Depuis des décennies, je dénonce l'arrogance bidon de nos frères les Libyens contre leurs immigrés africains. Je leur ai prédit de le payer tôt ou tard. Ce que nos frères les Libyens vivent à présent, n'est pas dû au hasard. Ce n'est que le résultat de leurs crimes généralisés contre leurs immigrés africains.
Depuis la Révolution syrienne, je remarque une cruauté incompréhensible des Libanais contre leurs frères les refugiés syriens, jusqu'à leur avoir esclavagé leurs enfants syriens par une cruauté inimaginable. Les Libanais ont oublié le bon accueil fraternel du côté des Syriens, lorsqu'ils étaient eux-mêmes réfugiés en Syrie. J'ai toujours averti et attendu les Châtiment Divins contre nos frères les Libanais. Je ne suis nullement surpris de la misère qui a frappé le Liban. Cette fois-ci, non pas par leur guerre courageuse et légitime contre les juifs génocidaires de Gaza occupants de la Palestine, dont nous soutenons sans la moindre réserve, mais suite à leur lâcheté et à leur cruauté contre les enfants syriens. Un Châtiment Divin, qui emporte avec lui les bons qui regardaient passivement, avant les mauvais eux-mêmes.
La même chose avec les Tunisiens. Ils ont réussi leur Révolution du 14 janvier 2011 avec bravoure. Ils ont joui de onze (11) années d'une vraie démocratie, d'une vraie liberté, d'une vraie aisance matérielle et nutritionnelle et d'une vraie possibilité «chance», qui a mené un retraité incognito de l'enseignement supérieur, de langage comiquement robotique, qui «tuait son temps» dans les cafés populaires de la Mnihla, jusqu'à dans la chambre à coucher de Bourguiba. Les séries de voitures neuves toutes options, se vendent comme des macaronis. Les embouteillages et le manque de places de parking, sont devenus le souci numéro un des Tunisiens. Malgré tout, les bons Tunisiens se laissèrent déjouer par les déchus de l'ancien régime de Ben Ali. Ils n'ont pas fêté la réussite de leur Révolution du 14 janvier 2011 comme il faut, même pas pour une seule fois durant toutes les onze années de leur liberté. Au contraire, ils se sont fait déjouer par les larmes de crocodiles des anciens médias de Ben Ali, soutenus par les médias de leurs homologues de Moïse. Les pleurnicheries et le pessimisme, se sont étalés jusqu'aux accidents de la route et des litiges conjugaux. Les mensonges, les sabotages et les intrigues contre l'Islam, contre le parti d'Ennahdha, contre le parti d'Al-Karama et contre tout ce qui se rapporte de près ou de loin à la religion musulmane, se sont transformés en les petits pains des bons comme des mauvais médias tunisiens. La Colère Divine a commencé par nous avertir par l'absence de pluie. Rien à faire !!! Ils se sont mis même à se moquer de la «prière de la pluie» en Islam. En fin de compte, ce coup d'Etat dont ils ont encouragé par leur soutien injuste et criminel, jusqu'au parjure «faux serment» la main sur le Coran du président Kaïs Saïed, n'a fait en vérité qu'innocenter le parti d'Ennahdha et son chef Rached Ghannouchi, de tous les mensonges et de toutes les intrigues, dont ils souffraient pacifiquement depuis leur retour démocratique en Tunisie.
Maintenant, même les Tunisiens paient leur trahison contre l'Islam et contre la Protection Divine dont ils jouissaient avant d'avoir soutenu le parjure du président Kaïs Saïed. Ils manquent de tout, même de tomates et de pommes de terre. Il faut prier au Tout Puissant pour qu'il nous pardonne la trahison des mauvais, car il y a plus de bons, très et trop bons Tunisiens et Tunisiennes que les mauvais.
Allah yostir Tounes.