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Taieb Baccouche : Nous sommes tenus à la discrétion sur l'affaire Sofiène Chourabi et Nadhir Guetari
Le ministre des Affaires étrangères, Taieb Baccouche, a assuré, jeudi 19 février 2015, que le dossier des deux otages tunisiens en Libye, Sofiène Chourabi et Nadhir Guetari, est traité « quotidiennement » et de manière « régulière ». Intervenant sur Jawhara Fm, M. Baccouche a déclaré qu’il ne pouvait donner de détails sur l’affaire, et ce, dans le souci de protéger « la vie » des deux journalistes.
Rappelons que les deux hommes étaient partis en Libye au mois de septembre 2014 pour réaliser un reportage dans la région d’Ajdabia, à l’Est de la Libye. Ils étaient Kidnappés, la première fois, le 3 septembre 2014 puis libérés avant d’être enlevés de nouveau le 8 septembre par une milice non identifiée à Ajdabia.
E.Z.
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Commentaires (2)
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Ces deux pauvres journalistes sont mal médiatisés
Abel Chater
| 20-02-2015 12:44
Cette unique photo, mal prise, qui présente deux individus, mi-figue mi-raisin, dans un état physique et vestimentaire désolant, n'inspire aucun attrait de sympathie.
On ne peut pas gagner une campagne médiatique, sans les ingrédients de la campagne elle-même.
A première vue de ces deux pauvres journalistes, on penserait que ce sont eux les ravisseurs et non pas les victimes. Leurs visages, leur position et leur regards, n'inspirent aucune confiance, ni le moindre appel à sympathiser avec eux.
Où sont leurs familles, pour remettre d'autres photos aux médias, afin qu'ils changent cette photo antipathique, contre d'autres photos qui attirent l'attention de l'opinion publique et qui la feraient bouger dans le bon sens?
Les médias ont aussi leur art et leurs règles pour faire bien passer le message à l'opinion publique, afin de la faire bien bouger.
Avec cette photo, vous repoussez l'opinion publique vers le manque d'intérêt et la nonchalance.
Un de prévenu vaut deux.
On ne peut pas gagner une campagne médiatique, sans les ingrédients de la campagne elle-même.
A première vue de ces deux pauvres journalistes, on penserait que ce sont eux les ravisseurs et non pas les victimes. Leurs visages, leur position et leur regards, n'inspirent aucune confiance, ni le moindre appel à sympathiser avec eux.
Où sont leurs familles, pour remettre d'autres photos aux médias, afin qu'ils changent cette photo antipathique, contre d'autres photos qui attirent l'attention de l'opinion publique et qui la feraient bouger dans le bon sens?
Les médias ont aussi leur art et leurs règles pour faire bien passer le message à l'opinion publique, afin de la faire bien bouger.
Avec cette photo, vous repoussez l'opinion publique vers le manque d'intérêt et la nonchalance.
Un de prévenu vaut deux.
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