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Cérémonie d'ouverture de la 17ème session des JTC en présence de Habib Essid
16/10/2015 | 22:39
1 min
Cérémonie d'ouverture de la 17ème session des JTC en présence de Habib Essid

 

La cérémonie d’ouverture de la 17ème session des Journées théâtrales de Carthage (JTC) s’est déroulée ce soir du vendredi 16 octobre 2015, au Théâtre municipal de Tunis en présence du chef du gouvernement, Habib Essid accompagné de la ministre de la Culture, du ministre de l’Education et de nombre de personnalités politiques et diplomatiques ainsi que d’une pléiade d’homme et de femmes de la culture.

 

A cette occasion, M. Essid a salué la mémoire du réalisateur et homme de théâtre, Ezzeddine Gannoun à qui cette session des JTC rend un hommage spécial en signe de fidélité et de reconnaissance à sa longue et importante carrière dans le domaine du Quatrième art.

 

Le chef du gouvernement a déclaré, en marge de cette cérémonie, que l’Etat accorde un intérêt majeur à la culture, au patrimoine et aux créateurs afin que la culture soit un facteur agissant dans la contribution au développement du pays et à la dynamique économique.

 

A noter que la 17ème session des JTC sera marquée par de nombreuses représentations réparties sur plusieurs espaces, dont notamment la Maison de culture Ibn Rachiq, la Salle du 4ème Art, l’Institut français, la Salle du Rio, la Salle du Mondial, l’Etoile du Nord, El Teatro, sans oublier les activités festives à l’Avenue Habib Bourguiba.

 

S.H

 

16/10/2015 | 22:39
1 min
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Commentaires (6)

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CHDOULA
| 17-10-2015 19:00
Avant on avait 3 aime et on se plaignait mais là je crois qu'on a dépassé la limite de l'amour autorisé par la nature et par la constitution , le coup de foudre entre bejbouj et le cheikh est rare , unique , déroutant , envoutant , rabbi yostor ! j'espère que ces 2 tourtereaux reviendront à de meilleurs sentiments et accepteront la séparation à l'amiable .
cordialement

Kairouan
| 17-10-2015 16:25

Chdoula, heureusment que vous etes la! Vous m'avez arrache un franc rire.
Je vois aussi que vous tenez vos promesses: Quand, un jour, je me suis inquitee de perdre vos plaisanteries si 3M venait a ete elimine aux presidentielles, vous m'aviez assurree que meme apres son depart, il y aura encore plein "d'humour"!
Comme je souhaite que certaines promesses ne soient pas si facilement tenues. Mais tant qu'a faire, je vous en remercie!

BALHA
| 17-10-2015 10:21
La Grande Dame de théâtre LEILA TOUBEL n'a pas été invitée à l'ouverture des JTC et donc remplacée par Mehrzia, qui à l'époque son sinistre de l'intérieur Larayedh, matraquait les artistes aux portes mêmes du théâtre municipal'
Quelle morbide ère où, artistes, hommes et femmes de théâtre mis à l'écart et exclus par des hypocrites, maladifs NAINS !!!

JOHN WAYNE
| 17-10-2015 06:52
Récemment, une femme de nationalité Philippines a été défenestrée par son employeur au Koweït. Agée seulement de 25 ans, elle échappa de peu à la mort.
Dans les années 1960, le monde occidental qui fêtait les victoires éclair d'Israël et qui dressait un tableau du monde Arabe et de ses leaders comme Nasser aussi sombre que fallacieux, tomba soudainement en état de choc.
Un leader du nom de Bourguiba apparaissait a la télévision et avec un sourire et d'un geste sur et autoritaire, décoiffait une femme aux apparences pauvres de cet habit traditionnel nommé le safsari.
Que dire de cette scène lorsque l'on est sioniste en Europe et que l'on cherche par tous les moyens à justifier les crimes de l'état d'Israël qui récemment fondé, semble vouloir faire payer a des bédouins Palestiniens en guenilles sa souffrance de l'Holocauste ?
A cette époque, il n'y avait rien à dire car dans ce geste, Bourguiba avait pris le monde sioniste au dépourvu. Le geste de décoiffer une gueuse en safsari dans un pays musulman est l'équivalent d'un essai nucléaire dans le Sahara Tunisien.
Car libérer la femme et lui donner des droits, projette immédiatement les nations plusieurs siècles en avant. L'égalité de la femme avec l'homme est l'acquis des vrais révolutions et des peuples les plus intelligents qui en font une loi naturelle et le fondement de toute société qui se dite être digne. Il s'agit d'un acquis que l'on ne discute jamais par pudeur et par sens du ridicule.
Je dis souvent que Bourguiba a commis de très grandes erreurs. Celles que Nasser par exemple n'a jamais commis.
Bourguiba a axé le fondement de la société Tunisienne et le développement de la Nation sur l'éducation a la portée de tous. Ce faisant, il a donné l'arme du savoir à des communautés anciennement ennemies et hostiles sans jamais associer ce savoir au Nationalisme et au Patriotisme.
Le résultat néfaste de cette stratégie humaine et trop idéaliste a culminé en cette tragédie nommée révolution. Le savoir a permis à des minorités Tunisiennes laïques, bourgeoises, ou très portée sur l'Islam, de renforcer leurs différences sans jamais être soudées par le sentiment du Nationalisme.
Les Tunisiens se détestent et détestent leur pays car ils possèdent les armes du savoir pour dénigrer et vendre, sans posséder la potion magique du nationalisme qui unit les minorités des peuples en Nations intouchables et incorruptibles.



JOHN WAYNE
| 17-10-2015 06:52
Nasser avait une vision très différente. Acculé au mur par un état Hébreux rapidement militaire et puissant en cerveaux venus de toutes parts, il fonda la nouvelle Egypte libérée par le coup d'état des généraux sur le Nationalisme et le militarisme.
Les Egyptiens même s'ils sont confrontés au problème des frères musulmans, sont aujourd'hui de nouveau une Nation en pleine cohésion et en plein développement.
L'Egypte comme son phare d'Alexandrie, brille de nouveau au sein du monde Arabe, même si elle est confrontée aux plus grands complots fomentés par les plus fanatiques et les plus riches.
La Tunisie quant à elle, a basculé dans la vente aux enchères de ses structures souveraines. La Nation Tunisienne est quasi-effondrée car elle est habitée par des pseudo-Tunisiens et non des Patriotes.
La révolution a dévoilé au monde qu'être Tunisien ne voulait guère dire grand-chose. Comment peut-on être Tunisien si l'on accepte de recevoir et d'exécuter des ordres venus de pays étrangers qui sont traditionnellement les ennemis du monde Arabe ?
Le talon d'Achille de la Nation Tunisienne qui fait face à de multiples complots depuis la révolution Iranienne, est certainement cette femme que Bourguiba tenu à libérer.
La majorité des militants des droits de l'homme en Tunisie sont des femmes. La majorité des prix honorifiques décernés par des associations financées par des lobby sionistes proches d'Israël sont des femmes.
Mais surtout, c'est la femme Tunisienne qui a été le vecteur le plus puissant dans la dissémination de ce fléau nommé l'islamisme.
Les portes parole de l'islamisme les plus virulents en Tunisie sont des femmes qui portent le foulard.
Imaginez Rached Ghanouchi et ses compères, sans l'appui des femmes islamistes Tunisiennes. Cet ancien agent du MI6 serait encore en exil à Londres où il prendrait un café après la prière du Vendredi avec ses amis Algériens du GIA.
La femme Tunisienne a manqué une opportunité historique en Tunisie de se transformer en rempart contre les mouvements sionistes et islamistes qui depuis des décennies ont juré de transformer la république Tunisienne en un satellite des pays du Golfe et d'Arabie.
La femme dans l'histoire a toujours été un être à la fois fort et faible.
Les femmes font rarement la guerre, mais en Mères ou future Mères, elles peuvent dévier les destins des nations vers le meilleur ou vers le pire.
La femme Tunisienne, elle qui cite Bourguiba aussi souvent qu'elle se regarde dans un miroir ou parle de ses diplômes, est coupable de haute trahison.
Elle a par ses mouvements idéologiques farfelus et irresponsables des droits de l'homme et de l'Islam, aidé à trainer cette Nation jadis glorieuse vers l'abime.
Et en défenestrant la Nation Bourguibienne qui jadis l'a protégeait, la femme Tunisienne risque de se défenestrer elle-même.

F.M. Alias JOHN WAYNE
Ancien Elève au Collège Sadiki
Diplômé d'Histoire et de Sciences Politiques de l'Université Paris-Sorbonne.
Ancien Fonctionnaire aux Ministères des Affaires Etrangères et de l'Intérieur Tunisiens des gouvernements d'Habib Bourguiba et de Zine El Abidine Ben Ali.
Diplomate de carrière et spécialiste de la sécurité et du renseignement.



CHDOULA
| 17-10-2015 04:39
La piece de théâtre qui a vraiment beaucoup de succès actuellement est " les frères siamois " interprétée par bejbouj et le cheikh . Un chef d'oeuvre du genre ! Tout y est , les paroles , les dialogues ,les gestuelles , le grand art ! Je ne vous raconte pas la fin c'est mieux !