Le directeur général adjoint de la Banque tunisienne de solidarité, Khalifa Sbouii, a indiqué, ce lundi 15 février 2016, que la décision du chef du Gouvernement, concernant l'attribution de prêts de lancement de projets sans autofinancement et sans garantie, est entrée en vigueur aujourd’hui même.
Il a ajouté que l’Etat se chargera dorénavant d’allouer la totalité du montant exigé pour l’autofinancement des projets, pour les diplômés. Khalifa Sbouii a précisé que la valeur de ces prêts de lancement de projets varie selon la nature du projet et peut atteindre les cent cinquante mille dinars pour ceux qui ont des diplômes et cent mille dinars pour les professionnels autres catégories.
M.B.Z
L'autofinancement exigé pour l'octroi d'un crédit n'est plus en vigueur
Le directeur général adjoint de la Banque tunisienne de solidarité, Khalifa Sbouii, a indiqué, ce lundi 15 février 2016, que la décision du chef du Gouvernement, concernant l'attribution de prêts de lancement de projets sans autofinancement et sans garantie, est entrée en vigueur aujourd’hui même.
Il a ajouté que l’Etat se chargera dorénavant d’allouer la totalité du montant exigé pour l’autofinancement des projets, pour les diplômés. Khalifa Sbouii a précisé que la valeur de ces prêts de lancement de projets varie selon la nature du projet et peut atteindre les cent cinquante mille dinars pour ceux qui ont des diplômes et cent mille dinars pour les professionnels autres catégories.
Je vois à quoi ressemble la discussion et l'ARGUMENTATION à votre sens !
Soit ! Ce sujet est donc "hors de mes compétences et savoirs" et je vous laisse le soin d'y apporter questions et réponses !
Bonne fin de journée (si tant est que cette formule ne vous paraît pas sujet à polémique) !
" leur idéal est en général une carrière procurant la sécurité, pas trop casse-tête et bien rémunérée) la mentalité du moindre effort et du moindre risque et en voulant "rafler la mise" le plus rapidement possible "
-Non, vous n'avez pas besoin de décliner quoi que ce soit, vos écrits en disent suffisamment long sur le personnage qui avance des incohérences et encore une fois des absurdité !
Laissez les gens bosser et entreprendre , puis on verra si ce sont TOUS des escrocs et des pickpockets à la petite semaine.
Ce sujet et hors de vos compétences et savoirs, seuls les créateurs et entrepreneurs peuvent y apporter éclairage concret et juste.
Ne vous y attardez pas, c'est perdre votre temps. Vos idées sont repoussantes qu'adhérentes parce que trop orientées négativisme et ça c'est l'ECHEC ASSURE A TOUS LES NIVEAUX !
pour que mon avis sur la question bénéficie d'un minimum de crédit ?!
Je passe outre votre pointe d'agressivité et je vous réponds donc que mon "job" est suffisamment ancré dans les réalités entrepreneuriales TUNISIENNES pour me permettre d'avancer que les jeunes n'ont généralement pas envie d'entreprendre (leur idéal est en général une carrière procurant la sécurité, pas trop casse-tête et bien rémunérée), que lorsqu'ils pensent à entreprendre, c'est souvent avec la mentalité du moindre effort et du moindre risque et en voulant "rafler la mise" le plus rapidement possible, et que lorsque certains émergent du lot avec du punch et des idées créatives, ils sont brimés dans leur élan par la rigidité, la lenteur et la frilosité des structures de financement toutes catégories confondues (de celles dont la vocation est de financer l'innovation et les projets risqués jusqu'aux banques classiques, en passant par la BFPME et la BTS...), chacune de ces structures renvoyant la balle à l'autre, jusqu'à dégoûter définitivement ces porteurs de projets ou jusqu'à ce que l'idée en question ne sois plus nouvelle ou opportune.
Dans tous les cas, le problème ne réside donc pas dans l'autofinancement mais, soit dans la mentalité des entrepreneurs (frileux, attentistes...), soit dans les modalités d'octroi et de déblocage des financements (en fonds propres et en crédits) susceptibles de permettre aux entrepreneurs de passer rapidement à l'exploitation de leurs idées.
Salutations
C'est quoi votre job puisque je n'ai jamais lu pareille absurdité ?
Demandez aux banquiers américains si les financement à 100% ne sont pas des risques et la chance de voir des entrepreneurs devenir des créateurs d'emploi à leur tour.
Parfois sans aucune qualification dans le domaine mais sur l'idée qui est porteuse, les banquiers américains prennent tous les risques et parient sur des idées porteuses; pas besoin de diplôme, JUSTE DES IDEES !
C'est ça le risque: perd ou gagne !
Il me plairait de savoir votre job.
Bonne journée !
Cette decision s'inscrit contre toute orthodoxie financiière. Il y a plusieurs manières d'aider les jeunes à constituer le capital minimum sans avoir recours à cette décision populiste.
il faut aider ceux qui comptent entreprendre à s'y préparer, en leur apprenant qu'il faut y mettre du leur, qu'on n'entreprend pas avec zéro risque et que la vie d'un entrepreneur n'est pas un long fleuve tranquille. Le minimum d'autofinancement qu'apporte l'entrepreneur est aussi le gage de sa responsabilité et de son implication, et une incitation pour lui à faire au mieux.
En revanche, quand on "joue" intégralement avec l'argent des autres (surtout lorsqu'il s'agit de deniers publics, et avec la mentalité dominante chez nous), non seulement on aura tendance à négocier l'affaire avec légèreté, mais on prendra également le pli de toujours attendre encore et encore de l'Etat (qu'il finance l'exploitation, qu'il trouve des solutions à toutes les difficultés et qu'il se substitue même à l'entrepreneur pour apporter des marchés et vendre) !
Enfin, si l'Etat préconise cette mesure pour pousser les jeunes diplômés et les chômeurs à entreprendre (alors qu'ils n'en ont pas forcément envie), c'est une démarche maladroite et forcément vouée à l'échec...
le défaitisme n'appartient qu'à celui qui ne fait rien, qui n'entreprend rien et qui reste au chaud sur le case de départ!
Laisse les gens travailler.
Ce ne sont pas des gogols qui vont distribuer des liasses de billets sans étudier les dossiers et leur viabilité.
Je comprens que tu sois peureux pour ne rien entreprendre, mais laisse ceux qui en ont dans le pantalon prendre le ou les risques!
Une affaire c'est un risque ou tu as une chance sur 2 de réussir!!!
Et c'est pareil pour tous ceux qui se lancent.
Demandez d'ore et déjà à la BTS de provisionner ses crédits.
Qu'ils préparent déjà les statistiques de remboursement. je suis prêt à mettre ma main au feu qu'il n'y aura pas plus de 10%.
Quand on monte un projet sans garantie et sans apport propre, quelle serait la motivation de payer. Mêmes les projets qui marcherons (s'il y en a) considèreront que le crédit serait plutôt un don.
le cochon, au même titre que tous les animaux sur cette terre, il est la création de Dieu.
Il symbolise, en effet l'impureté puisqu'il bouffe ses propres excréments, mais rien ne dit qu'une tirelire en forme de cochon soit interdite puisque vous n'allez pas la manger.
Quant au sujet, nos jeunes sont pleins d'espoir. Les aider à concrétiser leur projet est un SUPER ESPOIR!
