Le ministre de la Justice, Mohamed Salah Ben Aïssa, s’est exprimé lors d’une audition en commission au sein de l'assemblée des représentants du peuple, le 8 juillet 2015, sur la peine de mort dans la loi de lutte contre le terrorisme. Sa déclaration a été relayée par Mosaïque FM.
Mohamed Salah Ben Aïssa, a estimé qu’il serait absurde d’exclure la peine de mort de la loi de lutte contre le terrorisme alors que celle-ci existe dans le code pénal. Il a souligné que le seul moyen de ne pas appliquer la peine de mort dans des affaires de terrorisme, serait de l’abolir et que cette décision revient au législateur, en l’occurrence à l’ARP.
M.B.Z
Le ministre de la Justice s'exprime sur la peine de mort dans la loi de lutte contre le terrorisme
Le ministre de la Justice, Mohamed Salah Ben Aïssa, s’est exprimé lors d’une audition en commission au sein de l'assemblée des représentants du peuple, le 8 juillet 2015, sur la peine de mort dans la loi de lutte contre le terrorisme. Sa déclaration a été relayée par Mosaïque FM.
Mohamed Salah Ben Aïssa, a estimé qu’il serait absurde d’exclure la peine de mort de la loi de lutte contre le terrorisme alors que celle-ci existe dans le code pénal. Il a souligné que le seul moyen de ne pas appliquer la peine de mort dans des affaires de terrorisme, serait de l’abolir et que cette décision revient au législateur, en l’occurrence à l’ARP.
Ce n'est pas possible.
Aucun pays qui revandique le titre civilisé peut
prendre la peine de mort comme un moyen de la justice.
À l'exeption du fait que seulement DIEU est le maître
sur la vie et la mort, il y a beaucoup des preuves qu'il y a
beaucoup d'erreurs de jugement !!!
Il n'y a AUCUNE excuse de prendre quelqu'un sa vie ,
aussi pas pour l'état.
Quand on regard l'Egypte et d'autre pays que le danger de l'abus
est toujours là.
Et quand à les terroristes ' ca voudrait leurs donner la chance de
devenir des MARTYRS !
Comment en applique pas la peine de mort
à un criminel qui est près a explosé les centaines des individus dans les mosquées
lieu saint ( Batwte Allah) c'est la peine de mort pour lui car celui qui cherche à mourir.
de quel droit un criminel ou un terroriste échappe-t-il à la peine de mort pour pouvoir par la suite jouir en prison de la bouffe du contribuable de la télevision de l'assistance??..
non et non qu'ils crevent
vous MANQUEZ DE CLAIVOYANCE, et n etes PAS BON A NOUS COUVRIR, nous le peuple...
je vous souhaites que le parlement ablit l article du code penal.....
le peuple aura ***, et vous une bonne retraite.....
pauvre pays....qui est le mien...
Votre commentaire indique que vous manquez de scrupule : Que reprochez-vous aux parents ?
Si plus tard un de vos enfants (Ellotf A3lih) commet une grave faute, vous aimeriez que l'on vous jette dans la rue (au mieux). ?
Ces terroristes islamistes sont des kamikazes,les menacer par la peine de mort c'est leur rendre service.S'il devait avoir une loi anti terroriste pour condamner ces maudits,il faut agir comme dans certains pays:Démolition de tous les biens du terroriste,s'il ne possède pas de biens les biens de ses parents.Et vous verrez que ce sera plus efficace que la peine de mort.
Voilà que ce projet de loi, censé venir pallier aux "déboires" de la fameuse loi de 2003, se révèle au grand jour.
Ce projet comprend un arsenal de dispositions dérogatoires du droit commun, que la loi de 2003 ne prévoyait pas, notamment celles portant sur la règlementation des délais de garde à vue et de détention préventive.
Ces dispositions dérogatoires concernent aussi les nouvelles techniques d'investigation dont notamment les interceptions de courrier, les écoutes téléphoniques, les infiltrations et les livraisons surveillées.
Idem pour ce qui est de la peine de mort non prévue, savamment, dans la loi de 2003 oeuvre de nos meilleurs techniciens de la légistique.
Toutes ces dispositions constituaient une ligne rouge que le « dictateur » n'a jamais osé franchir étant donné qu'il ne s'en foutait pas tout autant que ses ministres, contrairement aux allégations de nos pseudos révolutionnaires, des organismes de protection des droits de l'Homme et de l'opinion publique nationale et internationale.
C'est vous dire que nos politiques tiennent à réviser la loi de 2003 pour des raisons inavouées, n'ayant rien avoir avec des soucis ayant trait au renforcement des mécanismes de protection des droits de l'Homme.
La vrai et seule raison consiste à motiver des décisions politiques fâcheuses qui avaient mené le pays à la dérive notamment la loi sur l'amnistie générale élargissant tous ceux qui avaient été condamnés en vertu de la loi de 2003, ceux-là même qui, aussitôt libérés, avaient repris du service infestant nos villes et campagnes donnant la mort à nos valeureux soldats et agents des forces de sécurité