foyers de tension", vous pensez aux mercenaires terroristes qui fuient le djihad et veulent rentrer chez papa maman avant d'être exterminés?

zohra
| 29-12-2016 20:46
ya-t-il deux sortes :

les tunisiens de retour du foyers de tension et les terroristes ?

Clarté
| 29-12-2016 20:07
B.N. C'est quoi ce titre "tunisiens de retour des foyers de tensions"!!! c'est ce qu'on appelle la langue de bois. Appelons un chat un chat, vous parlez des terroristes de retour de Syrie - alors dites-le.

Hannibal
| 29-12-2016 19:25
Des foyers de tension...Quels foyers de tension ?
Ce sont les islamistes d'Ennahdha qui disent en Arabe " BEORR Attawater " !
Un langage et au delà des concepts importés des régions du Golfe...qui n'ont rien à voir avec la littérature politique, les traditions et l'histoire de la Tunisie !
Ce ne sont pas des foyers de tension...mais des pays souverains agressés militairement par des milices terroristes armés et financés par les USA, la GB, la France, la Turquie et les pays du Golfe !
Il faut apprendre à parler "clair" et designer les choses par leur noms.

Les hommes politiques, journalistes et médias qui demandent la déchéance de la nationalité le non retour pour les terroristes tunisiens se trompent et doivent revoir leurs positions :
Les choses sont simples...
Ne peut défendre le retour des terroristes que celui qui a intérêt à leurs retours !
Que celui qui prépare de funestes projets !

1- ceci est contraire à l'esprit de la nouvelle constitution

2- vous donnez l'occasion aux forces rétrogrades (islamistes de tout poil et comparses) dans le pays de se positionner comme des défenseurs de la loi de la légalité.

3- La Tunisie doit activer sa Diplomatie pour se mettre d'accord et permettre aux pays victimes de l'agression djihadiste (Libye, Irak, Syrie, Yémen) de traduire les terroristes arrêtes sur leurs sols devant leur propre justice civile et militaire...

4- La Tunisie doit parallèlement ouvrir des dossiers sur chaque terroriste arrêté dans un pays en guerre. A leurs retours (s'ils rentrent) ils doivent répondre de leurs actes terroristes devant la justice tunisienne !

5- Tous ceux qui arrivent à réintégrer la Tunisie, doivent être arrêtés et traduits devant la justice militaire.

En appliquant la "loi antiterroriste" ils doivent répondre de leurs actes :

- association à des organisations et milices terroristes
- agression militaire d'un pays Arabe souverain
- Arrestations, agressions, tortures, meurtres, vols, viols... de population civile et militaire dans un pays souverain
- collusion avec des puissances étrangères

Le syndicat des forces de sécurité intérieure à pointé le DANGER (la somalisation du pays) qui guette la Tunisie si l'on fait rien face aux retours de ces criminels...

Il est temps de prendre les décisions qui s'imposent !!!

A . V .
| 29-12-2016 19:10
Mettez donc une prison à l'île de Galit pour ces voyous et les entourer par des gros crocodiles !!!

BORHAN
| 29-12-2016 18:08
Décidément, drôle de démocratie pour un pays et un peuple longtemps embourbés dans une dictature qui les a minés jusqu'au fin fond de l'histoire humaine pour se retrouver enfin de compte dans un état d'impuissance et de désolation indescriptible.
Malheureusement, tout le monde oublie voire néglige que tout accès à un minimum de démocratie nécessite un prix à payer, un lourd tribu à se sacrifier surtout pour une "populace", comme la nôtre, à peine sorti des ténèbres.
Par conséquent, le retour des terroriste (ce peuple errant) à sa terre promise n'est que le déroulement normal d'un processus connu d'avance.
N'est-il pas trop tard pour s'étonner et divaguer inutilement !?
A ce titre, je me demande où étaient alors nos humbles "politiques" pour rectifier le tir dès le départ.
Alors, de grâce...arrêtons de polluer davantage une situation déjà trop boueuse.
Arrêtons de prendre le citoyen pour le dernier des demeurés et revenons sur terre.
Six ans déjà écoulés après une révolte "batarde" qui a ruiné le pays et dont la source se situe plus d'un demi siècle avant, le peuple continue à souffrir au nom d'une liberté empoisonnée et indécodable, mal maîtrisée,...
Ces terroristes, potentiel danger pour notre survie, doivent être traités "dignement et humainement" selon la législation en vigueur...point barre...!!!
Aujourd'hui, la loi anti-terrorisme en est la seule et l'unique arme que nous devons mettre en pratique pour "tenter" de stopper une hémorragie suicidaire qui nous a déjà fait trop de mal.
Quant à la constitution, elle est et demeure notre principal protecteur sacré que personne n'a le droit d'y toucher au risque de creuser sa propre tombe.
Arrêtons de "charcuter" notre propre destin post-janvier 2011 déjà trop saignant.
Nous sommes devenus la risée du monde.
La bête n'en peut plus... elle en a assez souffert.
Triste de mon pays.