Fethi Ben Hamida, président de la délégation spéciale de Radès a été limogé par Youssef Chahed, ministre des Affaires locales de source digne de foi.
La raison est que le président de la délégation a refusé mercredi dernier d’obéir aux instructions du gouverneur de Ben Arous, l’enjoignant à être présent au domicile de feu le poète Sghaïer Ouled Ahmed et présenter à la famille les condoléances des représentants de l’Etat aux côtés du président de la République.
Le gouverneur en a informé le ministre qui a pris la décision immédiate de le limoger.
R.B.H.
Limogeage du président de la délégation spéciale de Radès
Fethi Ben Hamida, président de la délégation spéciale de Radès a été limogé par Youssef Chahed, ministre des Affaires locales de source digne de foi.
La raison est que le président de la délégation a refusé mercredi dernier d’obéir aux instructions du gouverneur de Ben Arous, l’enjoignant à être présent au domicile de feu le poète Sghaïer Ouled Ahmed et présenter à la famille les condoléances des représentants de l’Etat aux côtés du président de la République.
Le gouverneur en a informé le ministre qui a pris la décision immédiate de le limoger.
dites le clairement vous ne voulez pas delarer vos revenus et payer les impots qui en découlent ,le paradis pour vous c'est le régime forfaitaire ,500dinars par an ou moins d impôts moins qu un modeste instituteur !!!!!finie la rec
reation
C'est faut ce que vous avez écrit , ce président il doit obéir à son chef comme dans toute les administrations dans le monde .
Certainement ce Mr . cherche une excuse pour partir il a choisi cette occasion .
Il est impossible d'exiger de quiconque de présenter ou non ses condoléances. Ce sont des affaires personnelles. De quoi le gouverneur et le ministre se mêlent-ils?
Enfin on est revenu à la case de départ. Ce qui n est pas avec nous est contre nous. Les pratiques du RCD s installent discrètement mais efficacement. On recourt à la politique du suivisme aveugle qui a caractérisé la vie politique en Tunisie pendant des décennies. Le directeur de " beit échoir" sous Ben Ali était certes un excellent et rebelle poète qui a bénéficié du soutien et de l aide du gouvernement durant la période difficile qu il a passée ces dernières années mais allant jusqu'à à faire de lui un monument est un derapage très dangereux. Voici la vraie valeur des responsables qui dirigent actuellement le pays. Ne vous en faîtes pas monsieur le maire, ce sont les agissements des disciples de Ben Ali.
Si c'est bien la raison. J'espère qu'ils ne se comporterons pas ainsi quand les conseils municipaux auront la légitimité du suffrage et cesserons enfin d'être des services administratifs du gouverneur lui même un fonctionnaire du MI........